A moins de 48 heures de la fin officielle de la campagne électorale, les cinq candidats en lice à l’élection présidentielle de dimanche ont commencé à investir la région de Dakar. Le président sortant, Macky Sall, de retour dans la capitale depuis lundi, va consacrer la journée du jeudi au département de Dakar. Il doit notamment rendre visite à l’archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, et diriger une caravane dans les artères de la ville. Une rencontre d’échanges avec des jeunes à la Place de la Nation est également au programme de campagne du candidat à sa propre succession.
Après plusieurs jours passés à l’intérieur du pays, le candidat Ousmane Sonko revient dans la capitale après y avoir lancé sa campagne électorale le 4 férvrier. Il est annoncé ce jeudi à Pikine, une ville de la banlieue dakaroise. De son côté, Me Madické Niang a prévu de faire des visites de courtoisie à des religieux. Une activité qui sera suivie d’une caravane de mobilisation dans les rues de la capitale.
Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), Issa Sall, va également battre campagne dans la banlieue dakaroise, notamment à Guèdiawaye et Pikine où il prévoit de sillonner plusieurs quartiers. L’ancien Premier ministre, Idrissa Seck, sera également hôte de la région dakaroise à travers un déplacement à Rufisque, et dans la proche banlieue de Dakar. BHC/AKS/OID
6 Commentaires
La Verité
En Février, 2019 (11:08 AM)Sans dire la même chose que Senghor (l'émotion est Nègre, la raison est Héleine), mais je reconnais que même si je n'ai jamais soutenu l'élection de Trump mais j'ai aimé le désir de changement politique, le désir de recherche permanente de solution exprimé par le vote des américains face à la crise économique qui a frappé de plein fouet les puissances économiques, en France également deux présidents de la république ont fait un seul mandat durant ces dix années de crise économique qui a abouti à l'élection du plus jeune président de la 5éme république. Ces peuples sont ceux qui cherchent des voix de sortie face à l'incompétence et la déchéance morale de leur classe politique traditionnel. Reste à savoir si le peuple sénégalais, la jeunesse sénégalaise est assez mature pour rompre avec ce cercle vicieux.
Anonymous
En Février, 2019 (14:44 PM)Sans dire la même chose que Senghor (l'émotion est Nègre, la raison est Héleine), je reconnais que même si je n'ai jamais soutenu l'élection de Trump mais j'ai aimé le désir de changement politique, le désir de recherche permanente de solution exprimé par le vote des américains face à la crise économique qui a frappé de plein fouet les puissances économiques, en France également deux présidents de la république ont fait un seul mandat durant ces dix années de crise économique qui a abouti à l'élection du plus jeune président de la 5éme république. Ces peuples sont ceux qui cherchent des voix de sortie face à l'incompétence et la déchéance morale de leur classe politique traditionnel. Reste à savoir si le peuple sénégalais, la jeunesse sénégalaise est assez mature pour rompre avec ce cercle vicieux.
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