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CULTURE : Karim Wade felicite Viviane Chidid
Le Ministre d’Etat Karim Wade a appelé l’artiste sénégalaise Viviane Chidid pour la féliciter suite à sa distinction. La diva du Djolof Band a été la grande gagnante du trophée du concourt «Museke» African Music Awards. La cérémonie a eu lieu aux Usa où l’artiste a été reçue par le Chef de l’Etat. Viviane a remporté deux Awards et pas des moindres : Awards du meilleur artiste femme de l'année « Best Femal Artist». Awards du meilleur clip vidéo «Best Music Vidéo».
43 Commentaires
Un Inconnu
En Septembre, 2011 (19:40 PM)Gazelle Lo
En Septembre, 2011 (19:40 PM)Oki
En Septembre, 2011 (19:41 PM)Jom Goonga
En Septembre, 2011 (19:42 PM)Benn
En Septembre, 2011 (19:42 PM)Galsen Girl
En Septembre, 2011 (19:43 PM)New Mexico
En Septembre, 2011 (19:45 PM)Bil
En Septembre, 2011 (19:46 PM)Dxb
En Septembre, 2011 (19:49 PM)Soyons mature
Soyons KARIM
Elegance
En Septembre, 2011 (19:50 PM)Lambaay
En Septembre, 2011 (19:53 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (22:29 PM)Maxi
En Septembre, 2011 (19:54 PM)Niité
En Septembre, 2011 (19:55 PM)Xalassatie
En Septembre, 2011 (20:00 PM)ATHIA NA RANG BII DIOUB
Kothie
En Septembre, 2011 (20:01 PM)Fen
En Septembre, 2011 (20:09 PM)P
En Septembre, 2011 (20:22 PM)Xibaar
En Septembre, 2011 (20:23 PM)Fan
En Septembre, 2011 (20:40 PM)Koumou nekhoul...
Caporal Diedhiou
En Septembre, 2011 (20:52 PM)Thiongolong ko way boy karim
Goor
En Septembre, 2011 (20:55 PM)Papalare
En Septembre, 2011 (21:06 PM)C Pas Just
En Septembre, 2011 (21:08 PM)@caporal Diedhiou
En Septembre, 2011 (21:14 PM)Toi
En Septembre, 2011 (21:16 PM)Queencity
En Septembre, 2011 (21:32 PM)Jo
En Septembre, 2011 (21:32 PM)Virusdjiné
En Septembre, 2011 (21:46 PM)«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assa page Wade semble définitivement tournée pour Idrissa Seck. L'ancien Premier ministre a tenu à le réaffirmer après les informations parues dans le journal Le Pays selon lesquelles il aurait rencontré le fils du président Wade à Paris, pour négocier un « protocole » en direction de la présidentielle de 2012.
«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présea page Wade semble définitivement tournée pour Idrissa Seck. L'ancien Premier ministre a tenu à le réaffirmer après les informations parues dans le journal Le Pays selon lesquelles il aurait rencontré le fils du président Wade à Paris, pour négocier un « protocole » en direction de la présidentielle de 2012.
«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout ra page Wade semble définitivement tournée pour Idrissa Seck. L'ancien Premier ministre a tenu à le réaffirmer après les informations parues dans le journal Le Pays selon lesquelles il aurait rencontré le fils du président Wade à Paris, pour négocier un « protocole » en direction de la présidentielle de 2012.
«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.endez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.nce à la tête a page Wade semble définitivement tournée pour Idrissa Seck. L'ancien Premier ministre a tenu à le réaffirmer après les informations parues dans le journal Le Pays selon lesquelles il aurait rencontré le fils du président Wade à Paris, pour négocier un « protocole » en direction de la présidentielle de 2012.
«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.ure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.
Mbottt
En Septembre, 2011 (21:47 PM)«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en aa page Wade semble définitivement tournée pour Idrissa Seck. L'ancien Premier ministre a tenu à le réaffirmer après les informations parues dans le journal Le Pays selon lesquelles il aurait rencontré le fils du président Wade à Paris, pour négocier un « protocole » en direction de la présidentielle de 2012.
«La première fois (2007), je ne pouvais pas refuser à Serigne Saliou Mbacké et à Tivaouane d’aller répondre (à l’invitation de Wade pour une audience). Je sais ce que cela m’a coûté en termes de colère de mes partisans, de ma propre femme, de mes propres enfants. Maintenant, quand j’ai compris que son objectif était simplement de me proposer un poste de vice-président -il avait même signé le décret-, j’ai tourné la page. Mais ce n'était pas le sujet. Le sujet pour moi, c’est qu’il ne viole pas la Constitution. La Constitution, c’est nous-mêmes qui l’avons faite.
J’étais son directeur de Cabinet, c’est moi qui ai supervisé les travaux. Avant qu’on arrive au pouvoir, il n’y avait pas de limitation à deux mandats, c’est nous qui l’avons introduite. Et la Constitution est très claire sur le mandat qui n’est renouvelable qu’une seule fois. Et dans les dispositions transitoires, la Constitution dit : le Président termine son mandat en cours. Point ! Ensuite, toutes les autres dispositions lui sont applicables. La seule dérogation que faisait cette Constitution de 2001, c’était la durée du mandat en cours qui était de sept ans au lieu de cinq.
Mais toutes les autres dispositions, en particulier la limitation du mandat à deux, lui sont applicables », déclare le maire de Thiès dans une interview accordée à L’Observateur.Revenant sur cette audience avec le chef de l’Etat, Idrissa Seck révèle lui avoir dit : « Tu ne violes pas la Constitution, tu ne ruines pas toute ta vie de démocrate en portant un projet dynastique ; ça ne marchera pas. Tout le temps que j’étais avec toi, je t’ai toujours dit la vérité, je ne t’ai jamais menti. En pleine déclaration de politique générale, étant Premier ministre, quand Ousmane Tanor Dieng (secrétaire général du Parti socialiste) m’a interrogé sur les dates que tu m’avais données pour tes grands travaux, devant l’Assemblée nationale, j’ai dit que je ne les donnerais pas puisque ce n’était pas sûr. Aujourd’hui, où sont tes rails à grand écartement ?
Où sont tes sept TGV (Trains à grande vitesse) ? Où est la centrale nucléaire ? Où est le tramway ? C’est ça que je voulais éviter, parce que moi, je connaissais ma responsabilité : elle est politique. »S'agissant de supposée rencontre avec Karim Wade à l’hôtel Saint-James de Paris, Idrissa Seck déclare : « nl’histoire de Karim, c’est complètement faux. Il est venu jusque-là, il a enlevé ses lunettes noires, il a regardé, il s’est dit que c’est bien moi. Et hop, il a fait demi-tour et il est ressorti. J’étais assis là-bas. Eux (Karim Wade et Abbas Jaber, le Dg de la Suneor, Ndlr) sont entrés par là. Karim m’a bien regardé, il est entré puis a fait demi-tour. Il est ensuite venu vers Vieux (Sandjéry Diop), mon garde du corps qui était assis là, il lui a serré la main puisqu’il le connaît. Après, il est allé là-bas à la terrasse. Dix minutes plus tard, il est parti.
On n’avait pas du tout rendez-vous, assure-t-il. J’ai déjà dit que je n’avais plus aucun contact, ni direct ni indirect, avec Abdoulaye Wade, parce que sa présence à la tête du Sénégal est devenue un danger, une calamité pour les populations. Et que je travaille exclusivement à son départ. Mon congrès l’a confirmé d'ailleurs en disant que Wade était formellement et exclusivement hors de nos discussions. Donc, je n’ai plus rien à voir avec eux. Mais eux, je sais bien qu’ils cherchent ou qu'ils veulent accréditer l’idée qu’il y a encore des possibilités de se retrouver. Mais il n’y en a aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade. aucune », affirme le maire de Thiès avec véhémence. L'information selon laquelle Karim Wade a rencontré Idrissa Seck à l'hôtel Saint James a été publiée par le journal Le Pays, lancé par Cheikh Diallo, conseiller et proche de Karim Wade.
Faux
En Septembre, 2011 (22:14 PM)Rire
En Septembre, 2011 (22:34 PM)Eveline
En Septembre, 2011 (22:46 PM)A
En Septembre, 2011 (02:46 AM)Pauvreté Mentale
En Septembre, 2011 (08:15 AM)Et en plus ils se laissent aveuglés par la religion tt est religion! Ndeyssane Sénégal
Maguicha
En Septembre, 2011 (08:23 AM)Bro
En Septembre, 2011 (09:15 AM)Eh bin je dit bravo à mes cousins de GELONGAL!!
Mambousso
En Septembre, 2011 (09:48 AM)Je Comprend Pas
En Septembre, 2011 (10:05 AM)Leila
En Septembre, 2011 (11:43 AM)Unknown
En Septembre, 2011 (11:48 AM)Md
En Septembre, 2011 (15:08 PM)Poli Gol
En Septembre, 2011 (19:14 PM)Shoups
En Octobre, 2011 (01:25 AM)Participer à la Discussion