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Résumé de l’actualité économique internationale du lundi 26 janvier 2015

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Résumé de l’actualité économique internationale du lundi 26 janvier 2015

-WINDHOEK-La ministre namibienne des Finances Saara Kuugongelwa-Amadhila a déclaré que son gouvernement allait continuer à solliciter le marché financier intérieur pour ses emprunts qui se chiffrent actuellement à 80%, les 20% restants provenant du marché international. S'adressant à la presse lundi à Windhoek, elle a indiqué que la principale composante de la stratégie d'endettement du gouvernement namibien était de promouvoir le développement du marché financier domestique. 


Mme Kuugongelwa-Amadhila a expliqué qu'en ce qui concerne la stratégie de gestion de la dette souveraine de la Namibie, les emprunts intérieurs sont plafonnés à 80% du total de la dette, alors que l'emprunt auprès du marché international est limité à 20%.
“Le plan d'endettement annuel suit le même modèle que le ratio 80%/20%. A cet égard, une grande partie des 80% du déficit budgétaire du gouvernement sera financée à travers l'émission de bons du trésor sur le marché intérieur'', a-t-elle expliqué. Elle a ajouté : ‘'seule la portion de 20% sera financée grâce à l'emprunt extérieur, notamment avec les euro-obligations et les obligations cotées à la Bourse de change de Johannesburg (JSE)”.

Ces résultats représentent un bond de 48 % de la production, et la société a réussi à atteindre ses objectifs de production à Mana pour une septième année consécutive.
A la date du 31 décembre 2014, la trésorerie et équivalents de trésorerie représentaient environ 128 millions de dollars.
Les ventes d'or totalisant 230 200 onces, ont généré des revenus annuels de 289 millions de dollars. Les perspectives de production pour 2015 indiquent entre 245 000 et 275 000 onces d'or, soit une augmentation de 11 %. Le budget d'exploration initial pour l'année 2015 a été fixé à 18 millions de dollars et les dépenses en immobilisations, estimées à 37 millions de dollars.
Selon des résultats définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a avancé de 6,10 points à 17'678,70 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, de 13,88 points à 4771,76 points. L'indice élargi S&P 500, très suivi par les investisseurs, a lui gagné 0,26%, soit 5,27 points, à 2057,09 points.
Le montant total des soumissions s'est ainsi élevé à plus de 25,741 milliards FCFA avec une valeur nominale unitaire de 1 million FCFA et un taux d'intérêt moyen pondéré de 1,995%, lors de cette opération qui fait partie d'un programme global de souscriptions de l'ordre de 320 milliards FCFA pour 2015. En début d'année, le Cameroun avait déjà enregistré 371% de taux de couverture des 5 milliards FCFA d'émission de BTA mis en adjudication par les soumissions en zone CEMAC.

L'un des points positifs de cette ardoise se situe au niveau des obligations sur le long terme pour près de 2000 milliards francs CFA, ce qui met moins de pression pour le remboursement. La seule urgence résiderait au remboursement de 221 milliards de francs CFA sur le court terme, ce qui n'entraine pas encore le risque d'insolvabilité pour le Cameroun puisque cette dette extérieure n'équivaut qu'à 3 pour cent du PIB moyen sur les cinq dernières années.


Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars a fini en recul de 44 cents à 45,15 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), un plus bas en clôture depuis le 11 mars 2009, lorsqu'il avait terminé à 42,33 dollars. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour même échéance a perdu 63 cents et fini à 48,16 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).


Dans l'enquête hebdomadaire Focus réalisée par la Banque centrale auprès d'une centaine d'institutions financières, la prévision de croissance du PIB est passée de 0,38% à 0,13%. Il y a un mois, le marché tablait sur croissance de 0,55% pour cette année, très loin des 7,5% de 2010.
Le marché prévoit aussi dans son communiqué une nouvelle hausse de l'inflation de 6,67% à 6,99% pour 2015, supérieure au seuil de tolérance fixé à 6,50%. L'objectif officiel est de 4,5% par an, avec une marge de tolérance de deux points.
Il y a un mois, l'enquête de la Banque centrale prévoyait une inflation de 6,53% cette année. En 2014, elle s'est établie à 6,41% et la croissance du PIB devrait être proche de zéro, selon les analystes. La semaine dernière la Banque centrale a relevé son taux d'intérêt directeur de 11,75% à 12,25%, dans le but de ralentir les crédits aux consommateurs et de libérer la pression sur les prix.

-OUAGADOUGOU-La compagnie minière canadienne Semafo a réalisé en 2014,une production de 234 300 onces d'or, pour un coût comptant total de 650 dollars par once, dans sa mine de Mana (centre-ouest).

-NEW YORK-Wall Street a fini en petite hausse lundi, oubliant la victoire de la gauche radicale en Grèce et les affrontements en Ukraine pour se recentrer sur une semaine de résultats d'entreprises. Le Dow Jones a pris 0,03% et le Nasdaq 0,29%.

-YAOUNDE-Un taux de couverture de l’ordre de 257,41% a été enregistré à l’occasion d’une émission de Bons du Trésor assimilables (BTA) du Cameroun, par voie d’adjudication d’une valeur annoncée de 10 milliards FCFA, lancée mercredi dernier auprès de 13 banques et établissements financiers de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).


-YAOUNDE-L’encours de la dette extérieure du Cameroun se situe autour de 2500 milliards de francs CFA, selon un rapport de la Banque mondiale dont APA s’est procuré d’une copie. Bien que le volume de cette dette semble important, le niveau d'endettement est encore supportable lorsqu'on analyse ses composantes, d'une part, et qu'on la compare aux autres agrégats économiques, d'autre part.


-NEW YORK- Les prix du pétrole ont poursuivi leur repli lundi à New York et atteint un nouveau plus bas depuis presque six ans, malgré quelques tentatives de rebond en séance.


Le marché a tenté de dépasser le choc initial, même anticipé, de l'issue du scrutin grec qui a porté au pouvoir le parti anti-austérité Syriza, mais le pessimisme des opérateurs l'a une nouvelle fois emporté, emmenant les prix vers de nouveaux tréfonds, a relevé Phil Flynn, de Price Futures Group.


-BRASILIA- Malgré les premières mesures d'ajustement annoncées par le gouvernement brésilien, les marchés restent pessimistes et ont encore réduit leur prévision de croissance à 0,13% pour 2015 et pronostiquent une inflation à 6,99%.




2 Commentaires

  1. Auteur

    Réciprocité

    En Janvier, 2015 (22:37 PM)
    à réagir avec fermeté:

    Plusieurs Sénégalais ont été refoulés, le vendredi à la frontière sénégalo-mauritanienne. Ces derniers étaient en situation irrégulière à Nouakchott et environs, nous dit-on.



    Nos compatriotes dépourvus de carte de séjour vivent des conditions difficiles en terre mauritanienne. Ils sont victimes de rafles et d’interpellations menés par la police mauritanienne.



    Ensuite, ils sont déversés, par véhicules de police, dans les différents commissariats de Nouakchott avant d’être expulsés par vagues successives vers Rosso Sénégal. Et souvent la méthode utilisée est très humiliante.



    Une situation qui doit interpeller nos autorités centrales afin qu’une solution soit trouvée de manière définitive.

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  2. Auteur

    Ba

    En Janvier, 2015 (11:11 AM)
    "La nécessaire érection d'une Zone de Développement Technologique et Numérique"

    La mondialisation croissante des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication nécessite de plus en plus de la part des pouvoirs publics une meilleure promotion des Investissements Technologiques.

    Ainsi, la recherche et développement numérique est la nouvelle orientation des États-Stratéges en vue de capter de meilleurs ressources financières et durables.

    La recherche technologique mobilise de meilleurs moyens financiers à forte valeur ajoutée du fait de la pérennité des investissements en quête de débouchés de marchés.

    Mieux, elle participe à une politique d'emploi durable et variée( emplois d'ouvriers pour les chaines de conception de produits technologiques souvent de pointe et sensible mais des contrats de recherche à log terme pour garantir de meilleurs résultats scientifiques).

    L'Afrique gagnerait énormément à promouvoir les filières scientifiques et les Bourses de Recherches Scientifiques du troisième cycle en vue de capter les retombées des Brevets Technologiques et Scientifique.

    Ainsi, lle continent n'aura rien à envier aux groupes technologiques américains installés à la Silicon Valley.
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