La tournée internationale de Donald Trump n'est pas de tout repos pour un chef d'État de 70 ans. La fatigue se fait en effet déjà sentir alors que le président n'a pas encore posé le pied en Europe pour deux rendez-vous cruciaux... Il contient difficilement ses bâillements, peine à garder les yeux ouverts et s'embrouille dans ses discours: Donald Trump accuse déjà le coup après les deux premières étapes d'une tournée de huit jours et qui l'amènera jusqu'au sommet du G7 en Sicile.
Selon Le Los Angeles Times, ces visites diplomatiques s'avèrent particulièrement "épuisantes" pour un président de 70 ans qui "aime dormir à la maison". Le doyen Trump L'anecdote n'est pas sans intérêt. Si ses prédécesseurs Bill Clinton, Ronald Reagan et George Bush Sn n'étaient guère plus endurants loin de leurs frontières, Donald Trump est quant à lui devenu, à 70 ans, le plus vieil homme à accéder à la présidence des Etats-Unis.
Un aspect non négligeable pour celui qui a en outre la réputation d'être "casanier", cultive l'habitude de retrouver ses appartements chaque soir et préfère dîner dans ses propres restaurants. La terreur "islamique" Or, la fatigue peut provoquer d'embarrassantes maladresses diplomatiques. Lors de son discours en Arabie saoudite, le président a ainsi confondu les termes "islamique" et "islamiste", soit l'islam et l'extrémisme religieux. Un conseiller s'est contenté de répondre aux journalistes que Donald Trump était "juste un homme épuisé".
Quand Trump se moquait de la "faiblesse" de Clinton Évidemment, les archives sont faites pour s'en servir et d'aucuns n'hésitent pas à rappeler aujourd'hui les attaques incessantes de Donald Trump sur le manque d'endurance physique de son adversaire d'alors, Hillary Clinton, pourtant fortement diminuée par une pneumonie lors de la campagne présidentielle: "Voilà une femme qui est censée combattre tout ça et qui n'est pas capable de marcher 5 mètres jusqu'à une voiture", imitation de la candidate démocrate, voûtée et chancelante, à l'appui.
"The vomiting incident" Jusqu'ici, Donald Trump a toutefois pu sauvegarder les apparences. C'est tout à son honneur car les précédents ne manquent en la matière. Le voyageur le plus fragile demeure, sans conteste, l'ex-président George Bush dont l'épisode du vomissement sur les genoux du Premier ministre japonais Kiichi Miyazawa est resté dans les annales de la politique américaine. À découvrir ci-dessous.
2 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2017 (14:05 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (15:18 PM)Participer à la Discussion