L’Etat du Sénégal n’aura pas réussi à changer l’avis du Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire de Karim Wade. En effet, Président de ladite instance onusienne, M. Seong-Phil Hong, a indiqué, dans une déclaration, que «Le Groupe de travail se tient à son avis selon lequel la détention de M. Karim Wade est arbitraire». Il demande ainsi, au gouvernement, «de prendre les mesures nécessaires pour remédier à la situation et la rendre conforme aux normes internationales des droits de l’homme».
«Nous ne disposons d’aucune nouvelle information susceptible de nous amener à modifier notre décision», a indiqué le Groupe de travail des Nations unies. C’est pourquoi, il a confirmé aujourd’hui sa décision de 2015 sur l’affaire Karim Wade, qui purge actuellement une peine de prison de six ans pour corruption.
18 Commentaires
Bismillah
En Janvier, 2016 (17:07 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (17:08 PM)Il reste en prison.
Point final
Bismillah
En Janvier, 2016 (17:11 PM)en bas grâce preisdentiel
Bismillah
En Janvier, 2016 (17:14 PM)que des cœur noir et du jungle.
ko hakh yi
Evidence
En Janvier, 2016 (17:22 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (17:32 PM)Noir Esclave Des Blanc
En Janvier, 2016 (17:34 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (17:48 PM)Isotherme
En Janvier, 2016 (18:12 PM)Sankara2
En Janvier, 2016 (18:33 PM)Faye Sall
En Janvier, 2016 (18:55 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (19:37 PM)Lick1239
En Janvier, 2016 (20:11 PM)La réponse a été téchnique et il va falloir à l'Etat du Sénégal de prouver les allégations. Karim a été emprisonné sur des allégations en confisquant les biens d'autruis pour le lui attribué de force car Bourgi à la mal chance d'etre un ami proche.
L'Etat a ambarqué tout le Sénégal dans de l'intoxe et aujourd'hui aucun sénégalais ne connais un seul bien qu'on a attrubué à Karim. Le dossier est vide juridiquement c'est juste pour satisfaire le désir de la population dont j'en fait parti mais aujourd'hui il doit etre libre car il est dans ces droits.
Anonyme
En Janvier, 2016 (23:17 PM)48. En conséquence, le Groupe de travail demande au Gouvernement de la République du Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale conformément à l’article 9(5) du PIDCP.
49. Le Groupe de travail rappelle que le Conseil des droits de l’homme a demandé à tous les États de coopérer avec le Groupe de travail, de tenir compte de ses avis et de prendre les mesures appropriées pour remédier à la situation des personnes privées de leur liberté, ainsi que d’informer le Groupe de travail des mesures qu’ils auront prises4. En conséquence, le Groupe de travail requiert la coopération pleine et entière de la République du Sénégal dans la mise en œuvre de cet avis pour effectivement remédier à une violation du droit international.
[Adopté le 20 avril 2015]
Verite
En Janvier, 2016 (23:17 PM)48. En conséquence, le Groupe de travail demande au Gouvernement de la République du Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale conformément à l’article 9(5) du PIDCP.
49. Le Groupe de travail rappelle que le Conseil des droits de l’homme a demandé à tous les États de coopérer avec le Groupe de travail, de tenir compte de ses avis et de prendre les mesures appropriées pour remédier à la situation des personnes privées de leur liberté, ainsi que d’informer le Groupe de travail des mesures qu’ils auront prises4. En conséquence, le Groupe de travail requiert la coopération pleine et entière de la République du Sénégal dans la mise en œuvre de cet avis pour effectivement remédier à une violation du droit international.
[Adopté le 20 avril 2015]
Anonyme
En Janvier, 2016 (23:21 PM)1. Tout individu a droit à la liberté et à la sécurité de sa personne. Nul ne peut faire l'objet d'une arrestation ou d'une détention arbitraire. Nul ne peut être privé de sa liberté, si ce n'est pour des motifs et conformément à la procédure prévus par la loi.
2. Tout individu arrêté sera informé, au moment de son arrestation, des raisons de cette arrestation et recevra notification, dans le plus court délai, de toute accusation portée contre lui.
3. Tout individu arrêté ou détenu du chef d'une infraction pénale sera traduit dans le plus court délai devant un juge ou une autre autorité habilitée par la loi à exercer des fonctions judiciaires, et devra être jugé dans un délai raisonnable ou libéré. La détention de personnes qui attendent de passer en jugement ne doit pas être de règle, mais la mise en liberté peut être subordonnée à des garanties assurant la comparution de l'intéressé à l'audience, à tous les autres actes de la procédure et, le cas échéant, pour l'exécution du jugement.
4. Quiconque se trouve privé de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d'introduire un recours devant un tribunal afin que celui-ci statue sans délai sur la légalité de sa détention et ordonne sa libération si la détention est illégale.
5. Tout individu victime d'arrestation ou de détention illégale a droit à réparation.
Sara
En Janvier, 2016 (02:48 AM)des choses plus importantes se passent dans le monde et il se tait
Anonyme
En Janvier, 2016 (17:22 PM)Voila qu'on récolte pour n'avoir pas une justice indépendante.....
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