"Les condamnées visés par l'article L.31/2 du code électoral perdent définitivement le droit de figurer sur les listes électorales à moins qu'ils ne bénéficient d'une réhabilitation ou font l'objet d'une mesure d'amnistie (K. A. SALL), précise l'expert électoral Ndiaga Sylla, sur sa page Facebook.
Karim Wade, qui lui aussi a été gracié, après trois ans de détention semble être dans la même situation, aux yeux du spécialiste.
"Il en est de même pour les personnes visées par L.31/3 si la condamnation est supérieure à 6 mois (K. WADE)" soutient l'expert électoral.
Dès lors, pour que ces deux personnalités politiques retrouvent leur droit de vote et d'éligibilité, Ndiaga Sylla pointe trois voies possibles :
1. L'abrogation de ces dispositions non conformes aux droits de l'homme - la peine complémentaire ne devrait pas être appliquée de manière automatique et indifférenciée,
2. Un jugement de réhabilitation,
3. Une loi d'amnistie".
2 Commentaires
Esperons que la justice demandera un jour au president de l'assemblee nationale ainsi qu au president des collectivites de justifier leur fond politique et pourquoi pas le president Macky Sall.
Senegalais yi ouvrez enfin les yeux.... ne criez pas à tué tête une loi d Amnestie car Macky lui même veut cette loi, sinon jamais il ne pourra dormir tranquille sachant ce qui l attend à la fin de son Mandat.
Nguir Yalla quitte à ce que Khalifa et Karim ne Août pas candidat à n 2024.... c est une ruse de Macky Sall pour s en sortir indemne.
Le gars a fait trop de mal il faut fayou am... sinon ce sera trop facile pour lui Aliou Sall, Mamour Diallo, Mbaye Mbaye Niang et consorts
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