Le Secrétariat exécutif permanent (Sep) de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) est monté au créneau, hier, pour défendre le Premier ministre.
En effet, suite à sa sortie créditant Macky Sall d'un score de 57%, Mahammed Dionne continue d'essuyer les critiques.
Pourtant, selon le Sep de Bby, rapporte Vox Populi, ces résultats sont parvenus au Directoire de Macky Sall sont vérifiables.
10 Commentaires
Macky a gagné
Vous avez perdu il faut l'accepter
Le Sénégal Gal avance
La Verite
En Février, 2019 (08:50 AM)Allah dit (traduction rapprochée) :
"Seuls forgent le mensonge ceux qui ne croient pas aux versets d'Allah; et tels sont les menteurs". Sourate An-Nahl, v 105
-Le mensonge est une des caractéristiques des hypocrites
On trouve dans les deux recueils authentiques d'après Abû Hurayrah que le Prophète ??? ???? ???? ???? a dit :
"Les caractéristiques de l'hypocrite sont au nombre de trois : lorsqu'il parle, il ment.
Lorsqu'il promet, il ne tient pas sa promesse.
Et lorsqu'on lui confie un dépôt, il le trahit".
-Le mensonge mène le menteur à la dépravation
On trouve dans les deux recueils authentiques d'après Ibn Mas'ûd que le Prophète ??? ???? ???? ???? a dit :
"Dire la vérite mène au bien, et le bien mène au paradis.
L'homme ne cesse de dire la vérité et d'être véridique en toute chose, jusqu'à ce qu'il soit auprès d'Allah comme véridique.
Mentir mène à la dépravation, et la dépravation mène à l'enfer.
L'homme ne cesse de mentir et de pratiquer le mensonge jusqu'à ce qui'il soit inscrit auprès d'Allah comme menteur".
puis 45 minutes plus tard de façon joviale presque enfantine en réponse le PM , arrêtez de prendre les gens pour des imbéciles !
Ass
En Février, 2019 (13:06 PM)Les chiffres de la présidentielle 2019 publiés par certains journaux et sites internet le 26 février interpellent tout observateur. La première incongruité c’est que des législatives du 30 juillet 2017 à la présidentielle de 2019, le parti au pouvoir passe de 1.637.766 voix à 2.483.122 voix, soit un bond de 845.356 voix en 18 mois.
Avec le taux de participation fixé à 64 %, pour passer au premier tour il faut obtenir 2.138.574 voix. Rapporté aux résultats des législatives, il fallait au parti au pouvoir faire un bond de 500.807 voix alors que la dernière révision des listes électorales n’ a permis d’enregistrer que 381.000 nouveaux inscrits dont l’essentiel est constitué de primo votants.
L’analyse des chiffres publiés permet de constater que les records de votes engrangés par le parti au pouvoir s’est fait en dehors des régions Diourbel et Thiès. Ce même recul a été observé au niveau de la diaspora. L’opposition a fait des progrès notables dans ces régions. Il s’y ajoute un fait nouveau constitué par le contrôle de la région de Ziguinchor par le candidat Ousmane SONKO.Il faut donc jeter un regard pointu sur le bond de 845.000 voix enregistrées en 18 mois. A titre d’illustration, le parti au pouvoir est passé de 114.165.voix à Dakar lors des législatives à 212.355.voix. Malgré ce fait inexplicable, le parti au pouvoir est encore minoritaire.
Les chiffres de la zone nord sont mirobolants. Le candidat du parti au pouvoir a obtenu des gains automatiques que rien ne justifie. Il est donc essentiel de jeter un regard sur les écarts qui ont été notés dans certaines régions. A Podor, le parti au pouvoir est passé de 78 997 aux législatives de 2017 à 127 639 soit une différence 48 642 alors que Osez l’avenir qui était arrivé deuxième n’avait que 6.248 voix. A Matam, il passe de 66.650 à 92.454 voix soit un écart de 25.804 voix. A Kanel, il passe de 44334 à 65 679 soit un écart de 21 345 voix. A Ranérou, il passe de 7973 à 14827 soit un bond de 100%. Au total, sur ces quatre départements un bond de 102 645 voix a été dans ces localités ou le candidat frise des scores de l’ordre de 90%. Des bonds de l’ordre de 20.000 voix sont constatés à Linguère et Louga. A Fatick, le bond noté est de plus de 25.877 voix et à Foudiougne 19.811 sans explication ni fait nouveau. A ce niveau, les procès-verbaux des bureaux de vote de ces régions doivent être passés au crible.
Si le taux de participation par rapport aux législatives n’a bondi que de 10%, les voix engrangées par le parti au pouvoir, selon les chiffres publiés, ont cru de 34%. Est-ce que le croit du taux de participation n’a bénéficié qu’au parti au pouvoir alors qu’il avait plutôt intérêt à resserrer ce taux.
Le bond de 845.356 voix en 18 mois ne trouve pas d’explication plausible. Il faut revenir à la vérité du terrain et des données politiques du contexte afin d’éviter l’embrasement du pays. Les magistrats ont la lourde charge de distinguer le vrai de l’ivraie.
Ass
En Février, 2019 (13:06 PM)Les chiffres de la présidentielle 2019 publiés par certains journaux et sites internet le 26 février interpellent tout observateur. La première incongruité c’est que des législatives du 30 juillet 2017 à la présidentielle de 2019, le parti au pouvoir passe de 1.637.766 voix à 2.483.122 voix, soit un bond de 845.356 voix en 18 mois.
Avec le taux de participation fixé à 64 %, pour passer au premier tour il faut obtenir 2.138.574 voix. Rapporté aux résultats des législatives, il fallait au parti au pouvoir faire un bond de 500.807 voix alors que la dernière révision des listes électorales n’ a permis d’enregistrer que 381.000 nouveaux inscrits dont l’essentiel est constitué de primo votants.
L’analyse des chiffres publiés permet de constater que les records de votes engrangés par le parti au pouvoir s’est fait en dehors des régions Diourbel et Thiès. Ce même recul a été observé au niveau de la diaspora. L’opposition a fait des progrès notables dans ces régions. Il s’y ajoute un fait nouveau constitué par le contrôle de la région de Ziguinchor par le candidat Ousmane SONKO.Il faut donc jeter un regard pointu sur le bond de 845.000 voix enregistrées en 18 mois. A titre d’illustration, le parti au pouvoir est passé de 114.165.voix à Dakar lors des législatives à 212.355.voix. Malgré ce fait inexplicable, le parti au pouvoir est encore minoritaire.
Les chiffres de la zone nord sont mirobolants. Le candidat du parti au pouvoir a obtenu des gains automatiques que rien ne justifie. Il est donc essentiel de jeter un regard sur les écarts qui ont été notés dans certaines régions. A Podor, le parti au pouvoir est passé de 78 997 aux législatives de 2017 à 127 639 soit une différence 48 642 alors que Osez l’avenir qui était arrivé deuxième n’avait que 6.248 voix. A Matam, il passe de 66.650 à 92.454 voix soit un écart de 25.804 voix. A Kanel, il passe de 44334 à 65 679 soit un écart de 21 345 voix. A Ranérou, il passe de 7973 à 14827 soit un bond de 100%. Au total, sur ces quatre départements un bond de 102 645 voix a été dans ces localités ou le candidat frise des scores de l’ordre de 90%. Des bonds de l’ordre de 20.000 voix sont constatés à Linguère et Louga. A Fatick, le bond noté est de plus de 25.877 voix et à Foudiougne 19.811 sans explication ni fait nouveau. A ce niveau, les procès-verbaux des bureaux de vote de ces régions doivent être passés au crible.
Si le taux de participation par rapport aux législatives n’a bondi que de 10%, les voix engrangées par le parti au pouvoir, selon les chiffres publiés, ont cru de 34%. Est-ce que le croit du taux de participation n’a bénéficié qu’au parti au pouvoir alors qu’il avait plutôt intérêt à resserrer ce taux.
Le bond de 845.356 voix en 18 mois ne trouve pas d’explication plausible. Il faut revenir à la vérité du terrain et des données politiques du contexte afin d’éviter l’embrasement du pays. Les magistrats ont la lourde charge de distinguer le vrai de l’ivraie.
Toubab bi daan reye seeni maame, di leen torokhal, moo leen diaral teye ngueen di diaaye seen ngor, di neup neuppeul aye gnawteef? Moo leen diaral ngueen di door seeni mbokk, dileen torokhal?
Comment pouvez-vous être complices de fraudes envers votre propre people, fermer les yeux et défendre avec arrogance l’indéfendable ?
Ce sont des gens comme vous qui hier donnaient leurs frères en esclavage en échange de miroirs, de vin et de fusils. C’est encore des gens comme vous qui font que certains africains s’entretuent dans des conditions infames, pendant qu’ils savourent leurs privilèges dans leurs tours dorées.
Être au pouvoir, surtout en Afrique, n’est pas un privilège, mais un lourd sacrifice pour celui qui est conscient de ses responsabilités.
Ceux qui se sont battus, parfois anonymement, ou sont morts pour notre dignité et notre démocratie, se sont sacrifiés pour que leurs enfants prennent le relais, et soient enfin libres de présider à leurs propres destinées.
Vous nous parlez d’émergence et vous foulez du pied des valeurs humaines indispensables à cette émergence : intégrité, gnak thiaakhaane, foulleu ak fayda. Est-ce l’exemple que vous voulez laisser à vos enfants ?
Aidez-nous a mettre fin a cette mascarade de processus électoral et sauvez au moins ce qui vous reste de conscience citoyenne.
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