Des sources proches du ministre de l’économie citées par le Populaire rapportent que le quatrième emprunt obligataire lancé par le gouvernement du Sénégal le 8 novembre 2012 s’est avéré être « un franc succès », il a permis de récolter près de 80 milliards Cfa, l’objectif étant de 50 milliards Cfa au départ. L’emprunt au taux de 6,70% pour la période 2012-2019 a enregistré une réponse massive du marché de la sous-région », rapportent nos confrères.
6 Commentaires
Tatadiaby
En Décembre, 2012 (12:07 PM)Enfin
En Décembre, 2012 (12:09 PM)• Baisse sensible du ratio d'endettement, à la faveur de l'atteinte du point d'achèvement de l'initiative PPTE en 2004 et de la mise en œuvre de l'IADM en 2006.
• Encours de la dette publique qui a augmenté après 2006 mais qui reste inférieur à 40% du PIB, soit nettement en-dessous du critère de convergence de l'UEMOA fixé à 70%.
• Le portefeuille de la dette publique extérieure est très diversifié.
• La dette extérieure publique est libellée pour l'essentiel en DTS (53%), en dollar US (14%) et en Euro (12%)
• La Banque Mondiale, à travers son guichet IDA, demeure le premier bailleur du Sénégal.
• Le taux d'intérêt moyen de 1,5% en 2010 ; la maturité moyenne à 32 ans et un différé moyen de 8 ans.
• Le Sénégal continue de dégager un profil de pays à risque de surendettement faible.
Le Gouvernement est décidé à poursuivre sa politique d'emprunt saine afin de préserver la viabilité de la dette publique.
Taux d'inflation maintenu entre 1 et 2 % Budget d'investissement représentant 45% du budget total Budget de fonctionnement représentant 55% du budget total 85.000 PME inscrites au NINEA contre 32.294 en 2000
Reprise
En Décembre, 2012 (12:38 PM)Mbaye Diouf
En Décembre, 2012 (16:37 PM)Pepes
En Décembre, 2012 (16:49 PM)Senegalais
En Décembre, 2012 (00:48 AM)Un officiel juge ‘’inacceptable’’ l’état du tronçon Kaolack-Tambacounda
Le secrétaire général du ministère des Infrastructures et des Transports, Abdoulaye Mbodj, a jugé ‘’inacceptable’’ l’état de ‘’dégradation avancée’’ de la route Kaolack-Tambacounda, dont la construction a été bouclée il y a seulement trois ans.
‘’De Kaolack à Tambacounda - soit 274 km -, nous pouvons dire que pratiquement les 60% sont dans une dégradation avancée’’, a dit Abdoulaye Mbodji, journalistes, après avoir fait part de son émotion face à l’état de dégradation de la route qu’il avait constaté.
‘’Ceci est inacceptable, parce que ces 274 kilomètres ont coûté 60 milliards de francs CFA au contribuable Sénégalais’’, a ajouté M. Mbodji, pour qui, ‘’il est temps de consommer la rupture’’.
Il était accompagné, vendredi, du directeur des routes, des transports, des travaux publics, du directeur général du CEREEQ-S.A, du secrétaire général de l’AGEROUTE, de syndicalistes, entre autres.
Il a décrit la situation qu’il a résumée en ces termes : ‘’sur le premier tronçon de 37 km, l’entreprise est sur place, en train de refaire et le revêtement et quelques parties de couche de base, sur le second tronçon, c’est pratiquement la structure (complète) qui commence à partir’’. Poursuivant sa description, il a jugé ‘’bizarre’’ le fait que sur le troisième tronçon, ‘’de Kaolack vers Dakar les dégradations vont en s’accentuant’’.
Différents membres de la délégation ont pointé du doigt des défauts dans la mise en œuvre, la surcharge à l’essieu et le déficit de contrôle qui, à leur avis, expliqueraient cette détérioration prématurée.
Source Aps.sn
Claude André Coly
Samedi 1 Décembre 2012 - 11:55
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