-DAKAR-L’indice du chiffre d’affaires cumulé de l l’industrie de l’industrie et des bâtiments et travaux publics (BTP) au Sénégal a connu une baisse de 7,3% durant les sept premiers mois de l’année 2014 comparé à la même période de l’année 2013, a-t-on appris jeudi auprès de la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE). Cet indice est passé de 161,5 points en 2013 à 149,7 points en 2014. L'indice a été plombé par les contreperformances de la branche BTP construction qui a fortement régressé de 26,7% à 163 points contre 222,4 points durant les sept premiers mois de 2013, entrainées par la branche Préparation de site et construction de BTP (moins 40,8%). Quant à l'indice d'ensemble de l'industrie, il n'a connu qu'un repli de 2,3% à cause de la baisse des rubriques, Edition et imprimerie (moins 18,9%), Fabrication d'articles en bois (moins 18,1%) et Industries alimentaires (moins 12,5%).
Il faut relever tout de même les bonnes performances de certains secteurs comme
la fabrication du cuir et d'articles en cuir (plus 45,2%), la fabrication de
textiles (plus 38%).
-ABIDJAN-La
Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM, basée à Abidjan), a clôturé sa
séance du jeudi 18 septembre 2014 en baisse par rapport à la séance précédente.
L’indice BRVM 10 est passé de 273,27 à 271,23 points, soit un repli de 0,75%.
L’indice BRVM Composite, pour sa part, a cédé 0,66% à 254,60 points contre
256,30 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 608,26 millions
de FCFA contre 849,08 millions de FCFA, mercredi. La capitalisation boursière
du marché des actions se chiffre à 6 187,91 milliards de FCFA. Celle du marché
obligataire s’élève à 1 210,72 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en
volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 499 567 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est TOTAL CI avec 496,84 millions
de FCFA de transactions.
-PARIS-L'Assemblée nationale a
donné jeudi son feu vert au gouvernement pour transposer en droit français une
série de directives européennes porteuses de réformes diverses telles que
l'union bancaire ou une transparence accrue des sociétés pétrolières et
minières, ce point ayant fait débat à gauche.
Touchant aux banques, aux assurances, à la
consommation, à l'énergie ou à l'open data, le projet de loi d'adaptation au
droit de l'Union européenne en matière économique et financière est un texte
mosaïque, selon le terme du rapporteur socialiste, Christophe Caresche.
C'est aussi un texte technique et dense
découlant de l'activité soutenue du Parlement européen pour tirer les
enseignements de la crise de 2008, a souligné le secrétaire d'Etat au Budget,
Christian Eckert. Ce texte va bouleverser l'organisation financière et bancaire
de tous les pays européens via des mesures complexes mais qui auront un impact
réel sur la vie des Français et des entreprises, selon Karine Berger (PS).
Les députés ont obtenu que la directive sur la
réutilisation des données du secteur public, qui réaffirme le principe de
gratuité et d'accès aux documents administratifs, échappe à une transposition
par ordonnances et soit transcrite en droit français au travers de la future
loi sur le numérique.
Un des chapitres majeurs du projet de loi
concerne l'union bancaire, définitivement adoptée en avril par le Parlement
européen et qui doit éviter aux contribuables de payer pour les banques en cas de
nouvelle crise. Elle prévoit la supervision unique des banques de la zone euro
à partir de novembre par la Banque centrale européenne (BCE) ainsi qu'un
mécanisme chargé d'organiser la faillite ordonnée des instituts en difficulté.
-WASHINGTON
- La valeur du patrimoine des ménages américains a atteint
un nouveau record au deuxième trimestre 2014 grâce à la montée du prix des
actions boursières et dans une moindre mesure du marché immobilier, selon des
chiffres publiés jeudi par la banque centrale des Etats-Unis. L'avoir net des ménages et des organisations à but
non-lucratif a grimpé de 1400 milliards de dollars à 81'500 milliards de
dollars, selon les tableaux trimestriels de la comptabilité nationale publiés
par la Fed. Cette hausse est toutefois plus lente qu'au trimestre d'avant.
Elle a été tirée par l'accroissement de la
valeur des actions (+ 1000 milliards de dollars) et par une progression de la
valeur des biens immobiliers (+230 milliards de dollars).
Du côté de l'endettement, l'encours de la dette
des ménages a progressé de façon plus soutenue qu'au premier trimestre,
affichant une hausse de 3,6% contre 2,2% au trimestre précédent.
Cette augmentation a été essentiellement portée
par les crédits à la consommation qui ont grimpé de 8,1% au 2e trimestre alors
que la demande de crédits immobiliers "reste faible" (+0,4% après
-0,6% au 1er trimestre), souligne le rapport de la Fed. Depuis début 2010 au sortir de la récession, les
encours du crédit immobilier n'ont augmenté que pendant trois trimestres sur
18.
A l'occasion d'un discours à Washington jeudi,
la présidente de la Fed Janet Yellen a par ailleurs relevé que la crise
immobilière à l'origine de la récession avait encore "des effets
persistants" sur le niveau de vie et le patrimoine des familles américaines.De nombreux foyers américains "n'ont pas
encore récupéré les actifs perdus lors de la crise immobilière", a-t-elle
signalé.
-NEW YORK- Les cours du pétrole ont nettement baissé jeudi à New
York, restant pénalisés par le bond inattendu des réserves d'or noir aux
Etats-Unis, de mauvais augure pour la demande, dans un marché frileux en plein
référendum sur l'indépendance en Écosse.
Le baril de light sweet crude (WTI) pour
livraison en octobre a perdu 1,35 dollar, à 93,07 dollars, sur le New York Mercantile
Exchange (Nymex). A Londres, le baril de
Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a fini à 97,70 dollars sur
l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,27 dollar par
rapport à la clôture de mercredi.
Le marché continue de souffrir de chiffres très
en recul sur les stocks de brut aux Etats-Unis publiés mercredi et sur le
niveau de production pétrolière dans le pays, a indiqué Kyle Cooper, de IAF
Advisors.
Selon les chiffres du département américain de
l'Énergie (DoE) publiés mercredi, les réserves d'or noir ont gonflé de 3,7
millions de barils lors de la semaine achevée le 12 septembre, alors que les
experts tablaient en moyenne sur un recul de 1,2 million de barils.
En outre, les États-Unis ont produit la semaine
dernière quelque 8,838 millions de barils par jour (mbj), un record depuis mars
1986, lorsque 8,939 mbj avaient été extraits.
Cette abondance d'offre, couplée à une reprise
économique mondiale très hésitante, plombe les prix du brut depuis juin.
Les opérateurs digéraient en outre un ensemble
d'indicateurs contrastés parus jeudi aux Etats-Unis.
Sur le front de l'emploi américain, les
inscriptions hebdomadaires au chômage ont reculé plus fortement qu'attendu aux
Etats-Unis au cours de la semaine close le 13 septembre pour retrouver leur
plus faible niveau en deux mois.
-PARIS- Les Bourses européennes ont toutes terminées en hausse
jeudi au lendemain d'un discours jugé rassurant de la Réserve fédérale des
États-Unis (Fed), qui leur a permis d'attendre dans le calme les résultats du
referendum sur l'indépendance de l'Écosse. A l'issue d'une réunion de deux jours, la Fed a annoncé mercredi qu'elle
continuait à réduire son soutien à l'économie américaine tout en maintenant
qu'elle ne relèverait pas ses taux avant une période de temps
"considérable".
Rassérénée par ce discours, les investisseurs
ont du coup affiché leur calme face au référendum en cours en Écosse, dont les
résultats sont attendus vendredi matin, "car les investisseurs ont du mal
à croire que le +oui+ va passer", a relevé Renaud Murail, un gérant de
Barclays Bourse.
"Si demain, le +oui+ passe, cela va poser
des problèmes à de nombreux niveaux, avec un effet de contagion possible à des
pays comme l'Espagne, mais pour l'instant le marché se concentre plus sur les
politiques monétaires", a-t-il ajouté.
L'Eurostoxx 50 a augmenté de 1,05%
La Bourse
de Paris a fini en nette hausse (+0,75%), l'indice CAC 40 gagnant 33,29 points
à 4464,7 points. Du côté des valeurs,
l'action du constructeur Renault a progressé de 1,64% à 59,61 euros, après une
recommandation du courtier Berenberg fixant un objectif de cours de 70 euros
d'ici un an.
En tête du SBF 120, l'équipementier automobile
Faurecia a gagné 4,63% à 27,35 euros alors que Crédit Suisse a entamé sa
couverture à "surperformer", comme celle de son concurrent Valeo, qui
s'est élevée de 2,45% à 94,46 euros.
Suez Environnement a par contre reculé de 2,71%
à 13,45 euros, après l'acquisition effective de l'ensemble de sa filiale
espagnole Agbar auprès de la banque Caixa.
A
Francfort, le Dax des trente valeurs vedettes a pris 1,41% à 9798,13 points et
le MDax des valeurs moyennes 0,60% à 16'249,51 points, tandis que le titre de
sa plus grosse capitalisation, Bayer, s'est envolé de 6,17%, à 112,7 euros.
Le groupe rhénan compte se séparer au plus tard fin 2016
de son activité de plastiques pour se concentrer sur la pharmacie, la médecine
vétérinaire et l'agrochimie.
Le fabricant de matériaux HeidelbergCement a lui
terminé lanterne rouge (-0,98% à 55,77 euros), en compagnie de Beiersdorf
(-0,95% à 66,02 euros), le fabricant de la crème Nivea.
La Bourse
de Londres a terminé en hausse de 0,57%, l'indice FTSE-100 des principales
valeurs ayant gagné 38,39 points à 6819,29 points, alors que les Écossais se
prononçaient sur l'indépendance, les investisseurs pariant plutôt sur la
victoire du "non". En attendant le résultat du
scrutin, les sociétés basées en Écosse ont déjà progressé: Aberdeen Asset
Management a pris 1,85% à 435,5 pence, Standard Life 1,54% à 415,7 pence et
Royal Bank of Scotland (RBS) 0,65% à 357,2 pence.
La Bourse
de Bruxelles est repassée au-dessus des 3.200 points, en progressant de 0,78% à
3208,22 points.
La plus forte hausse a été enregistrée par l'assureur
Delta Lloyd (+2,84% à 18,46 euros) suivi par le câblo-opérateur Telenet (+2,35%
à 44,26 euros). Peu de valeurs ont terminé dans le rouge. Le groupe
Elia, qui opère dans le transport d'électricité en Belgique, a le plus baissé,
avec un repli de 0,50% à 37,84 euros.
La Bourse de Madrid a terminé en hausse de
0,77%, à 10'991 points, au terme d'une séance marquée notamment par une
progression des principales banques espagnoles.
Santander, numéro un en zone euro par la
capitalisation boursière, a gagné 1,09% à 7,77 euros, BBVA a progressé de 1,34%
à 9,757 euros et CaixaBank a pris 0,66% à 4,896 euros.
Parmi les autres valeurs à la hausse, le groupe
de BTP FCC a gagné 3,81% à 14,975 euros.
La Bourse de Milan a terminé quasi inchangée,
l'indice FTSE Mib gagnant juste 0,08% à 21'128 points. La plus forte hausse de la journée a été réalisée par
STMicroelectronics, qui progresse de 2,88% à 6,42 euros, suivi par Autogrill,
+2,47% à 6,43 euros et Banca popolare Milano, +1,74% à 0,642 euro. Le domaine de l'énergie est en revanche en légère
baisse avec A2a qui perd 0,25% à 0,814 euro, suivi de Enel Green Power, -0,19%
à 2,084 euros et Enel, -0,19% à 4,192 euros.
L'indice AEX des principales valeurs de la
Bourse d'Amsterdam a clôturé en hausse de 1,01% à 422,05 points.
La hausse la plus importante a été
enregistrée par le groupe de courrier express TNT Express, qui a gagné 3,09% à
5,77 euros. A la baisse, le groupe de télécoms KPN a cédé 0,65% à 2,46 euros.
La Bourse de Lisbonne a clôturé en hausse de
0,81% à 5905,32 points, soutenue par la banque BPI qui s'est envolée de 5,05% à
1,71 euro. Sa concurrente, la BCP, a terminé en hausse de 0,10% à 0,10 euro.Le PSI 20, principal indice de la place
lisboète, a aussi été tiré par l'énergéticien EDP, qui a gagné 2,04% à 3,50
euros. Jeronimo Martins, poids lourd de
la grande distribution, a quant à lui reculé de 0,93% à 9,31 euros.
La Bourse suisse a terminé en très légère
hausse, l'indice SMI s'appréciant de 0,06% à 8830,49 points. Credit Suisse a affiché la meilleure performance de la
séance, grimpant de 1,88% à 25,97 francs. L'agrochimiste
Syngenta en revanche reculé de 1,96% à 310,90 francs tandis que Transocean,
l'opérateur de plateformes pétrolières, a chuté de 1,88% à 32,34 francs.Hors SMI, le conglomérat industriel Sulzer a
bondi de 8,11% à 136 francs après avoir confirmé la veille des discussions en
vue d'une fusion.
-LONDRES - L'euro rebondissait jeudi face au dollar, après des
indicateurs américains mitigés, tandis que la livre progressait nettement dans
un marché pariant sur la victoire du "non" au référendum écossais,
dont le résultat est attendu vendredi matin. Vers 16H00 GMT, la monnaie unique européenne valait 1,2909 dollar contre
1,2865 dollar mercredi vers 21H00 GMT. Dans les échanges asiatiques, l'euro est
tombé jusqu'à 1,2835 dollar, son plus bas niveau depuis le 10 juillet 2013.
L'euro montait jeudi face à la monnaie nippone à
140,37 yens contre 139,32 yens mercredi soir. Vers 14H20 GMT, la monnaie unique
européenne est montée jusqu'à 140,44 yens, son maximum depuis quatre mois.
Le dollar aussi progressait
face à la devise japonaise à 108,74 yens contre 108,29 yens mercredi soir. Vers
12H30 GMT, le billet vert a atteint 108,96 yens, un nouveau plus haut depuis
six ans. Les cambistes digéraient jeudi des indicateurs
américains mitigés, avec une chute plus forte que prévu des inscriptions
hebdomadaires au chômage (-36'000 à 280'000) mais une baisse plus marquée
qu'attendu des mises en chantier de logements en août (-14,4%). Mercredi, la devise américaine avait fortement
progressé dans la foulée de la réunion de deux jours du Comité de politique
monétaire (FOMC) de la Réserve fédérale américaine (Fed).
La banque centrale
américaine a annoncé son intention de continuer à réduire son soutien à
l'économie américaine, de 10 milliards de dollars, tout en maintenant qu'elle
ne relèverait pas ses taux avant une période de temps "considérable".
Mais, si ces décisions sont conformes aux
attentes des analystes, ceux-ci estiment que la Fed devient de plus en plus
ferme et a montré une plus grande volonté à s'éloigner de sa politique actuelle
de taux d'intérêt à des niveaux proches de zéro. En effet, la perspective de remontée des taux a été revue en hausse car,
selon les estimations médianes des membres du FOMC, les taux directeurs de la
Fed devraient être de 1,38% fin 2015 contre 1,13% estimé plus tôt, et de 2,88%
fin 2016 contre 2,5%.
La hausse des taux directeurs de la Fed rendrait
le dollar plus rémunérateur et donc plus intéressant pour les investisseurs.
-PARIS- Les taux d'emprunt se sont tendus jeudi sur le marché
obligataire en zone euro au lendemain d'une réunion de la Fed et après une
opération de prêts ciblés de la BCE jugée décevante. La Banque centrale européenne (BCE) a essuyé une déconvenue lors du
lancement d'un nouveau programme de prêts géants destinés aux banques
européennes. L'institution monétaire de
Francfort a prêté 82,6 milliards d'euros à 255 banques européennes soit
"bien en-dessous du consensus", qui s'établissait à 150 milliards
d'euros, indique Nordine Naam, un stratégiste obligataire de Natixis.
En conséquence, les investisseurs procèdent à
"des prises de profit à la suite de cette annonce décevante",
explique M. Naam. Le mouvement de vente a
fait mécaniquement baisser les taux d'emprunt, qui évoluent en sens inverse de
la demande et des prix.
A 18H00, le taux à dix ans de l'Allemagne a
ainsi terminé à 1,081%. Mercredi, il avait fini à 1,050%. De son côté, le taux d'emprunt à 10 ans de la France a
terminé la séance à 1,440% contre 1,406% la veille. Le rendement italien a suivi la même évolution à
2,438% contre 2,417%, tandis que celui de l'Espagne est resté quasiment stable à
2,277% contre 2,285%.
Hors zone euro, le taux britannique est
également monté à 2,575% contre 2,517% mercredi. Aux États-Unis, le taux à 10 ans était stable à 2,620%, tandis que celui
à 30 ans reculait à 3,353% contre 3,369%. Le taux à trois mois a progressé à
0,01% contre -0,01%.
-WASHINGTON
- La présidente de la banque centrale américaine Janet
Yellen a relevé jeudi que la crise immobilière de 2008 à l'origine de la
récession avait encore "des effets persistants" sur le niveau de vie
et le patrimoine des familles américaines. Dans un discours à Washington, Mme Yellen a d'abord indiqué que les
revenus des familles les plus modestes "avaient continué de décliner"
depuis 2010.
Mais elle a signalé aussi qu'au niveau du
patrimoine, de nombreux foyers américains "n'ont pas encore récupéré les
actifs perdus lors de la crise immobilière".
"Le marché immobilier s'améliore et le
logement demeure un important vecteur de constitution d'un patrimoine pour les
familles à revenus modestes et moyens", a déclaré la patronne de la Fed."Mais une des leçons de la crise",
a-t-elle averti, "est de posséder des économies et des actifs financiers
liquides". Or, la moitié des foyers
américains situés sous le revenu médian ne détiennent que 8% de tous les actifs
financiers, a-t-elle précisé.
"J'espère que notre nation ne va pas faire
face à une autre crise financière aussi sévère que celle que nous avons connue
(...) mais pour beaucoup de familles modestes, la définition d'une crise
financière correspond à un ou deux mois sans salaire", a encore déclaré la
patronne de la Fed.
Elle a rappelé que, selon une enquête récente de
la banque centrale, une dépense inattendue de 400 dollars conduisait "la
majorité des Américains soit à emprunter, soit à vendre quelque chose ou
simplement à ne pas payer".
-NEW YORK- Wall Street a emmené ses indices vedettes, le Dow Jones
et le S&P 500, vers de nouveaux sommets jeudi, saluant le ton rassurant de
la Réserve fédérale (Fed), et dans l'attente de l'entrée en Bourse du groupe
chinois Alibaba.
Selon les résultats définitifs à la clôture, le
Dow Jones a fini en hausse de 0,64% (+109,14 points), à 17.265,99 points,
signant un record pour la deuxième séance d'affilée. L'indice élargi S&P
500 a gagné 0,49%, soit 9,79 points, à 2.011,36 points, dépassant son dernier
plus haut historique du 5 septembre.
Le Nasdaq a quant à lui avancé de 0,68%, ou
31,24 points, à 4.593,43 points. D'entrée
de jeu, les indices new-yorkais se sont dirigés dans le vert, avant d'accélérer
leur progression en cours de séance. La grande
forme du marché se doit en majeure partie au ton toujours accommodant de la
Fed, même si certaines de ses prévisions semblent plus fermes, alors que la
plupart des opérateurs redoutaient des signes de resserrement anticipé à venir,
a expliqué Art Hogan, de Wunderlich Securities.
En effet, la banque centrale a conservé la
formulation d'une période de temps +considérable+ dans son communiqué avant une
hausse de ses taux d'intérêt directeurs, ont remarqué les experts de la maison
de courtage Charles Schwab.
Favorisant le crédit et l'investissement, ces
taux, maintenus à des nivaux proches de zéro depuis 2008, ont beaucoup profité
à Wall Street au cours des dernières années.
En outre, le processus d'entrée en Bourse du
géant de la distribution chinois Alibaba apparaît pour l'instant très bien
maîtrisé et Wall Street mise sur une introduction réussie vendredi sur le New
York Stock Exchange, a ajouté M. Hogan.
Il semble que les leçons de la mise sur le
marché de Facebook en 2012, marquée par de nombreux problèmes techniques, aient
été retenues, a-t-il précisé.
Les opérateurs ont aussi salué une bonne
nouvelle sur le front de l'emploi américain: les inscriptions hebdomadaires au
chômage ont reculé plus fortement qu'attendu au cours de la semaine close le 13
septembre pour retrouver leur plus faible niveau en deux mois.
-PARIS-La Banque centrale européenne (BCE) a prêté 82,6
milliards d'euros (99,96 milliards de francs) à 255 banques européennes, dans
le cadre d'un nouveau programme de prêts ciblés à long terme (TLTRO). Ceux-ci
visent à accroître les crédits au secteur privé et à relancer la zone euro.
Ce montant est relativement faible par rapport
aux attentes des analystes. Ils tablaient pour la plupart sur au moins 100
milliards d'euros à l'occasion de ce premier TLTRO, à échéance septembre 2018.
Il est également faible au regard des volumes
mis à disposition par la BCE: les banques ont la possibilité d'emprunter
jusqu'à 7% de leurs encours de crédits aux entreprises et aux ménages - environ
400 milliards d'euros - dès cette année au moyen de cette opération et d'une
deuxième prévue le 11 décembre.
Ces prêts sont assujettis à la condition
expresse que les banquiers prêtent à l'économie réelle. Les banques qui ne
pourront pas prouver qu'elles l'ont fait devront rembourser plus tôt, à savoir
dès l'automne 2016.
Par ricochet, ces prêts doivent permettre de
faire redémarrer la machine économique, au point mort en zone euro. Mais le
résultat de la première opération "entame sérieusement les chances de
succès" du programme, juge déjà Jennifer McKeown, économiste de Capital
Economics.
6 Commentaires
B
En Septembre, 2014 (23:41 PM)B
En Septembre, 2014 (23:43 PM)La 11ème dimension correspond à la Conscience des soleils centraux galactiques.
La 10ème dimension correspond à la Conscience des soleils centraux de notre système solaire.
La 9ème dimension correspond à la Conscience des planètes.
La 8ème dimension correspond à la Conscience des lunes, c’est à dire des satélites des planètes.
La 7ème dimension dimension correspond à la Conscience des cristaux.
La 6ème dimension correspond à la Conscience des Melkisedek et des Maîtres ascensionnés galactiques.
La 5ème dimension correspond à la Conscience archangélique et aux maîtres ascensionnés solaires.
La 4eme dimension correspond à la Conscience angélique et aux Maîtres ascensionnés planétaires. Lorsque les judéo-chrétiens parlent de Paradis, il s’agit de cette dimension pour la planete la terre
B
En Septembre, 2014 (23:47 PM)Quatorze ans après la naissance d’Ismaël (Genèse 17), Abram a 99 ans, et Dieu lui propose une alliance : « on ne t’appellera plus Abram (???? ?brm), mais ton nom sera Abraham (????? ?brhm), car je te fais père d’une foule (hamon : ham est la fin du mot Abraham et le début du mot hamon), de nations. Je te fructifierai beaucoup, beaucoup, tu engendreras des nations, des rois sortiront de toi ».
Abram accepte cette alliance qui passe par la circoncision de tous les hommes de sa maison et devient Abraham : « Abraham prit Ismaël, son fils, tous ceux qui étaient nés dans sa maison et tous ceux qu’il avait acquis à prix d’argent, tous les mâles parmi les gens de la maison d’Abraham et il les circoncit ce même jour, selon l’ordre que Dieu lui avait donné. Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, lorsqu’il fut circoncis. »
La circoncision au huitième jour est le signe de cette alliance entre Dieu et la descendance d’Abraham. Saraï devient Sarah par la même alliance
B
En Septembre, 2014 (23:49 PM)"Très très bientôt une grande cérémonie cosmique libérera les peuples de l'esclavage AMEN ALLAH
Upsidedown
En Septembre, 2014 (10:23 AM)Un dollar de plus en plus fort n'est pas bon pour nous...heureusement que le pétrole baisse et à nous d'en tirer profit.
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En Septembre, 2014 (14:24 PM)Si vous cherchez des fournisseurs de nouveaux produits à l’étranger c’est le site qu’il vous faut ! Si vous produisez quelque chose : du riz, des légumes, des chaussures, n’importe quel produits industriels ou fait main dédiés à la vente en gros profitez en !
Je les ai contactés et bientôt vous pourrez louer vos locaux, bureaux, commerces et autres à des étrangers … Bon voilà, un petit partage … Le site est samayobante.com
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