Le maire de Dakar ne comprend pas l’acharnement sur son collègue, maire de Sicap-Mermoz, qui a été victime d’attaque dans samairie. « Ce qu’il est en train d’endurer est anormal.
Si M. Dias doitêtre arrêté et écroué, les autres ne seront pas épargnés car nousavons visualisé l’élément des 11 minutes avec des experts et il s’estavéré aussi que ce n’est pas l’arme de Barthélémy qui a été fatale aujeune Diouf. S’ils doivent le retenir, ’ils n’ont qu’à établir lapreuve que c’est l’arme de M Dias qui a tué », lance le maire de laville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall.
Le maire socialiste souhaite que la police écoute les commanditaires de l’attaque de la mairie de Sicap-Mermoz. <
65 Commentaires
!!!
En Décembre, 2011 (11:44 AM)Pfff
En Décembre, 2011 (11:45 AM)Opa
En Décembre, 2011 (11:46 AM)veuilez nous eclaircir.
Deeg Deugg
En Décembre, 2011 (11:47 AM)Ancien De St Michel
En Décembre, 2011 (11:47 AM)Bayewali
En Décembre, 2011 (11:48 AM)Assalma Koor Diouf
En Décembre, 2011 (11:48 AM)Les dernières affiches de l’affaire Dias montrent deux Maires réconciliés dans l’acmé d’une tragédie politique. L’un négociant sa chute irréversible et l’autre construisant son ascension incertaine. L’image montrant Khalifa Sall à côté d’un agent de la police et regardant Dias à gauche, les deux entre une voiture aux portières ouvertes, est une capture dont personne ne doute de la compassion sincère, naturelle et profonde qu’elle dévoile chez le Maire de Dakar. Avoir de la compassion pour ceux que frappe une tragédie individuelle ou collective est un acte noble et humain. Mais si dans cette tragédie se joue également, en partie, un destin présidentiel, le tout se mue en un théâtre politique où seuls les actes visibles qu’on pose comptent.
On ne choisit pas les contours des événements favorables à son ascension, mais en acteur averti, on ne rate pas le kairos, qui les accompagne, malgré leur nature. Aucun membre du Parti Socialiste n’aurait souhaité qu’un des leurs soit absent du peloton vert en cette période préélectorale cruciale. L’arrêt, cette semaine, du Maire socialiste de Mermoz, pour crime, est celui d’un élu à la personnalité et au parcours atypiques. Pour la première fois, un militant de la dernière heure, venant d’une structure marginale à celles officielles du Parti Socialiste, Convergence Socialiste, était hissé, par parachutage, à la tête du Mouvement des Jeunesses Socialistes. Ce parcours atypique a fait grincer des dents, notamment chez certains orthodoxes de l’école senghorienne ayant quitté le Parti ou y étant restés. Militant à la dent dure, aux dents longues, et aux dents qui rayent le plancher, le Maire de Mermoz était moins un fidèle inconditionnel du PS, que l’homme de main politique de son Secrétaire Général.
En tout état de cause, ce sont sa posture et ses déclarations qui lui valent cette étiquette. Aux avant-postes d’une prétendue guerre politique entre le Secrétaire Général du PS et le Maire de Dakar, il n’avait pas hésité à attaquer vertement son homologue de la plus grande municipalité du Sénégal. De ces virulentes attaques naquirent, alors, des titres révélateurs : « Prémices de guerre froide entre O-Tanor Dieng et Khalifa Sall : début d’un ‘‘CLAF’’ à la Maison du Parti », lit-on dans le Rewmi du mardi 19 mai 2009. Et le Messager du samedi 02 octobre 2010 de titrer : « Khalifa Sall-Tanor Dieng : les protagonistes d’un match nul ». Pourtant, la compassion du Maire de Dakar vis-à-vis de celui dont il essuyait les véhémentes attaques publiques et les différentes sorties du Secrétaire Général du PS sur cette prétendue guerre contredisent, apparemment, la logique d’une guerre de succession au Trône Vert domicilié à Colobane. Mais cette contradiction ne relève-t-elle pas de la dialectique politique ? En tout cas, elle autorise une interrogation non pas sur l’importance du futur ex Maire de Mermoz, mais plutôt sur l’importance de la structure politique dont il était le Secrétaire Général et l’enjeu qu’elle représente au sein même du PS. Les JS, Jeunesses Socialistes en abrégé, est une structure par le biais de laquelle certains hommes politiques de formation socialiste ont décroché leurs premiers grands galons politiques, y compris l’actuel Maire de Dakar. Elle est l’une des rares structures présente à tous les niveaux d’organisation du PS, du Comité jusqu’au Bureau Politique. Pour ceux qui sont entrés directement dans le Parti par le sommet de la pyramide verte, c’est une structure sans enjeu personnel, car son contrôle peut être acquis sans grande difficulté. Mais pour ceux qui sont partis de la base, son contrôle est une condition au droit de lorgner vers Colobane.
Comment le Maire de Dakar pourra-t-il décrocher le soutien des camarades de Dias, sinon par un oubli des attaques virulentes que celui-ci a proférées à son égard ? Il fallait accompagner et tenter de sauver l’homme que personne ne peut sauver, car le résultat visé n’est pas sa libération, mais plutôt la conquête de sa structure, une structure ayant perdu ses deux plus virulents dirigeants. Au demeurant, l’affaire Dias ouvre au PS le premier front de la bataille de l’après Ousmane Tanor Dieng. Mais ce Général politique courtois, serein et dont le credo semble être la force tranquille perd-il de vue le manège caché dans l’affaire de celui qui fut son protégé ?
Assalma Koor DIOUF
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En Décembre, 2011 (11:49 AM)Paladium
En Décembre, 2011 (11:49 AM)Laluna
En Décembre, 2011 (11:50 AM)Kaiser Mems
En Décembre, 2011 (11:50 AM)L’Election présidentielle, a-t-on l’habitude d’entendre, est la rencontre d’un homme et d’un peuple. Cette rencontre est le fruit de la conjonction circonstancielle de plusieurs facteurs qui vont des considérations des plus banales à des critères plus logiquement structurées.
Le Sénégal est à la croisée des chemins. D’énormes défis poignent quant à son avenir, avec cette crise mondiale accrue. Ils se déclinent en terme :
· De nécessité de la restauration de la dignité de l’Etat et de la crédibilité des institutions, sine qua none au recouvrement de la foi du peuple en la République ;
· De mise en œuvre d’une politique de réhabilitation de l’agriculture, moteur de toute économie aspirant à l’émergence ;
· De mise en œuvre d’une politique énergétique efficace à même de relancer la compétitivité de nos entreprises en profonde difficulté
· De mise en œuvre d’une politique de décentralisation réelle, rapprochant les gouvernants des gouvernés, impliquant davantage les populations dans la gestion de l’Etat, et impulsant le développement à la base.
Le tout concourant à une politique de l’emploi innovant garantissant à chaque sénégalais un revenu décent à même de couvrir ses besoins élémentaires.
Ainsi, l’Election présidentielle de 2012 est une consultation à enjeux réels où le peuple souverain devra choisir entre l’amateurisme dans la conduite des affaires de l’Etat et le choix objectif de la rupture et du véritable changement. Cette approche dichotomique aux profils pluriels nous impose des critères de choix responsables et non des considérations d’ordre émotionnel.
En 2008, Macky Sall a été débouté injustement de la présidence de l’Assemblée Nationale. Evincé de son poste de numéro 2 du parti, il quitte le PDS, poussé à la porte. Drapé de la tunique populiste de martyr, il décide de briguer la magistrature suprême .Voilà en résumé l’histoire politique significative de Macky Sall.
Après cette anamnèse, il serait judicieux de revenir à notre raisonnement et de se poser la question de savoir si la compassion est un critère objectif de choix. Devons nous voter pour quelqu’un qui n’a de mérite que celui victimiste ?
Que non !
Macky Sall est celui qui s’arroge l’apostolat de l’éthique politique. Et pourtant, pour garder les prestiges du pouvoir, il n’a pas hésité à étaler sa dignité, la livrant au piétinement de son maître d’alors Abdoulaye Wade. Faisant la navette entre Touba et Tivaouane, il a cherché à tout-va, des adjuvants pour recouvrer le pardon du Président. Peut-on légitiment professer l’éthique lorsqu’on est dénué de toute dignité ?
Que nenni !
Macky Sall est celui qui se veut le chantre de la constance et de la cohérence. N’est il pas étonnant, que celui qui se targue d’avoir donné corps aux grands projets du président Wade, soit le même qui dénonce publiquement leurs gestions gabegiques et dispendieuses ? Il nous promet un gouvernement d’au plus 25 ministres alors qu’il a dirigé les gouvernements les plus pléthoriques de l’histoire de ce pays. De deux choses l’une :
· Soit Macky Sall est responsable de cette gestion : dans ce cas c’est un piètre gestionnaire ;
· Soit c’est une marionnette qui subit sans rechigner la loi de son maître, dans ce cas il n’a pas le courage de ses idées.
Qui du gestionnaire d’une prodigalité avérée ou de la marionnette sans l’initiateur de ses mouvements ferait un bon président?
Ni l’un, ni l’autre !
Dans son programme, il milite pour la réduction du train de vie de l’Etat d’une part, et de l’autre il prévoit de maintenir le sénat. Ne nous y trompons pas ! Macky Sall n’est pas celui qui appliquera la politique rupture dont le Sénégal a tant besoin. Le maintien de cette institution budgétivore, dont on peut valablement se passer, n’est que l’adhésion à une longue pratique politicienne qui ne date pas d’aujourd’hui. Comme Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, Macky Sall prévoit de caser la clientèle politique qui grossit aujourd’hui dans ses rangs. Ceci n’est que le signe avant-coureur de la reconstruction programmée d’une classe politique détenant le peuple en otage depuis les indépendances ; les positions changent, mais les hommes demeurent.
La compassion est un sentiment auquel, et nos traditions, et notre foi religieuse nous prédisposent. Elle ne peut toutefois constituer un critère responsable de choix. Gardons nous, chers concitoyens, de nous tromper de capitaine ; le naufrage n’est pas loin !
IS4
Opa
En Décembre, 2011 (11:50 AM)Leepape
En Décembre, 2011 (11:51 AM)Paul Kane
En Décembre, 2011 (11:51 AM)J'aimerai bien que vous nos dirrigeants de l'opposition, disiez à tous les sénégalais que Mr Dias n'a pas faire ce qu'il a fait. Maintenant il peut y avoir des circonstances atténuantes. Mais il faut reconaitre qu'il a fauté.
merci.
Sam
En Décembre, 2011 (11:51 AM)Saly
En Décembre, 2011 (11:54 AM)Kholal
En Décembre, 2011 (11:56 AM)Reply_author
En Décembre, 2022 (11:43 AM)Reply_author
En Décembre, 2022 (11:53 AM)Reply_author
En Décembre, 2022 (12:07 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (12:16 PM)Karim$
En Décembre, 2022 (12:19 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (12:47 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (12:51 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (13:46 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (10:48 AM)Sportif Reply_author
En Décembre, 2022 (23:10 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (08:55 AM)Man Maa Ko Wax!
En Décembre, 2011 (12:03 PM)Reply_author
En Décembre, 2022 (11:56 AM)Tontu
En Décembre, 2011 (12:14 PM)Dede
En Décembre, 2011 (12:18 PM)Vous n'êtes pas digne d'être maire de Dakar.
l'essentiel, y'a pas photo avec la vidéo.
vous pouvez consulter tous les experts du monde, il n'échappera pas à la JUSTICE en même temps que les commanditaires.
vous faites ce qu'on appelle le medecin après la mort. Le parti socialiste n'a rien fait pour canaliser DIAS dans le passé.On l'a vu sortir ses pistolets à Tamba et personne n'a rien dit. Et plus grave les gens l'acclament dans une manifestation après un meurtre. C'est vraiment choquant.trop c'est trop. Au lieu d'apaiser la situation, vous continuez à atiser le feu. Ce que vous ne savez pas, vous les politiciens tous confondus, c'est que vous représentez une minorité dans ce pays et vous ne respectez pas le reste de la population qui est apolitique.
GOD BESS SENEGAL
Dinmtoni
En Décembre, 2011 (12:18 PM)Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
La Verite
En Décembre, 2011 (12:20 PM)Flash
En Décembre, 2011 (12:23 PM)Derapage
En Décembre, 2011 (12:29 PM)Borom Ndar
En Décembre, 2011 (12:43 PM)Free
En Décembre, 2011 (12:48 PM)Doudou
En Décembre, 2011 (12:50 PM)Sapi
En Décembre, 2011 (12:52 PM)Worst
African
Democrate on
Earth
Ma Ko Wax
En Décembre, 2011 (12:55 PM)Ndiack1
En Décembre, 2011 (12:57 PM)On ne peut pas attaquer quelqu'un sans suite certe ; mais on ne peut pas tuer un homme sans suite non plus.
Yaya
En Décembre, 2011 (13:02 PM)Free
En Décembre, 2011 (13:13 PM)Fifi
En Décembre, 2011 (13:13 PM)Arrivage D'armes De Lybie
En Décembre, 2011 (13:20 PM)Laskha
En Décembre, 2011 (13:24 PM)Libération de préciser : «à ce jour et au stade de l’enquête, tous les recoupements n’ont pu aboutir à l’identification de ce géant qui, incontestablement, était du groupe des assaillants. Mieux, une question lancinante demeure relativement aux coups qu’il a tirés».
Nar
En Décembre, 2011 (13:26 PM)Avis
En Décembre, 2011 (13:27 PM)Meuz
En Décembre, 2011 (13:31 PM)David
En Décembre, 2011 (13:34 PM)Midi
En Décembre, 2011 (13:35 PM)Zapata Number One
En Décembre, 2011 (13:41 PM)la 2eme arme une 9 mm mortelle aussi comme arme mais comme barth ne devait pas attendre les gens viennent le tuer; il s'est defendu et bien defendu je n'ai aucun lien avec la politique mais attention au SENEGAL tout peu degener a tout moment que DIEU nous aide a connaitre la verite salam
Le Pakao
En Décembre, 2011 (13:43 PM)Le Baol
En Décembre, 2011 (13:56 PM)Elbaf
En Décembre, 2011 (14:06 PM)Innocent100
En Décembre, 2011 (14:34 PM)Nous avons tous vu la video ce type doit croupir le reste de ses jours en prisons.
Meme la police n'a pas le droit de faire ce qu'il a fait.
Pauvre senegal
Inco
En Décembre, 2011 (14:40 PM)Sdf
En Décembre, 2011 (15:10 PM)Midi
En Décembre, 2011 (15:25 PM)Lom
En Décembre, 2011 (16:10 PM)Cooldex
En Décembre, 2011 (16:29 PM)Untel
En Décembre, 2011 (16:59 PM)Citoyen Américain
En Décembre, 2011 (17:07 PM)Anarchiste
En Décembre, 2011 (17:21 PM)Par exemple est ce parceque des actes parreil se sont produits dans le passe qu'on doit pas punir les fautifs,biensur que non,donc ceux qui reclame la tete du Ngom n'ont pas une courte memoire car lui aussi a failli a sa mission
Lyss
En Décembre, 2011 (17:39 PM)Pix
En Décembre, 2011 (20:11 PM)Bohème
En Décembre, 2011 (20:12 PM)Amadiora
En Décembre, 2011 (20:14 PM)Egwugwu
En Décembre, 2011 (20:16 PM)Zeus
En Décembre, 2011 (20:18 PM)Fina
En Décembre, 2011 (21:28 PM)Pavillon G !!!
En Décembre, 2011 (23:43 PM)Rone66
En Décembre, 2011 (01:06 AM)Rone66
En Décembre, 2011 (01:12 AM)Rone66
En Décembre, 2011 (01:22 AM)Rone66
En Décembre, 2011 (02:07 AM)Participer à la Discussion