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Economie

Augmentation de près de 9% des recettes budgétaires du Sénégal durant 2012

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Augmentation de près de 9% des recettes budgétaires du Sénégal durant 2012

Les recettes budgétaires du Sénégal ont connu une augmentation de 8,8% au cours de l’année 2012, a-t-on appris jeudi auprès de la Direction des prévisions et des études économiques (DPEE) basée à Dakar.

 

La DPEE note, par ailleurs, que les dépenses courantes progresseraient de 1,3% et 27,1% pour les dépenses en capital. Quant à la pression fiscale, elle est évaluée à 19,5% contre 18,9% en 2011.

 

La DPEE note que cette pression fiscale est au-dessus du plancher communautaire fixé à 17% par l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). Ce qui reflète l’amélioration de l’efficacité des services de recouvrement et l’élargissement de la base taxable.

 

Pour leur part, les dépenses totales et prêts nets du pays sont évalués à 2.155 milliards de FCFA en 2012 contre 1.980,3 milliards de FCFA, soit une augmentation de 174,7 milliards FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0019 dollar). Selon la DPEE, cet écart est imputable aux dépenses d’investissements chiffrés à 875 milliards de FCFA contre 718,4 milliards de FCFA en 2011.

 

‘’Les dépenses en capital financées sur ressources internes représentent 55% des dépenses totales d’investissement, traduisant ainsi la volonté du gouvernement de prendre en charge sur financement propre son programme d’investissement’’, avance la DPEE. 

 

Le ratio des dépenses en capital financés sur ressources internes rapportées aux recettes fiscales, ressort à 36% en 2012, soit largement au-dessus du plancher communautaire de 20% fixé par l’UEMOA.

 

Au total, on note une diminution du déficit public du Sénégal qui passe de 6,7% du produit intérieur brut (PIB) en 2011 à 5,9% du PIB en 2012.



3 Commentaires

  1. Auteur

    Citoyen

    En Septembre, 2012 (17:06 PM)
    Sauvons nos universités publiques du naufrage.



    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.



    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.



    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.



    A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.



    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.



    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.





    Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.



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  2. Auteur

    Suite Citoyen

    En Septembre, 2012 (17:08 PM)
    inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.



    A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.



    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.



    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.





    Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.



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    Auteur

    Mbaye Diouf

    En Septembre, 2012 (18:06 PM)
    QUI A PARLE ,COMME IBRAHIMA THIOUBE D'UNPAYS EN RUINES LEGUE PAR WADE?DES DEMENTIS CINGLANTS....
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