Le mouvement Taxaw Temm appelle à « lever le verrou qui empêche les candidatures indépendantes » pour les élections locales de 2014, dans une déclaration reçue vendredi à l’APS. Le mouvement rappelle que « les articles L.233 et R.81 du Code électoral ne se réfèrent expressément qu’aux partis politiques et aux coalitions de partis qui sont les seuls habilités à briguer le suffrage local ».
« Or les articles L.267 et L.298 du Code indiquent bien que sont éligibles au conseil rural et municipal tous les électeurs de la commune et communauté rurale sous réserve des incapacités et incompatibilités », fait-il remarquer.
Par conséquent, le mouvement affirme qu’ »il faut lever les incohérences et donc revenir aux fondements de notre constitution républicaine acquise de haute lutte ».
« Mieux encore, tenant compte de l’expérience négative des élus qui tournent leur veste, renient leurs engagements et renouent avec les vieilles politiques de clientélisme, de détournement, d’opacité, de corruption, voire d’arrogance politicienne, il convient de développer la culture de reddition de comptes ».
Pour cela, les camarades de l’ancien ministre Ibrahima Fall suggèrent la mise en place d’une « charte de l’élu local placée au coeur des arbitrages entre les différentes demandes des citoyens et les décisions de financement des projets et programme ».
Taw Temm estime que « l’élu doit élargir son horizon et renforcer ses capacités ». Il doit aussi « participer à la définition des orientations pour le développement local, défendre les intérêts des populations en les écoutant et en leur fournissant les informations stratégiques ».
De même, il lui faut aussi « administrer de manière efficace et transparente les biens de la communauté », « initier, développer des partenariats aux plan local, national et international pour augmenter les moyens de la collectivité ».
Pour toutes ces raisons, le mouvement souligne la nécessité de « se battre pour lever les entraves de l’effectivité des neuf (9) domaines de compétences transférées concernant l’administration et l’aménagement du territoire, le développement économique, éducatif, social, sanitaire, culturel et scientifique ainsi que la protection et la mise en valeur du cadre de vie ».
Le mouvement explique que « l’exclusion formelle de fait des mouvements citoyens dans le processus électoral et les pesanteurs et blocages dans le fonctionnement des collectivités locales invitent à repenser la poursuite des actions pour une véritable démocratie et un véritable développement à la base ».Le mouvement Taxaw Temm appelle à « lever le verrou qui empêche les candidatures indépendantes » pour les élections locales de 2014, dans une déclaration reçue vendredi à l’APS. Le mouvement rappelle que « les articles L.233 et R.81 du Code électoral ne se réfèrent expressément qu’aux partis politiques et aux coalitions de partis qui sont les seuls habilités à briguer le suffrage local ».
« Or les articles L.267 et L.298 du Code indiquent bien que sont éligibles au conseil rural et municipal tous les électeurs de la commune et communauté rurale sous réserve des incapacités et incompatibilités », fait-il remarquer.
Par conséquent, le mouvement affirme qu’ »il faut lever les incohérences et donc revenir aux fondements de notre constitution républicaine acquise de haute lutte ».
« Mieux encore, tenant compte de l’expérience négative des élus qui tournent leur veste, renient leurs engagements et renouent avec les vieilles politiques de clientélisme, de détournement, d’opacité, de corruption, voire d’arrogance politicienne, il convient de développer la culture de reddition de comptes ».
Pour cela, les camarades de l’ancien ministre Ibrahima Fall suggèrent la mise en place d’une « charte de l’élu local placée au coeur des arbitrages entre les différentes demandes des citoyens et les décisions de financement des projets et programme ».
Taw Temm estime que « l’élu doit élargir son horizon et renforcer ses capacités ». Il doit aussi « participer à la définition des orientations pour le développement local, défendre les intérêts des populations en les écoutant et en leur fournissant les informations stratégiques ».
De même, il lui faut aussi « administrer de manière efficace et transparente les biens de la communauté », « initier, développer des partenariats aux plan local, national et international pour augmenter les moyens de la collectivité ».
Pour toutes ces raisons, le mouvement souligne la nécessité de « se battre pour lever les entraves de l’effectivité des neuf (9) domaines de compétences transférées concernant l’administration et l’aménagement du territoire, le développement économique, éducatif, social, sanitaire, culturel et scientifique ainsi que la protection et la mise en valeur du cadre de vie ».
Le mouvement explique que « l’exclusion formelle de fait des mouvements citoyens dans le processus électoral et les pesanteurs et blocages dans le fonctionnement des collectivités locales invitent à repenser la poursuite des actions pour une véritable démocratie et un véritable développement à la base ».
6 Commentaires
Mrld
En Mai, 2013 (18:05 PM)Ndaiyde
En Mai, 2013 (18:24 PM)Galsen Dommage
En Mai, 2013 (21:12 PM)Fans
En Mai, 2013 (22:58 PM)Fans
En Mai, 2013 (23:05 PM)Zebulba
En Mai, 2013 (23:29 PM)Cher Zebulbasn
Je risque de faire hors sujet par rapport à cet article mais il y a eu lieu de signaler que le CONCOURS d'ENTREE A L'ENA est ouvert voir l'adresse du isite pour le dossier à fournir ainsi que les sujets que devront traités CERTAINS candidats et j'insiste sur le mot CERTAINS;.
En effet sur la fiche à remplir il y a un verrou subtile qui bloque l'âge des professionnels B à 33 ans même aprés avoir eu effectuer AU MOINS 4 années de service dans la hiérarchie B ou C.
Cela constitue une INJUSTICE, une fFORFAITURE sur une catégorie de travailleur qui n'auront plus aucune chance de gravir les échelons dans l'administration Sénégalaise. Il est pourtant loisible à vérifier que les meilleurs agents de l'administration Sénégalaise sont les rampants. L'ENA, en mon sens n'a pas vocation à créer des distorsion entre les citoyens. A moins que Monsieur le Directeur Général Mr TALL ne daigne nous dire que l'Etat à besoin de former encore d'autres fonctionnaires qui viennent des écoles et universités mais ceux qui travillent et qui ne sont pas fonctionnaires ne doivent avoir aucune ambition de monter en grade et d'accéder à la haute Hiérarchie Administrative.
On assiste au Sénégal, à une partition de la population en groupes et sous groupes; ceux qui ont été élus, nommés recoivent ont beaucoup plus de droits sur le budget même s'ils n'ont jamais eu à servir dans l'administration publique sénégalaise. Sinon comment comprendre que des personnes travaillant dans l'administration N'AIENTpas le droit de prétendre monter en grade dans cette administration. C'est frustrant et au fond il y'en a qui trouve que si on a plus "LA POSSIBILITE" d'évoluer dans l'administration alors pourquoi se tuer à être la cheville ouvrière de cette administration sans pour autant n'avoir aucun plan de carrière? L'ambition de toute personne travaillant dans l'administration sénégalaise est de devenir fonctionnaire et occuper les plus hautes fonctions qui soient par la maîtrise et le travail mais malheureusement dans ce pays en 2013 si on enlève à certaines franges de l'administration le DROIT D'AVANCER et d'avoir de l'AMBITION...ALors pourquoi travailler pour ce pays?
Aprés l'arnaque sur les admis de 2011, je vois que l'ENA sénégalaise est toujours aussi avide.
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