L’émergence du Sénégal ne peut se faire sans le développement local. C’est la conviction de Khadija Mahécor Diouf, maire de Golf-Sud, récemment nommée présidente du Conseil de surveillance de l’ADL. Selon elle, le référentiel des politiques publiques, Sénégal 2050, doit s’appuyer sur les territoires locaux pour atteindre son objectif.
‘’Le vrai développement se joue à la base. Dans les réalités, pas dans les théories. Le Sénégal de 2050 ne se construira ni à huis clos ni dans les généralités’’, a fait savoir la nouvelle PCS de l’ADL lors de sa prise de service ce jeudi.
Selon elle, ‘’il se construira dans la commune qui organise son marché, dans le quartier qui valorise ses talents, dans le terroir qui transforme sa production. C'est là que naît la vraie richesse. C'est là que s'exprime l'économie réelle. Et c'est là que l'État doit apprendre à écouter, à investir et à co-construire’’.
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