Au moment la communauté internationale célébrait la journée mondiale de la femme, dans la commune de Diawara située à 20 kilomètres de Bakel dans la région de Tambacounda, une jeune femme divorcée répondant du nom de Boye Sakho (30 ans) a été sauvagement violée et abandonnée à la berge. Les auteurs de cet acte ignoble : Birama Sy, Demba Konaté, Boulaye Sy et Dramane Cissokho, tous âgés de 20 ans et notoirement connus des services de la police ont été arrêtés.
Tout est parti d'une soirée culturelle que les habitants de Diawara organisaient dans la nuit du 5 au 6 mars dernier. Parmi les honorables invités, figurait la nommée Boye Sakho âgée de 30 ans divorcée. Aux environs de 3 heures du matin, la jeune femme décide de rentrer chez elle après s'être bien régalée. Et c'est en cours de route alors qu'elle marchait tranquillement, qu'elle a été interpellée par les nommés Birama Sy, Demba Konaté, Boulaye Sy et Dramane Cissokho, tous âgés de 20 ans et domiciliés dans la dite commune. Les quatre jeunes la somment d'aller avec eux derrière la berge. Cette dernière qui était loin de se douter de ce qui se tramait dans la tête des malfrats ne fait aucune résistance et s'exécute. A l'arrivée, les délinquants se mettent à la frapper violemment pour qu'elle s'allonge à même le sol. Ignorant les cris de détresse de la jeune femme, les 4 bandits commencent à la déshabiller pour ensuite faire leur sale besogne à tour de rôle. après leurs actes ignobles, les malfrats abandonnent leur proie gisant dans une marre de sang, avant de se fondre dans la nature sans laisser de traces. Les riverains alertés par les cris viendront constater l'acte ignoble perpétrée à l'encontre de la femme. Alertés, les hommes du commandant Samaké de la brigade de gendarmerie de Bakel rappliqueront dare-dare sur les lieux pour procéder au constat. L'opération déclenchée aussitôt en la circonstance a permis de localiser les 4 malfrats à la berge. Arrêtés puis jetés dans le panier à salades des pandores, ils sont tous conduits au poste de police. Soumis au feu roulant des questions des enquêteurs, les malfrats avouent sans ambages les faits qui leur sont reprochés et demandent la clémence. Ils seront présentés au procureur aujourd’hui. C'est l'émoi et la consternation totale dans la commune de Diawara ou les femmes n'ont pas pu célébrer la journée de la femme à cause de cet acte ignoble perpétré à l'encontre d'une des leurs.
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