Une grosse perte pour la Ummah islamique et la communauté éducative.
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Une grosse perte pour la Ummah islamique et la communauté éducative.
La Haute Autorité du Waqf (HAW) et la LIPS ont saisi l’occasion pour effectuer une série de visites aux chefs religieux des départements de Thiès, Tivaouane et Mbour
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
La communauté Layene sous le khalifat de Seydina Mouhamadou Makhtar Lahi a mis en place des structures chargées de redynamiser et de moderniser l’œuvre et l’héritage de Seydina Limamou Lahi Al Mahdi...
Une grosse perte pour la Ummah islamique et la communauté éducative.
Le débat épistolaire entre Boubacar Boris Diop et Souleymane Bachir Diagne aurait-il un effet d’entrainement ?
Le débat est de haut niveau.
Le conférencier Imam Mouhamadou Makhtar Kanté s'est dit "séduit" par le niveau du débat opposant Boubacar Boris Diop à Souleymane Bachir Diagne sur l'histoire de Cheikh Anta Diop.
Imam de la mosquée Point E, Ahmadou Makhtar Kanté n’attend pas les vendredis pour s’adresser aux fidèles.
La situation du pays près de deux ans après l’arrivée de Macky Sall, les attentes des populations, la philosophie, les nouveaux chantiers et les perspectives de Y’En A Marre sont, entre autres, les sujets abordés avec le Coordonnateur du Mouvement, Fadel Barro. Il est le premier invité de Ganou Seneweb et montre que malgré l’importance de la chute de Wade, le combat et la mobilisation ne s’estompent pas.
Le vieux chauve s’en est allé depuis maintenant un an. Les sénégalais qu’il méprisait tant lui ont réglé son compte. Il ne fait aucun doute que Wade aura été l’un des plus mauvais présidents de la planète, un comédien, un mythomane doublé d’un cleptomane. C’est à son image qu’il choisissait ses amis, recrutait ses collaborateurs, ou s’en débarrassait lorsqu’ils ne sont pas ou ne deviennent pas aussi vicelards qu’il souhaitait.
« L’islam intervient comme une variable des Républiques musulmanes sans en constituer le facteur explicatif. Du point de vue de l’analyse politique, il n’existe d’ailleurs pas en tant que catégorie, bien que nous rencontrions sans conteste des musulmans. Là, comme ailleurs, l’interprétation culturaliste embrouille ce qu’elle prétend éclairer : la dimension culturelle de l’action politique. » (Jean François Bayart, in L’islam républicain, Editions Albin Michel, 2010).Cette remarque d’ordre méthodologique semble ne pas préoccuper la plupart des chercheurs ou analystes de « l’islam politique ». L’obstacle est quasi insurmontable chez les professionnels de la politique ou les journalistes. D’où l’interrogation rhétorique du politiste français : « Pourquoi douter de la compatibilité de l’islam avec la République quand des centaines de millions de musulmans vivent d’ores et déjà en République, plutôt qu’en monarchie ou en théocratie ? »
2008 : Ces sénégalais qui ont marqué l’année │ 2008, une année bien fade. Les Sénégalais qui avaient l’habitude de se signaler dans les domaines de la Culture, du Sport etc, ont brillé à travers le monde par leur absence sur les grands podiums de l’excellence. Mais il n’en manque pas qui, dans leurs secteurs d’activités respectifs, à avoir tiré leur épingle du jeu. Nous en avons répertoriés quelques-uns, en nous fondant sur l’impact (négatif comme positif) que leur engagement a eu sur la marche du pays.