Le secrétaire général du Saes, Seydi Ababacar Ndiaye, n’est de ceux qui applaudissent à tout rompre le rôle des religieux dans le dénouement de la crise scolaire. Au contraire. « C’est dommage qu’on soit obligé d’arriver à Touba et à Tivaouane pur régler des problèmes de l’école sénégalaise », a-t-il déclaré dans un entretien paru dans les colonnes du journal Enquête de ce samedi.
Le responsable du Saes estime qu’« il y a faillite de tous les côtés ». Il dit : « Il y a faillite de l’État et des syndicats. C’est dur à dire, mais c’est la vérité. On n’aurait jamais dû avoir recours à Touba et à Tivaouane pour régler des problèmes de l’école sénégalaise. Surtout que d’habitude, ces foyers-là ne sont pas trop pour l’école française. »
6 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2016 (11:11 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (12:22 PM)Anonyme
En Juin, 2016 (12:48 PM)Anonyme
En Juin, 2016 (14:39 PM)Ropartz
En Juin, 2016 (14:39 PM)Anonyme
En Juin, 2016 (14:45 PM)On lui bâtira au paradis une grande maison composée de 7 chambres tout en or. Dans chacune de ces chambres il y aura 1 000 lits avec dans chacun d’eux une épouse, en outre il
bénéficiera de bénédictions dues à 20 ans passés à jeûner et des bénédictions dues à 1 000 rakas effectués.
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