«Aucun parent ne déboursera un seul centime pour l’éducation de ses enfants». Le vœu a été exprimé samedi à Thiès lors de la rentrée politique du leader du mouvement 3A (Avenir Africains associés), Abdoulaye Mady Ndiaye. Secrétaire général de l’Organisation européenne de l’aviation civile, le candidat déclaré à la présidence de la République a dévoilé devant ses militants, un pan de la politique qu’il compte mettre en œuvre, si élu le 24 février prochain.
«Je voudrais être le candidat de l’industrialisation. Si on n’a pas d’usines, vos enfants ne pourront pas travailler. Je veux être le candidat des partenariats gagnants-gagnants», a déclaré celui qui se présente également comme «le candidat de l’innovation».
A l’heure de la polémique autour des contrats signés avec des multinationales en vue d’exploiter les ressources pétrolières et gazières du Sénégal, le candidat déclaré déplore que «Le Sénégal ne gagne que 10% au final sur chaque contrat signé, car ce sont les étrangers qui raflent les 90%. Il faut mettre un terme à cela. Pour y arriver, il nous faut maitriser la technologie», recommande-t-il.
Or, «Si j’ai pu réussir pour diriger aujourd’hui l’aviation civile mondiale, c’est parce que le Sénégal m’a donné une éducation. Je suis le candidat de l’éducation nationale, d’un système d’éducation nationale d’Etat», reconnait Abdoulaye Mady Ndiaye qui s’est également prononcé sur le réchauffement climatique et ses conséquences. Regardez !
4 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2018 (20:43 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (20:43 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (21:53 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (23:40 PM)Nous Devons L’ecouter attentivement
Un manager de Classe exceptionel
LAfrique a besoin de lui
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