" On a un déficit d'entrepreneurs au Sénégal " (Adepme)

10 Commentaires

1. 

   Anonyme

   En Novembre, 2016 (18:35 PM)

   A vous de les former a bien détecter les bonnes affaires et les encadrer.tout simplement.

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Lougatois
En Novembre, 2016 (18:52 PM)
Bientot les etrangers mieux outilles que nos pauvres entrepreneurs, arracheront des marches tres juteux ,les APE viendront achever le peu d'entrepreneurs qui nous reste.

A moins qu'on ait unTRUMP national qui ne croit pas a ces histoires de mondialisation
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Wathever
En Novembre, 2016 (19:21 PM)
il n'y a que des non entrepreneur pour croire qu'un outil est universel.

Meme Havard qui a inventer le bidule ne se fonde pas dessus pour definir un bon entrepreneur.

Demandez a Marc sucarou béque s'il avait un bp . ou a Ndiaga Ndiaye pourtant son entreprise n'est pas en faillite contrairement a soca ( qui s'en souvient?)

Pourquoi vouloir a tout prix confondre economie et entreprenariat ?


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Anonyme
En Novembre, 2016 (19:47 PM)
il faut plutot penser a identifier les jeunes PME ayant déjà démontré la viabilité économique de leurs entreprises avec 2 à 3 ans d'activité. Ensuite soutenir les plus inon-cadres et prometteuses sur le plan financien et organisationnel. Par exemple un label PME innovane pourrait être créé et donner droit à des points d'avance dans les critères d'évaluation des offres pour les marchés publics. il y une panoplie d'idées qui pourraient faire bouger les choses. Financer des entreprises sur la base du business plan c'est un peu léger et il y a fort à parier que les dossiers fictifs seront de la partie...
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Ancien Entrepreneur
En Novembre, 2016 (21:41 PM)
Je suis un senegalais d'amérique et je suis rentré en 2009 pour ouvrir mon entreprise malgré les mises en garde des amis et famille,mais j'ai été guidé par mon amour à mon cher pays.,jai fait travailler un millier de personne.Seulement une fois que ca commence à marcher,les choses ont commencé à se gater avec un esprit malsain de certains employés qui une fois un CDI en main commencent à faire n'importe quoi en se disant que si on les congedie,ils vont au tribunal ce qui est dommage pour nous.Avec un tel esprit ,j'ai décidé de fermer ma boite et de retourner aux USA avec le coeur gros car jàvais des reves et des ambitions et cela a marché pour un temps mais au finish jài craqué.On perd trop de temps et dènergie dans ce pays en essayant dèscroquer au lieu de focusser sur le rendement.Le senegalais est intelligent pour les raccourci,on veut tout avoir tout de suite et on ne supporte pas la réussite de l'autre
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Anonyme
En Novembre, 2016 (21:57 PM)
I am in the same case

You don t let anybody disturb your business.so if I understand the employees run you out of town.that weak.where is your fighting spirit

I came home in 2000 and I am here to stay cause I love where I am     
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Homie
En Novembre, 2016 (22:12 PM)
Je ne suis pas d'accord avec la conclusion de M. Thiam : nous n'avons absolument pas de déficit d'entrepeneurs...au contraire, le sénégalais est entrepreneur dans l'âme car même le petit vendeur ambulant de noix de cola ou de tranches de noix de coco est au final un entrepreneur...



Les véritables problèmes que nous avons sont :

- les banques qui ne jouent pas le jeu et qui ne financent pas l'économie...surtout la BNDE qui n'est là que pour les "déjà riches";

- les agences du type ADPME, FONGIF etc dans lesquelles c'est finalement la politique qui prend le dessus et annihile tout sens de pragmatisme et de patriotisme qui devaient être la base de leurs actions....



Le véritable problème est que tout est "faux" et "hypocrite" dans ce pays...et du coup nous n'avançons pas !



Deugg nekhoul nak !
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Anonyme
En Novembre, 2016 (22:30 PM)
On ne peux rien créer au Sénégal.....trop de tracasseries administratives....trop de temps perdu.....trop de corruption....trop j'menfoutisme...trop de fumisterie....pas de professionnalisme....pas d'aide....pas d'accompagnement....trop de jalousie



Bref....ne vous étonnez pas Je les investisseurs prennent leur jambes à leur cou quand on leur propose un business au Sénégal !
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Weuz
En Novembre, 2016 (01:10 AM)
Le premier problème pour nous, c'est nous même comme souligné par post 7 et 8.Nous sommes dans un pays de fous comme l'a dit le ouolof "mouss ba dof".Le sénégalais ne souhaite pas la réussite de son compatriote, et du vendeur de thiaf au président, sans oublier les marabouts. De l'indépendance à nos jours, tous les programmes sont "extravertis" et taillés pour les "autres", les "partisans", la famille. Et tiens, celui-là n'échappe pas à la réglé. Rappelons-nous le fameux fond FPE, comment cela a était géré?

Le sénégalais est un entrepreneur, dites-nous combien ont étaient recensés par l'ansd?


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Anonyme
En Novembre, 2016 (08:27 AM)
BIEN VU N°7 , LES BANQUES DANS CE PAYS SONT LOIN DE JOUER LEUR PARTITION .ELLES SONT HYPER PROCÉDURIÈRES ET PRUDENTIALISTES . MÊME LA BNDE , LE FONGIP , LE FONSIS , QUI ONT ÉTÉ CONÇUS POUR BOOSTER ENTREPRENEURIAT SONT INCAPABLES DE STIMULER LE MOINDRE ENGOUEMENT A CAUSE DES LOURDEURS PROCÉDURIÈRES . TENDEZ VOTRE MICRO AU REPRÉSENTANT DE L'UNION EUROPÉENNE DANS LE CADRE DU PROGRAMME DE MISE A NIVEAU DES ENTREPRISES DU SÉNÉGAL , IL VOUS DIRA QUE LES LOURDEURS SERONT LE FACTEUR BLOQUANT A L'ATTEINTE DES OBJECTIFS EN 2018 . SONT ELLES DES BANQUES OU STRUCTURES DE DÉVELOPPEMENT ? , THAT IS THE QUESTION
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