La « guerre » entre le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) et l’État du Sénégal se poursuit.
Après l’expiration de leur mot d’ordre de grève, le Saes décrète encore 48 heures à partir de ce lundi 9 mars. Les syndicalistes dénoncent ce qu’ils qualifient de "comportement va-t’en guerre" de leur ministère de tutelle, remettant en cause l’engagement de Cheikh Omar Anne. Fort de ce fait, le Saes invite tous ses membres à suspendre leurs activités pédagogiques, et les formations payantes.
Pour rappel, les camarades de Malick Fall exigent la signature et l’application des textes de gouvernance des universités publiques, la mise en œuvre des préalables nécessaires à la prise en charge des bacheliers 2019, la finalisation des chantiers en cours dans les universités, la valorisation des conditions de la recherche
8 Commentaires
Minul
En Mars, 2020 (13:59 PM)-
a part amadou ba, tous les autres sans envergure. triste attelage. pas surprenant comme ils sont représentés par le cheval.
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En Mars, 2020 (19:51 PM)Pourquoiencore
En Mars, 2020 (14:00 PM)Sall
En Mars, 2020 (14:42 PM)Samb
En Mars, 2020 (15:26 PM)Dame
En Mars, 2020 (15:33 PM)-
c'est une caste d'idiots. ils sont incapables d'innover
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En Mars, 2020 (16:37 PM)-
maitre abdoulaye wade disait qu au senegal ,des chercheurs on en trouve mais qui trouvent on en cherche
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En Mars, 2020 (19:09 PM)Les magistrat veulent que l'intervention de l'Etat (qui représente les intérêt de tous) se limite à leur donner un gros budget, le reste ils en font leur affaire.
Dans l'enseignement primaire et secondaire, les affectations et les nominations se font, comme ils le disent, de manière "démocratique". Autrement ce sont les enseigants eux qui décident de leur avancelment, complétement déconnectés du mérite, et où ils vont servir (les grèves sont passées par là).
Au niveau des universités, en déhors du recteur, la nomination à des poste de responsabilité (Doyens, Directeur, directeur des études, assesseur, chef de département...) se font sur proposition des enseignants eu-mêmes. Maintenant, ils veulent la totale en décidant de la dénomination du recteur.
Le peuple, comme d'habitude, va défendre ses bourreaux, les corporatistes qui ne défendent que les intérêts de leur corps.
On peut rever de développement, d'émergence, d'indépendance mais ce ne sera qu'utopie si nous n'agissions en NATION plutôt qu'en conglomérat de corporations.
Samb
En Mars, 2020 (09:01 AM)Participer à la Discussion