On croyait l'affaire totalement enterrée ndékétéyoo, ce n'est pas tout à fait le cas. C'est au cours de lasemaine écoulée que la chose a été réactivée. Alors que la police était déjà dans le collimateur des danseuses et des organisateurs de la fameuse soirée, une des filles porte plainte pour, dit-elle, avoir été trompée dans cette affaire. Les initiateurs de lasoirée avaient en effet promis qu'il n’y aurait ni photo, ni caméra. Une promesse qui n'a pas été tenue puisque les images de Guddi Town ont voyagé un peu partout dans le monde via Internet. Pire, ça se vend depuis des mois sur Cd un peu partout à Ndakaaru. Vous imaginez les dégâts y compris chez les filles danseuses...
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la police s'y est mêlée. Pour le moment, deux filles sont en garde-à-vue. La plus célèbre danseuse de la soirée Guddi Town, Ndèye Guèye (c'est elle qui dansait sur le batteur de tam-tam) et la fille qui avait décidé de saisir la police d'une plainte, une certaine Fatima.
Dans la cave de la Dic, il y a aussi le propriétaire d'Alexandra, un Jean-Marc lui aussi bien visible dans la vidéo Internet. Tout ce bon paquet se trouve en garde-à-vue à la Rue Carde en attendant d'être déféré.
La police est sur les traces de six autres filles ayant pris part à la soirée hot, hot. Selon les mauvaises langues, certaines d'entre elles, craignant d'être arrêtées, ont réussi à sortir du territoire.
Une affaire à suivre...
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