Encore une histoire de torture dans la région de Kédougou. Un groupe de cinq
gendarmes qui effectuait une patrouille dans la région ont tabasse à mort un jeune sourd muet du nom de Thiétouka
Sidibé. Selon le correspondant de la Rfm , le groupe de jeunes a été surpris en
train de fumer du chanvre indien. Ne voulant pas être embarqué, le jeune a opposé
une résistance aux pandores. Trainé par
terre, ligoté et torturé, Thiétouka Sidibé succombera à ses blessures.
C’est la tension dans cette région car depuis ce matin des populations se sont
massés devant la brigade de la gendarmerie pour réclamer justice.
Faits-Divers
35 Commentaires
Pepe
En Août, 2012 (12:45 PM)Zagor
En Août, 2012 (12:46 PM)Suedois
En Août, 2012 (12:46 PM)C Faux
En Août, 2012 (12:49 PM),
En Août, 2012 (13:00 PM)wassalam. voila un pays oú on ne comprend plus rien. qui est qui ?
Cdlove
En Août, 2012 (13:03 PM)Cdlove
En Août, 2012 (13:04 PM)Bounkhatab
En Août, 2012 (13:29 PM)Neverland
En Août, 2012 (13:37 PM)Yone Défoule Yone ,yone Défoul
En Août, 2012 (13:39 PM)Big
En Août, 2012 (13:42 PM)Sn
En Août, 2012 (13:43 PM)Ignorant que la cigarette est mille fois plus nocive que le YAMBA
CONS
Fagadaga
En Août, 2012 (13:50 PM)A bon entendeur.
Kapiché
En Août, 2012 (13:51 PM)Platini
En Août, 2012 (14:02 PM)Kika
En Août, 2012 (14:12 PM)Nioule De Dionewar
En Août, 2012 (14:13 PM)*
Kloity
En Août, 2012 (14:17 PM)Cap Skirring
En Août, 2012 (14:26 PM)Rafète Niorte
En Août, 2012 (14:37 PM)Alors
En Août, 2012 (14:45 PM)Rass
En Août, 2012 (15:08 PM)Protenue
En Août, 2012 (15:19 PM)Oops
En Août, 2012 (15:35 PM)Jack
En Août, 2012 (15:46 PM)Jack
En Août, 2012 (15:48 PM)Laskha
En Août, 2012 (16:21 PM)Mor
En Août, 2012 (16:46 PM)Pistache
En Août, 2012 (19:05 PM)Mdl Ba
En Août, 2012 (19:10 PM)Kakatar*1
En Août, 2012 (19:17 PM)Gaache
En Août, 2012 (20:03 PM)Guiss Guiss
En Août, 2012 (20:03 PM)Mooo 100% Mooo
En Août, 2012 (21:38 PM)Kroutchev
En Août, 2012 (06:37 AM)C’est l’histoire d’une libération programmée. Le pouvoir, conformément à la promesse électorale de Macky Sall, tient à tous les coups à faire sortir Barthélémy Dias de prison. Le maire de Sicap-Mermoz-Sacré Cœur a été exfiltré de sa cellule pour les besoins d’une seconde perquisition qui a fait découvrir une autre arme chez lui. Comment ce pistolet a pu se retrouver là alors que la première perquisition au cours de laquelle les enquêteurs avaient fouillé sa maison de fond en comble sans pouvoir le découvrir ?
Pour comprendre cette affaire, nous avons essayé de suivre les traces de cette mystérieuse arme. Selon des informations obtenues, après investigations, la sœur de Barthélémy Dias avait à un moment fait le tour des armuriers de Dakar pour acheter un pistolet. Mais sa moisson ne fut guère fructueuse. L’un des armuriers nous a d’ailleurs confirmé le passage de la sœur de Barthélémy Dias dans son magasin. Mais c’était sans compter avec la détermination de cette dernière. Finalement, c’est en Inde que nous avons retrouvé ses traces. C’est effectivement dans ce pays qu’elle a pu se procurer le pistolet (un revolver CO2 Umarex Smith & Wesson MOD 686 d’une largeur de 285 mm avec un barillet de dix coups et dont les munitions sont de calibre 4,5 mm) que les enquêteurs ont découvert chez Barthélémy Dias lors de la seconde perquisition. La spécificité de cette arme, c’est qu’elle est de septième catégorie, donc en vente libre. L’autre particularité, c’est que ses munitions sont en plomb, mais aussi qu’elle est démontable et peut être facilement être transportée dans une valise sans attirer l’attention des douaniers.
Il est clair que si les enquêteurs se fondent sur ce pistolet, ils ne pourront pas retenir Barthélémy Dias en prison. Car, ce n’est pas cette arme qui a tué Ndiaga Diouf, mortellement atteint par une balle de calibre 38. Et ce n’est pas, non plus, la première arme de marque Taurus PT 917 CS TVL 11 733 que Barthélémy Dias a remis aux enquêteurs après son arrestation qui est en cause. L’arme fatale, dont les balles ont été extraites du corps de Ndiaga Diouf et de ceux des deux autres blessés, a mystérieusement disparu. On se souvient qu’un témoin avait déclaré à la police avoir vu un proche de Barthélémy Dias jeter un sachet, contenant probablement l’arme incriminée, dans la mer de Rufisque. Mais l’équipe de plongeurs dépêchés sur les lieux, en compagnie de policiers, n’avaient rien trouvé.
Pourtant, les images, qui ont fait le buzz sur Internet, montrent bien Barthélémy Dias avec deux pistolets tirant à bout portant sur Ndiaga Diouf et sa bande. L’un d’eux, de marque Taurus, est celui que le maire de Sicap-Mermoz-Sacré Cœur a remis aux enquêteurs. L’autre arme qu’il a mise récemment à la disposition des ces derniers à la suite de la seconde perquisition n’a jamais servi. Mais où est donc la fameuse seconde arme, qui a servi, que l’on voit sur les images dans les mains de Barthélémy Dias ?
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