L’ancien Premier ministre, Idrissa Seck, a parlé et a édifié les Sénégalais. Il sera candidat à la prochaine élection présidentielle de 2007. Mais, au-delà des raisons avancées dans le Cd distribué, l’Office vous livre les véritables motivations de la candidature du maire de Thiès.
« J’ai décidé de me lancer dans la course en 2007 pour trois raisons », telle est la révélation faite par Idrisssa à un homme d’affaires qui s’est confié dans l’anonymat. Ainsi, en marge des explications distillées dans le Cd diffusé hier par les radios, Idrissa Seck est revenu avec cet homme d’affaires sur les
raisons fondamentales de sa candidature, qu’il n’avait pas envisagée au lendemain de sa sortie de Rebeuss. En effet, l’édile de Thiès qui était, certes, convaincu de sa popularité, n’avait jamais imaginé que celle-ci pouvait atteindre une telle ampleur. Il confie alors à notre source : « Jamais je n’aurais pensé que mes compatriotes vouaient une aussi grande sympathie à ma personne. C’est à travers les tournées au Sénégal et dans le monde, après ma sortie de prison, que je me suis rendu compte que je suscitais autant d’espoir ». Cette déclaration est confirmée par un des proches de l’ex-Premier ministre, qui assure que « ce sont ses nombreux sympathisants qui l’ont obligé à déposer sa candidature. Et s’il ne s’était pas positionné maintenant, nombre de ces mouvements et sympathisants lui auraient tourné le dos ». D’ailleurs, Idrissa Seck, qui s’est confié, a déclaré : « J’avais pensé représenter la minorité incontournable, que j’ai d’ailleurs théorisée, alors que la sympathie des Sénégalais envers ma personne est plus large que je ne l’imaginais ». Allusion faite au « Msis » et à « l’Initiative de la diaspora » qui, à en croire son porte-parole du dernier mouvement, nommé Moussa Diaw, qui réagissant depuis le Canada, déclare : « Nous allons continuer ce travail pour renforcer cette candidature au niveau de tous les Sénégalais de la diaspora ». La deuxième explication que Idrissa a avancée pour postuler à la présidentielle de 2007, résulte d’un problème de coaching au sommet de l’Etat. « Aussi bien dans le gouvernement qu’à la direction de certaines sociétés stratégiques de l’Etat, un véritable problème de staffing se pose ». Idrissa Seck est convaincu que nombre de directeurs généraux et de ministres doivent leur poste à un engagement politique plutôt qu’à leurs compétences. Des nominations qui révoltent l’ex-numéro 2 du Parti démocratique sénégalais. La troisième motivation - et non la moindre pour l’ex-numéro 2 du Pds - résulte « d’un choix générationnel ». Car, Idrissa Seck, à travers ses confidences, est convaincu que forcément en 2007 une nouvelle équipe conduira les destinées du pays. Ainsi, il aimerait être celui qui la piloterait ; ou du moins en faire partie. Ces confidences de Idrissa Seck, qui sont le reflet de ses convictions, sont - entre autres - les véritables raisons de sa candidature. En attendant 2007 et ses réalités politiques.
« J’ai décidé de me lancer dans la course en 2007 pour trois raisons », telle est la révélation faite par Idrisssa à un homme d’affaires qui s’est confié dans l’anonymat. Ainsi, en marge des explications distillées dans le Cd diffusé hier par les radios, Idrissa Seck est revenu avec cet homme d’affaires sur les
raisons fondamentales de sa candidature, qu’il n’avait pas envisagée au lendemain de sa sortie de Rebeuss. En effet, l’édile de Thiès qui était, certes, convaincu de sa popularité, n’avait jamais imaginé que celle-ci pouvait atteindre une telle ampleur. Il confie alors à notre source : « Jamais je n’aurais pensé que mes compatriotes vouaient une aussi grande sympathie à ma personne. C’est à travers les tournées au Sénégal et dans le monde, après ma sortie de prison, que je me suis rendu compte que je suscitais autant d’espoir ». Cette déclaration est confirmée par un des proches de l’ex-Premier ministre, qui assure que « ce sont ses nombreux sympathisants qui l’ont obligé à déposer sa candidature. Et s’il ne s’était pas positionné maintenant, nombre de ces mouvements et sympathisants lui auraient tourné le dos ». D’ailleurs, Idrissa Seck, qui s’est confié, a déclaré : « J’avais pensé représenter la minorité incontournable, que j’ai d’ailleurs théorisée, alors que la sympathie des Sénégalais envers ma personne est plus large que je ne l’imaginais ». Allusion faite au « Msis » et à « l’Initiative de la diaspora » qui, à en croire son porte-parole du dernier mouvement, nommé Moussa Diaw, qui réagissant depuis le Canada, déclare : « Nous allons continuer ce travail pour renforcer cette candidature au niveau de tous les Sénégalais de la diaspora ». La deuxième explication que Idrissa a avancée pour postuler à la présidentielle de 2007, résulte d’un problème de coaching au sommet de l’Etat. « Aussi bien dans le gouvernement qu’à la direction de certaines sociétés stratégiques de l’Etat, un véritable problème de staffing se pose ». Idrissa Seck est convaincu que nombre de directeurs généraux et de ministres doivent leur poste à un engagement politique plutôt qu’à leurs compétences. Des nominations qui révoltent l’ex-numéro 2 du Parti démocratique sénégalais. La troisième motivation - et non la moindre pour l’ex-numéro 2 du Pds - résulte « d’un choix générationnel ». Car, Idrissa Seck, à travers ses confidences, est convaincu que forcément en 2007 une nouvelle équipe conduira les destinées du pays. Ainsi, il aimerait être celui qui la piloterait ; ou du moins en faire partie. Ces confidences de Idrissa Seck, qui sont le reflet de ses convictions, sont - entre autres - les véritables raisons de sa candidature. En attendant 2007 et ses réalités politiques.
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