Ces jeunes soutiennent qu’«à la violence, nous répondrons par la violence». La loi du Talion : «Œil pour œil, dent pour dent». La Jds appelle à la confrontation. Pour elle, celle-ci est devenue inévitable. «Nous devons répondre», dit-elle. Babacar Diop estime qu’en vérité, c’est Abdoulaye Wade qui encourage la violence dans les rangs de son parti. C’est lui qui organise l’impunité dans le pays. Il protège les criminels et menace la vie des hommes politiques.» La Jds avertit que «si Me Wade n’arrête pas, nous brûlerons son Monument de la renaissance africaine». La jeunesse socialiste qui n’a pas du tout confiance à la justice sénégalaise estime que la paix civile est menacée. Elle interpelle l’opposition sénégalaise.
«La violence, un moyen de promotion politique chez les Wadistes»
Les camarades de Babacar Diop rappellent que «c’est Abdoulaye Wade qui a protégé les agresseurs de Talla Sylla et libéré les assassins de Me Babacar Sèye». Elle rappelle que le registre de l’impunité est un tragique volume de forfaitures : «Les agresseurs de Boubacar Kambel Dieng et Kara Thioune sont libres. Les agresseurs des journaux 24 Heures et de l’As font la bamboula.» Suffisant pour que ces jeunes révèlent que «le régime d’Abdoulaye Wade a la violence dans les gènes». À en croire le coordonnateur, ce régime vit dans la violence, se nourrit dans la violence, grandit dans la violence, vit et milite pour la violence, s’exprime par la violence. La Jds fait savoir que les principaux responsables du Ps pouvaient être décimés lors de cet incendie criminel. Ce qui rend les faits graves. D’ailleurs, elle souligne que «les criminels qui ont commis ce scélérat forfait seraient traduits devant la Cour d’Assise, si le Sénégal était un pays de Droit. Mais, se désole Babacar Diop, «le Sénégal d’aujourd’hui est ce qu’il est, c’est-à-dire un pays où les criminels politiques hument l’air de la liberté et reçoivent des promotions. Pour conclure, ces jeunes socialistes soutiennent que «la violence est un moyen de promotion politique dans le régime de l’alternance».
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