Pyongyang affirme que les Etats-Unis et la Corée du Sud s’entraîneraient en vue d’une « occupation » de son territoire.
La Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques au large de sa côte orientale, a fait savoir lundi 27 mars l’état-major interarmées sud-coréen. « Notre armée a renforcé la surveillance et la vigilance vis-à-vis de nouveaux lancements, tout en maintenant une posture de préparation totale grâce à une coopération étroite entre la Corée du Sud et les Etats-Unis », a déclaré l’état-major. D’après chaîne de télévision publique japonaise NHK, les missiles ont parcouru une distance de 350 kilomètres. Selon les garde-côtes japonais, cités par la presse locale, les missiles ont atterri hors de la zone économique exclusive du Japon.
La Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques au large de sa côte orientale, a fait savoir lundi 27 mars l’état-major interarmées sud-coréen. « Notre armée a renforcé la surveillance et la vigilance vis-à-vis de nouveaux lancements, tout en maintenant une posture de préparation totale grâce à une coopération étroite entre la Corée du Sud et les Etats-Unis », a déclaré l’état-major. D’après chaîne de télévision publique japonaise NHK, les missiles ont parcouru une distance de 350 kilomètres. Selon les garde-côtes japonais, cités par la presse locale, les missiles ont atterri hors de la zone économique exclusive du Japon.
Ce lancement a eu lieu quelques jours après l’achèvement, jeudi, par Séoul et Washington des plus grands exercices militaires conjoints depuis cinq ans. Pyongyang considère ces manœuvres, baptisées « Freedom Shield », comme des répétitions préparant l’invasion de son territoire. Elle a averti à plusieurs reprises qu’elle y répondrait de manière « écrasante ». Les médias d’Etat nord-coréens ont ainsi évoqué vendredi la nécessité pour leur pays de se doter de « moyens de dissuasion plus puissants », notamment « une capacité d’attaque nucléaire plus développée, plus polyvalente et plus offensive ».
Série de tirs nord-coréens
L’armée nord-coréenne multiplie depuis quelques semaines les tests, tirs de missiles et manœuvres militaires. Elle a notamment testé jeudi ce qu’elle présente comme un nouveau « drone d’attaque nucléaire sous-marin » capable de déclencher un « tsunami radioactif », une information accueillie avec scepticisme par les analystes. La Corée du Nord avait également procédé mercredi au lancement de son deuxième missile balistique intercontinental (ICBM) de l’année.
Après une année record d’essais d’armes et de menaces nucléaires croissantes de la part de Pyongyang en 2022, Séoul et Washington renforcent leur coopération en matière de sécurité. En 2022, la Corée du Nord s’est déclarée puissance nucléaire « irréversible » et le dirigeant Kim Jong-un a récemment appelé à une augmentation « exponentielle » de la production d’armes, y compris d’armes nucléaires tactiques.
L’armée nord-coréenne multiplie depuis quelques semaines les tests, tirs de missiles et manœuvres militaires. Elle a notamment testé jeudi ce qu’elle présente comme un nouveau « drone d’attaque nucléaire sous-marin » capable de déclencher un « tsunami radioactif », une information accueillie avec scepticisme par les analystes. La Corée du Nord avait également procédé mercredi au lancement de son deuxième missile balistique intercontinental (ICBM) de l’année.
Après une année record d’essais d’armes et de menaces nucléaires croissantes de la part de Pyongyang en 2022, Séoul et Washington renforcent leur coopération en matière de sécurité. En 2022, la Corée du Nord s’est déclarée puissance nucléaire « irréversible » et le dirigeant Kim Jong-un a récemment appelé à une augmentation « exponentielle » de la production d’armes, y compris d’armes nucléaires tactiques.
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