Mankeur Ndiaye, le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur s’est félicité, vendredi à Dakar, de l’état de la coopération entre l’Afrique et la Turquie relavant notamment une "croissance exponentielle" des échanges commerciaux turco-africains.
" La Turquie est un pays qui a très tôt compris l’importante place qu’occupe le continent africain dans le monde. Ainsi sur le plan diplomatique compte-t-elle 39 ambassades dans les pays, soit plus d’ambassades qu’un pays comme le Sénégal compte en Afrique", a dit Mankeur Ndiaye.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur intervenait au 10e congrès sur le commerce, l’investissement et la compétition en Afrique axé sur les nouvelles opportunités.
" Ce n’est pas un hasard si depuis 2008 la coopération entre la Turquie et l’Afrique connaît une croissance exponentielle", a souligné Mankeur Ndiaye, qui a en outre listé les "opportunités qu’offrent le continent africain pour les investisseurs étrangers".
"Les plus importantes découvertes de ressources naturelles faites ces dernières années l’ont été en Afrique. Et au-delà, il faut signaler que l’Afrique constitue un marché intérieur non négligeable avec ses nombreux consommateurs", a-t-il relevé.
" Nous sommes à un moment ou les taux de croissance ralentissent dans les pays émergents d’Asie et d’Amérique du sud. Au même moment, l’Afrique connaît des taux de croissance assez importants avec un produit intérieur (PIB) d’environ 2000 milliards de dollars US ", a-t-il ajouté.
Il a fait observer que c’est grâce à ces opportunités que des partenariats entre l’Afrique et d’autres puissances ont vu le jour.
"Après la crise économique qu’a connu le monde, il est heureux de constater que l’investissement étranger connaît de nouveau une évolution positive, mais l’Afrique ne bénéficiant que 4% des investissements en question peut faire mieux", a-t-il soutenu.
Il a ainsi estimé, à propos du cas du Sénégal, que les réformes entreprises notamment en ce qui concerne la qualité des prestations de l’administration et la création d’infrastructures structurantes (…) sont autant d’opportunités qui en fait un pays ou les "investissements étrangers peuvent être rentables".
Aussi, s’est-il félicité, de la "qualité" des relations entre le Sénégal et la Turquie.
La preuve de ce dynamisme dans nos relations est, selon lui, les deux voyages effectués cette année par le Président de la République, Macky Sall en Turquie et à l’occasion desquels plusieurs "accords de coopération entre les deux pays ont été signés".
IG/PON
" La Turquie est un pays qui a très tôt compris l’importante place qu’occupe le continent africain dans le monde. Ainsi sur le plan diplomatique compte-t-elle 39 ambassades dans les pays, soit plus d’ambassades qu’un pays comme le Sénégal compte en Afrique", a dit Mankeur Ndiaye.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur intervenait au 10e congrès sur le commerce, l’investissement et la compétition en Afrique axé sur les nouvelles opportunités.
" Ce n’est pas un hasard si depuis 2008 la coopération entre la Turquie et l’Afrique connaît une croissance exponentielle", a souligné Mankeur Ndiaye, qui a en outre listé les "opportunités qu’offrent le continent africain pour les investisseurs étrangers".
"Les plus importantes découvertes de ressources naturelles faites ces dernières années l’ont été en Afrique. Et au-delà, il faut signaler que l’Afrique constitue un marché intérieur non négligeable avec ses nombreux consommateurs", a-t-il relevé.
" Nous sommes à un moment ou les taux de croissance ralentissent dans les pays émergents d’Asie et d’Amérique du sud. Au même moment, l’Afrique connaît des taux de croissance assez importants avec un produit intérieur (PIB) d’environ 2000 milliards de dollars US ", a-t-il ajouté.
Il a fait observer que c’est grâce à ces opportunités que des partenariats entre l’Afrique et d’autres puissances ont vu le jour.
"Après la crise économique qu’a connu le monde, il est heureux de constater que l’investissement étranger connaît de nouveau une évolution positive, mais l’Afrique ne bénéficiant que 4% des investissements en question peut faire mieux", a-t-il soutenu.
Il a ainsi estimé, à propos du cas du Sénégal, que les réformes entreprises notamment en ce qui concerne la qualité des prestations de l’administration et la création d’infrastructures structurantes (…) sont autant d’opportunités qui en fait un pays ou les "investissements étrangers peuvent être rentables".
Aussi, s’est-il félicité, de la "qualité" des relations entre le Sénégal et la Turquie.
La preuve de ce dynamisme dans nos relations est, selon lui, les deux voyages effectués cette année par le Président de la République, Macky Sall en Turquie et à l’occasion desquels plusieurs "accords de coopération entre les deux pays ont été signés".
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