De mémoire de Sénégalais, jamais l’Etat du Sénégal, n’a confié à un organisme de l’Onu, l’exécution d’un projet qu’il a entièrement financé. Une tradition que le chef de l’Etat Macky Sall a maintenant rompue. Avec un budget initial de 113 milliards de Cfa, le programme d’urgence pour le développement communautaire a été confié au programme des Nations unies pour le développement.
«J'ai confié l'Exécution du Pudc au programme des Nations unies pour le développement. Conformément aux accords qui lient notre pays au Pnud, signés depuis 1987, ces accords nous permettent de collaborer pour apporter des réponses urgentes aux besoins du monde rural dans de meilleures conditions de performance et de respect des exigences de transparence et de bonne gouvernance. C'est ainsi que nous avons pu formuler les projets du Pudc en seulement quelques mois». Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le Président Macky Sall a été totalement bluffé par le rythme ‘‘rapide’’ d’avancement des travaux: «Vous voyez le rythme de travail ! En quelques mois tout ce travail a été fait sans entraves et sans bureaucratie», a-t-il lancé à l’assistance où avait pris part bons nombres de membres du gouvernement, ce mardi lors du lancement du Pudc à Diamniadio. Le président Macky Sall avertira même ses ministres en des termes teintées de menaces: «J’ai demandé aux ministres de redoubler d’efforts. Parce que si le Pudc marche avec le Pnud et que côté gouvernement ça ne marche pas, moi je vais tout transférer. Donc en ce moment Mme Djibo fera appel à l’ensemble du Pnud. Mais c’est pour vous dire qu’il faut trouver une bonne combinaison. Comme les deux roues d’une même charrette. On ne peut pas gonfler une roue en laissant l’autre vide. Il faut que les programmes du gouvernement et du Pnud aillent à la même vitesse. Sinon ce n’est pas bon. Avant, pour fait un petit talus il te fallait deux années. On ne peut pas continuer avec ce rythme. En tout cas si nous voulons l’émergence. Si nous le voulons, il ne faut pas que les agents ferment leurs bureaux et rentrent chez eux sans avoir fait le travail qu’on leur a confié. Chacun doit donner le meilleur de lui pour que les choses marchent. C’est juste ainsi que le Sénégal peut avancer», dit-il.
L’autre raison qui sous-tend ce choix du chef de l’Etat, c’est qu'il ne voulait pas perdre du temps dans les processus de passation de marchés. «Jusqu’ici, c’était le gouvernement qui déroulait tous les projets. Mais cette fois ci, comme je voulais aller vite, je n’ai pas voulu qu’on nous dise que nous ne sommes pas passés par le code des marchés publics et autres, j’ai confié l’exécution du Pudc au Pnud. De ce fait, on n’aura pas à subir ce tollé. Parce que ce qui m’intéresse moi, c’est que le travail soit fait. Mais dans la transparence», a dit Macky Sall.
«J'ai confié l'Exécution du Pudc au programme des Nations unies pour le développement. Conformément aux accords qui lient notre pays au Pnud, signés depuis 1987, ces accords nous permettent de collaborer pour apporter des réponses urgentes aux besoins du monde rural dans de meilleures conditions de performance et de respect des exigences de transparence et de bonne gouvernance. C'est ainsi que nous avons pu formuler les projets du Pudc en seulement quelques mois». Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le Président Macky Sall a été totalement bluffé par le rythme ‘‘rapide’’ d’avancement des travaux: «Vous voyez le rythme de travail ! En quelques mois tout ce travail a été fait sans entraves et sans bureaucratie», a-t-il lancé à l’assistance où avait pris part bons nombres de membres du gouvernement, ce mardi lors du lancement du Pudc à Diamniadio. Le président Macky Sall avertira même ses ministres en des termes teintées de menaces: «J’ai demandé aux ministres de redoubler d’efforts. Parce que si le Pudc marche avec le Pnud et que côté gouvernement ça ne marche pas, moi je vais tout transférer. Donc en ce moment Mme Djibo fera appel à l’ensemble du Pnud. Mais c’est pour vous dire qu’il faut trouver une bonne combinaison. Comme les deux roues d’une même charrette. On ne peut pas gonfler une roue en laissant l’autre vide. Il faut que les programmes du gouvernement et du Pnud aillent à la même vitesse. Sinon ce n’est pas bon. Avant, pour fait un petit talus il te fallait deux années. On ne peut pas continuer avec ce rythme. En tout cas si nous voulons l’émergence. Si nous le voulons, il ne faut pas que les agents ferment leurs bureaux et rentrent chez eux sans avoir fait le travail qu’on leur a confié. Chacun doit donner le meilleur de lui pour que les choses marchent. C’est juste ainsi que le Sénégal peut avancer», dit-il.
L’autre raison qui sous-tend ce choix du chef de l’Etat, c’est qu'il ne voulait pas perdre du temps dans les processus de passation de marchés. «Jusqu’ici, c’était le gouvernement qui déroulait tous les projets. Mais cette fois ci, comme je voulais aller vite, je n’ai pas voulu qu’on nous dise que nous ne sommes pas passés par le code des marchés publics et autres, j’ai confié l’exécution du Pudc au Pnud. De ce fait, on n’aura pas à subir ce tollé. Parce que ce qui m’intéresse moi, c’est que le travail soit fait. Mais dans la transparence», a dit Macky Sall.
52 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:34 PM)La Commission électorale nationale autonome (CENA) dénonce ‘’très fermement’’ la présence d’une équipe d’instruction de la Carte nationale d’identité (CNI) dans un lieu privé et ‘’s’inquiète de l’impact que de tels procédés ’’peuvent avoir sur l’opinion et le caractère transparent du processus électoral’’.
Des informations ont récemment état de ‘’la présence d’une équipe du ministère de l’Intérieur dans une concession privée à Pikine Nord afin de procéder à l’instruction de la CNI’’.
Dans un communiqué reçu à l’APS, jeudi, la CENA souligne qu’après ‘’enquête de la Commission électorale départementale autonome (CEDA) de Pikine et interpellation des différents protagonistes, il a été constaté qu’effectivement, l’équipe d’instruction de la CNI était installée le 18 juin 2015 dans un lieu privé’’.
La CENA ajoute que l’enquête complémentaire ‘’menée par la CEDA de Pikine a permis de constater que la commission itinérante d’instruction de la carte d’identité nationale s’est effectivement installée’’ dans les lieux suivants.
Le communiqué cite ‘’le siège de l’APR à Dalifort où le maire est étiqueté PS, le siège de l’APR à Guinaw Rails Sud où le maire est étiqueté PDS, la mairie de Diamaguène Sicap Mbao où le maire est étiqueté APR, la mairie de Pikine Ouest où le maire est étiqueté APR, la Maison de la Femme à Yeumbeul Nord’’.
La CENA ‘’s’émeut de tels procédés dans le cadre de l’instruction de la CNI et s’inquiète de l’impact qu’ils peuvent avoir sur l’opinion et le caractère transparent du processus électoral’’.
‘’Bien que ne contrôlant pas, dans le cadre de sa mission, la confection des cartes nationales d’identité’’, la CENA précise dans le texte, que cette pièce d’identification ‘’est exigée au moment de l’enregistrement sur les listes électorales et lors du vote’’.
La CENA assure qu’elle ‘’veille à ce que les autorités administratives respectent toutes les formalités, surtout en ce qui concerne le choix des lieux abritant les commissions d’instruction de la CNI, si elles sont itinérantes’’.
Elle ‘’dénonce donc très fermement ce qui s’est passé dans les communes citées ci-dessus et appelle le ministère de l’Intérieur à éviter de tels manquements, préjudiciables à la bonne transparence dans le processus électoral’’.
La CENA ‘’souhaite que la création de toute commission d’instruction de la carte nationale d’identité fonctionnant de manière itinérante obéisse à une formalité de publicité de sorte, d’une part, à éviter des polémiques ou des accusations de manipulation et, d’autre part, à permettre à tous les citoyens intéressés de pouvoir s’y accéder librement’’.
Elle estime que les commissions itinérantes ‘’doivent obligatoirement siéger dans des lieux publics accessibles à tous les citoyens’’.
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:35 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (13:36 PM)Rural
En Juillet, 2015 (13:45 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (13:57 PM)Sc
En Juillet, 2015 (13:58 PM)Magnifique façon de nous décrédibiliser
D'accord Avec Anonyme 1
En Juillet, 2015 (13:58 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:00 PM)Pac
En Juillet, 2015 (14:03 PM)Mais la question a savoir est que ce genre de programme devrait être une opportunité pour l'état de créer des emplois et de renforcer l'expertise sénégalaise. Si vous transférer les programmes au PNUD. Le Senegal perdra 3 fois ( l'argent sort du Senegal parce que la majorité des employes ne sont pas sénégalais, pas d'embauche et donc pas d'experience).
Ce que tu dois faire c'est s'assurer qu'il y a un suivi en tant que leader, tu mets des résultats dans un délai précis et tu recompense ou sanctionne selon les résultats.
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:09 PM)Serer
En Juillet, 2015 (14:12 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:37 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:40 PM)Trust
En Juillet, 2015 (14:41 PM)pour vos commentaires insensés
Président
En Juillet, 2015 (14:50 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:53 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:53 PM)Anonyme Poil
En Juillet, 2015 (15:12 PM)Babs
En Juillet, 2015 (15:18 PM)M.
En Juillet, 2015 (15:23 PM)On ne developpe pas un pays en confier ses plus importants projects à des etrangers. Il est de sa responsabilité de s'assurer que les gens travaillent, qu'il y a des mechanismes de control et de suivi transparents, que les processus d'implimentations sont efficaces et rapides.
Un project doit être une opportunité pour créer de l'emploi, developper et partager un savoir-faire et ne se limite pas seulement à livrer quelque chose qui n'est pas necessairement benefique aux senegalais.
Ce gars est simplement nul!
Anonyme
En Juillet, 2015 (15:41 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:45 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:00 PM)Anonymes Sn
En Juillet, 2015 (16:09 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:14 PM)Maky Degage
En Juillet, 2015 (16:28 PM)Xeme
En Juillet, 2015 (16:30 PM)Djourhi
En Juillet, 2015 (16:31 PM)Tous les plans confiés à l'administration sont voués à l'échec parce que nos chers fonctionnaires si prompts à manifester pour réclamer des droits, sont les moins travailleurs de ce pays. Des journées entières à lire le journal et certains disposent même de matelas dans leur bureau pour taper la sieste.
Les meilleurs plans sont imaginés et conçus mais aucun d'eux n'aboutit parce que les fonctionnaires chargés de sa mise en oeuvre n'ont pas de sens du résultat.
Le plus inquiétant c'est de voir le même sénégalais travailler comme un fou lorsqu'il a comme un chef un américain ou un européen.
Mes excuses à la minorité de fonctionnaires conscients, engagés et travailleurs acharnés, je salue leur abnégation.
Mado
En Juillet, 2015 (16:38 PM)Zena
En Juillet, 2015 (16:41 PM)Job Announcement
En Juillet, 2015 (16:48 PM)Pour les compétitions majeures de football, on fait toujours appel à un entraîneur étranger, en règle français.
Pour atteindre les objectifs du PSE, on fait appel à des capitaux et une expertise etrangere, surtout marocaine.
Pour atteindre les objectifs du PUDC, on fait appel au PNUD.
Alors,
- c'est quoi le Senegal?
- pourquoi ces écoles?
- a quoi sert l'administration nationale?
- ... Etc ?
A quand un appel d'offres international pour le poste de Président de la République du Senegal?
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:48 PM)Dernier élément on a trompé Maky Sall, je détiens l'accord cadre signé entre le Gouvernement du Sénégal et le PNUD mais une clause tendant à déléguer ce type d'autorité au PNUD n'y figure pas.
Je demande aux journalistes et à la société civile de voir de prés ce dossier, il ya trop de non dit.....
Mamadou Lamine
En Juillet, 2015 (16:56 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:05 PM)Le Président A Raison !
En Juillet, 2015 (17:07 PM)Si il leur avait confié un tel projet , c'aurait été :
0 On remercie le Président de la confiance qu'il m'a accordé,
1 On achéte les plus grosses 4X4 moyennant bien sur quelques kheweul au passage avec les fournisseurs,
2 On change tous les ordinateurs, mac, ipad et on commande les derniers Samsung toujours avec des kheweuls auprès des fournisseurs,
3 On programme plusieurs mois d'étude de stratégie par des cabinets avec kheweul au passage,
4 On effectue plusieurs de séminaires de validation de la stratégie déjà validée par les chefs,
5 On effectue des missions de formation dans préférences dans les pays les plus loins et les plus chers avec bien sur de gros perdiems,
6 On effectue un séminaire d'évaluation de la mission de formation,
7 On effectue des séminaires de formation et de restitution des formations,
8 On recrute tous les parents possibles avec gros salaires et moult avantages
9 Puis enfin on publie les appels d'offres pour sélectionner les sociétés qui vont exécuter les travaux
10 On selectionne les offres,
11 On choisit un parent qui n'est pas compétent mais qui bien sur est le plus disant, kheweul !
12 On dépouille les offres et on publie les résultats,
13 Les résultats sont bien surs contestés et le contrat est cassé auprès de l'ARMP,
14 La presse s'en mèle le projet est à l'arrêt,
15 On fait un communiqué pour dénoncer un complot politique de gens ''mal intentionnés tapis dans l'ombre'',
16 On retourne au niveau 10 et on recommence
Pompom
En Juillet, 2015 (17:24 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:36 PM)Quelle honte ! l'humiliation suprême! Et après, il aura le culot de se présenter devant eux pour leur demander leur suffrage, leur demander de lui renouveler leur confiance !!!
Et on trouve toujours des hommes indignes pour applaudir !!! Triste
Allo Stop
En Juillet, 2015 (17:54 PM)Des questions esentielles à poser avant ce virage hallucinant qui se dessine. Du jamais vu !
Milk
En Juillet, 2015 (17:58 PM)LA COTE D'IVOIRE QUI ETAIT EN GUERRE CIVILE VA BIENTOT INAUGURER SON METRO.
WAAAAK REK.!
ON NE CONSTRUIT PAS UN PAYS PAR DES FORUMS , DES SEMINAIRES etc...
TOUT A ETE DIT ET ECRIT SUR LE DVLPT DU PAYS ,LES RESSOURCES HUMAINES SONT LA .
SEUL NOUS MANK LA VERTU , l'ABNEGATION ET LA VOLONTE DE BIEN FAIRE POUR SON PAYS ET UN LEAAAADER QUI INDIQUE LA VOIE ET QUI RESTE IMPERTUBABLES .
LE VRAI PEUPLE ATTEND TOUJOURS SON LEADER , IL EST PRET ET TRES MATURE.
CRI DE COEUR D'UN CITOYEN MEUTRI PAR LA REALITE D'UN PAYS QU'IL AIME TELLEMENT.
Société Anonyme
En Juillet, 2015 (18:13 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (18:20 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (18:30 PM)Unfortunate!!!
Kedougou
En Juillet, 2015 (18:38 PM)Fcfa La Mère Des Maux
En Juillet, 2015 (18:49 PM)Inutile de se voiler la face, la zone franc est à la peine. En 2006, alors que l’Afrique subsaharienne a enregistré un taux de croissance de 5,5 %, celui des pays partageant le franc CFA n’a pas excédé 3,1 %, après 3,9 % l’année précédente. Au regard de cette situation, de plus en plus de voix dénoncent les effets de l’euro fort face au dollar.
Handicapés par la valeur du CFA indexé à la monnaie européenne, les produits africains perdent de leur compétitivité sur les marchés internationaux, les exportations marquent le pas, les balances commerciales souffrent et, au final, les économies patinent. Treize ans après la dévaluation de 1994, la question est de nouveau sur la table. Et si la valeur du franc était trop élevée ? Et si la parité fixe établie le 1er janvier 1999 (1 euro = 655,957 F CFA) était devenue trop contraignante pour être maintenue ? Le débat ne fait que commencer et les questions qu’il suscite sont nombreuses. La réunion des ministres des Finances de la zone franc, qui se tient le 16 octobre à Paris, permettra peut-être de les poser. Enfin.
1 Quelles sont les conséquences de l’appréciation du franc CFA par rapport au dollar ?
L’arrimage du franc CFA à un euro fort – qui a dépassé 1,42 dollar le 1er octobre 2007 – pénalise fortement les exportations de la zone franc. La compétitivité des produits africains sur les marchés internationaux est mécaniquement rognée. Chaque fois que l’euro s’apprécie, le franc CFA en fait de même de manière automatique. Résultat : les coûts de production augmentent, les produits fabriqués localement deviennent moins compétitifs que ceux fabriqués dans des pays extérieurs à la zone euro, et les marges sur les exportations libellées en dollars se réduisent. C’est notamment le cas pour la filière coton, qui fait vivre près de 30 millions d’Africains.
La baisse du dollar depuis 2001, devise de référence pour cette fibre naturelle, face à l’euro a fait chuter de plus de 25 % la valeur des récoltes africaines. À parité égale dollar-euro, les sociétés cotonnières auraient vendu cette année le kilo de coton à 820 F CFA sur le marché international. Au cours actuel, elles l’ont écoulé à 616 F CFA, alors que les coûts de production varient entre 630 F CFA à 650 F CFA par kilo. Les cotonculteurs africains achetant leurs intrants en euros et vendant leur récolte en dollars : l’effet de « ciseau » est redoutable. Ce schéma s’applique, à des degrés divers, à d’autres filières d’exportation. En revanche, une monnaie forte permet de réduire le coût des importations. Cet avantage a contribué à atténuer le choc lié à la flambée du baril puisque les livraisons de carburants sont libellées en dollars et payées en CFA. Mais là aussi, certains effets sont pervers : dopés par la réduction du coût des importations, les achats de produits achetés à l’extérieur de la zone CFA augmentent, ce qui fragilise les filières locales. Ainsi constate-t-on une forte poussée des importations d’articles asiatiques à bas prix.
Kosig
En Juillet, 2015 (19:01 PM)La Vérité
En Juillet, 2015 (19:01 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (19:28 PM)08 Juillet 2015 : Macky Sall confie la réalisation d'un budget de 113 milliards aux Nations Unies via le PNUD.
wait & see...
Anonymesimon Faye Fans
En Juillet, 2015 (19:58 PM)Anonymeanonymous
En Juillet, 2015 (07:57 AM)Deuxième, on va pas accuser le président et son gouvernement de corrompu en ce qui concerne l'attribution des marchés.
Tercio, travailler avec le PNUD ne veut pas dire que les projets seront exécutés par les étrangers. Ils travailleront avec les sénégalais sauf qu'il y aura un controle stricte, pas de nekheul à gauche à droite. Un monsieur ne pourra pas se coucher sur un dossier en attendant qu'on lui donne des sous.
Faut pas se voiler la face notre administration est corrompu, laxiste et n'aime pas travailler. Comment se fait il que le sénégalais travaille très bien à l'étranger et dans les organismes internationaux et qu'il peut pas le faire dans l'administration. La raison est le controle et le suivi, ce qui va être assuré par le PNUD.
Bonne initiative M. le président bien que vous ne m'avez pas encore conquis
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