La remise des cartes d’électeur pour les élections sénatoriales du 16 septembre démarre lundi, a annoncé le directeur général des élections, dans un communiqué reçu à l’APS.Thiendella Fall invite ''les députés, les conseillers régionaux, municipaux et ruraux à se rapprocher des préfets et sous-préfets de leur localité pour la remise de leur carte d’électeur sur présentation de la carte nationale d’identité numérisée et contre décharge’’. Le DGE exhorte également les élus à ''prendre toutes les dispositions nécessaires et diligentes pour entrer en possession de leur carte d’électeur et participer massivement à l’élection des sénateurs'', mentionne le communiqué.
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1 Commentaires
Citoyen
En Août, 2012 (21:33 PM)Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui feignent de ne rien savoir pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qu'ils ont nommé à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise. Face à la démission de l’État, chaque corporation cherche une solution pour améliorer ses conditions d'existence et parfois au détriment de la communauté. Cette situation est donc une conséquence de l'inaction de l’État. En effet quand les dirigeants (nommés par le Président) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde, les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS. A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs).
L’État ne peut continuer à protéger ceux qui mettent à genou nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats, je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens du systèmes pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.
C'est un appel à tous les patriotes de notre pays, il faut un sursaut national si nous voulons léguer un Sénégal émergeant aux générations futures.
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