Au terme de son élection, Idrissa Seck a tenu à rassurer ceux qui lui ont toujours reproché son absentéisme, lors de son premier mandat de maire. Et l’ancien Premier ministre de rassurer que la présence n’est pas toujours physique. Il s’engage, d’ailleurs, à aller chercher partout où, le besoin se fera sentir des moyens pour moderniser la ville de Thiès, avec notamment la relance des chantiers qui lui avait valu un séjour en prison.
Appréciant son retour au poste de maire après la parenthèse de la délégation spéciale, Idrissa Seck indique qu’« il n’y a pas plus belle station que celle d’être maire de la ville qui vous a vu naître, une position de proximité vis-à-vis de vos proches, de vos amis d’enfance et de l’ensemble des résidents ».
En fait, Idrissa Seck martèle : « Je porte Thiès en moi, en mes veines et je l’ai où que je sois sur la terre. » Pour ce qui est de la recherche de moyens capables de moderniser la ville de Thiès, le nouveau maire rappelle : « La terre d’Allah est vaste et il faut l’explorer en profondeur puisque les solutions aux problèmes des Thiessois ne sont pas toutes présentes à Thiès. » Et de poursuivre : « Partout où je verrai une solution aux problèmes de Thiès, j’irai la chercher même si je sais que cela pourra créer une nostalgie auprès des populations. »
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