
Invité de Rfm matin ce vendredi, le maire de Dalifort et proche de l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall s’est prononcé sur les inondations dans sa localité et les efforts qu’ils ont déployé pour contenir ce sinistre lié aux averses orageuses.
Selon Idrissa Diallo,les travaux de l’Apix pour le train express régional (Ter) ont détruit deux axes majeurs au niveau de Dalifort. En ce qui concerne le dialogue politique ,Idrissa Diallo dit n’avoir plus le temps d’assister aux travaux après trois participations de sa part.
Sur le statut du chef de l’opposition,il peste en affirmant qu’un Macky incapable de concéder une carte d’électeur aux sénégalais ne peut parler de chef de l’opposition. Selon lui,le parrainage a écarté plusieurs candidats et les résultats de la dernière présidentielle laissent à désirer.
Très en verve, le maire de Dalifort d’ajouter que Macky Sall a reculé le Sénégal sur le plan démocratique car, précise-t-il, il veut un 3e mandat c’est pourquoi il fait ce jeu de diversion pour diviser l’opposition.
Assane SEYE-Senegal7
12 Commentaires
C'est Flagrant
En Septembre, 2020 (11:51 AM)Reply_author
En Septembre, 2020 (13:04 PM)Reply_author
En Septembre, 2020 (13:12 PM)Wade a aussi à l^époque voulu laver plus blanc que blanc...
Beurkkkkkkkkk
En Septembre, 2020 (11:56 AM)ils sont toujours en train de tremper leurs bouches maculées de fiel et leurs sales mains dans les poubelles du passé, toujours en train de chercher de vieux os à ronger !
je déteste ce type de crapules attardés ............. eurkkkkkkkkkkkkkkkkkk
Ils peuvent tous se présenter autant de fois qu'ils veulent , dans la mesure où c 'est le peuple souverain qui élit le Président de la République .
Vox Populi , Vox Deï , la voix du peuple est la voix de Dieu .
Alors , vraiment ne tombons pas dans le piège de cette bande de parvenus et d'arrivistes , qui ne doivent même pas s'approcher du pouvoir , à plus forte raison de s'en emparer .
Ce sera , la pire des catastrophes qui pourrait arriver à notre cher pays .
Bouhinoume
En Septembre, 2020 (13:02 PM)Amsa
En Septembre, 2020 (13:44 PM)La question devrait etre si facile a repondre s'il ne voulait pas un troisieme mandat.
Dire haut et fort aux citoyens Senegalais non a un troisieme mandat, non a un coup d'etat Constitutional et arreter de limoger quiconque dit NIET a un autre mandat .
Nkhson
En Septembre, 2020 (14:39 PM)Seulement, il feint d'ignorer son passé d'opposant, donc il est mieux avisé que quiconque sur les exigences d'une opposition aspirant aux règles de transparence démocratique. Mais son obsession à se perpétuer au pouvoir, le pousse à faire fi de ces considérations, afin de dérouler au mieux son plan machiavélique lui permettant d'atteindre son but.
Encore une fois tout est une question de bonne foi, de volonté qui ne semble pas habiter notre prési national. Il demeure résolument abonné aux manœuvres et deals anticonstitutionnels et antidémocratiques qui caractérisent les piètres théoriciens de la gouvernance "sobre et vertueuse" du pays des forfaitures.
Senegal Arnaque Par Les Turcs
En Septembre, 2020 (15:50 PM)Sénégal : la mine de Falémé au cœur d’une polémique entre Ousmane Sonko et le gouvernement
L’opposant Ousmane Sonko a accusé l’État du Sénégal d’avoir conclu un « nébuleux » contrat avec la société turque Tosyali au sujet de l’exploitation de la mine de fer de Falémé. Le gouvernement s’est empressé de démentir, tentant d’éteindre une polémique au sujet d’un chantier vieux de plus de quarante ans.
Quel contrat l’État s’apprête-t-il à conclure avec l’entreprise turque Tosyali ? En évoquant le sujet cette semaine, l’opposant (et candidat malheureux à la présidentielle) Ousmane Sonko a rélancé une affaire qui dure depuis plus de quarante ans.
Après les sociétés Lithos, Kumba Ressources et Arcelor Mittal, c’est au turc Tosyali que reviendrait le projet de valorisation de la mine de fer de Falémé, située à l’est du pays, près de la frontière malienne. Une exploitation qui lui permettrait de « gagner plus de 10 000 milliards [de francs CFA] sur le dos des Sénégalais », assène Ousmane Sonko.
Le député estime que le « scandaleux » contrat d’exploitation « en passe d’être signé » aurait été conclu au détriment de l’intérêt national. « Le contrat dont a parlé Ousmane Sonko au cours de sa conférence de presse, signé le 18 octobre [2018], n’était en réalité qu’un protocole d’accord, signé en vue d’ouvrir des négociations », s’est empressé de réagir Abdou Latif Coulibaly, porte-parole de la présidence. Ousmane Sonko « confond volontairement » un mémorandum d’entente visant à ouvrir des négociations avec « un contrat signé en bonne et due forme », a-t-il ajouté.
Bataille de chiffres
« Ses déclarations s’appuient sur des documents obsolètes », a renchéri Mountaga Sy, le directeur général de l’Agence des grands travaux de l’État du Sénégal (Apix), interrogé par la chaîne de télévision nationale, la RTS, qui a battu en brèche les accusations d’Ousmane Sonko.
L’entreprise sera-t-elle exonérée d’impôts pendant dix ans « en violation de tous [les] textes » juridiques, comme l’a dénoncé Ousmane Sonko ? « Il n’a jamais été question que l’État du Sénégal participe au financement ou prenne en charge le prêt [au profit de la société] », rétorque Mountaga Sy. La société turque va-t-elle bénéficier d’un « monopole absolu » sur le territoire sénégalais ? « Il n’est pas question de donner un permis pour racheter l’exclusivité de la ferraille au Sénégal », souligne le directeur de l’agence gouvernementale.
La main d’œuvre employée par l’entreprise pourrait-elle être composée à 50 % d’étrangers ? Mountaga Sy assure que le chantier permettra de créer 400 emplois directs et 800 emplois indirects, dont 65% de nationaux – un chiffre pouvant aller jusqu’à 80 % dans les cinq ans à venir. Le directeur de l’Apix évalue à 120 millions de dollars le montant de l’investissement opéré par l’entreprise turque.
à lire Sénégal : le gisement de Falémé, cadeau ou fardeau ?
Absence de concertation nationale
Dans cette bataille de chiffres et de déclarations effectuée par médias interposés, comment y voir clair ? Cette nouvelle polémique représente en effet un énième épisode d’une histoire – l’exploitation de la mine de Falémé – qui a débuté dès 1975.
En 2007, le Sénégal concédait au groupe ArcelorMittal l’exploitation du groupe minier de Falémé. Après deux ans de procédure, l’État récupérait le gisement, le groupe n’ayant pas tenu ses promesses pour cause de difficultés financières. Condamné à payer 110 millions d’euros à l’État, ArcelorMittal s’est retiré en laissant au Sénégal la lourde tâche de parvenir à trouver un partenaire pour l’exploiter.
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