Le Président Macky Sall s’est épanché ce mardi sur le règlement de la crise gambienne. Mais surtout, sur l’entêtement de Jammeh, qui refusait de quitter le pouvoir. Devant l’assistance, lors du 5e Africa Ceo Forum à Genève, le Président de la République explique que tout était pourtant bien parti. «Le peuple Gambien est allé à l’élection et a fait l’alternance. Il a voté pour un nouveau Président Adama Barrow. Tout le monde pensait que de toute façon en Gambie, il n’y aura pas de surprise. Parce que tout le monde considérait que le Président qui organisait l’élection allait tripatouiller. A défaut, il allait confisquer, dans tous les cas, le pouvoir. Donc, ca a été une surprise générale. Une surprise pour nous aussi», a confié le chef de l’Etat.
Jammeh surprendra davantage son monde en félicitant son challenger pour sa victoire. «Surprise encore ! Le Président sortant reconnaissait sa défaite et félicite son challenger. Tout le monde a été content. Certains l’ont même félicité», poursuit le Président Macky Sall. Mais, ce qui se dessinait comme une transition parfaite du pouvoir, se transformera vite en une détestable crise. Jammeh a entre temps changé d’avis : « 48 heures après, il revient sur sa décision. Disant maintenant ‘‘c’était une erreur, il y avait de la fraude’’ etc., ‘‘il n’est pas question, j’annule les élections, je convoque ceci, je convoque cela’’».
Dès lors, le Sénégal a décidé de prendre ses responsabilités. «Le Sénégal fidèle à ses options démocratiques, a réagi immédiatement pour dire attention Président vous ne pouvez pas reconnaitre votre défaite et revenir mettre en cause le choix d’un peuple», déclare le Président Macky Sall. Puis, la Cedeao entrera en action et appelle Jammeh au respect du choix souverain du peuple gambien. «Et nous avons discuté au sein de la Cedeao. La Cedeao a tout de suite pris en charge le débat pour d’abord engager une médiation avec le président sortant, pour l’amener à accepter le résultat des urnes et surtout essayer de trouver une sortie honorable et une transition pacifique », indique le Président Macky Sall.
La Cedeao enverra ses médiateurs en Gambie pour discuter avec Jammeh, mais rien n’y fait. «Nous avons pendant 1 mois et demi tout fait tout dit pour que le Président Jammeh accepte de partir dans la dignité. A l’expiration de ce délai, on a constaté qu’il refusait de partir. Et la Cedeao avait indiqué que tous les moyens diplomatiques seraient mis en œuvre, mais s’il le fallait, des moyens militaires seraient utilisés parce qu’on peut plus laisser les gens s’installer parce que simplement ils ont le pouvoir d’Etat et s’imposer avec force », déclare Le Président Macky Sall.
Puis, la Cedeao a obtenu, avec l’Union africaine, une résolution du conseil de sécurité de l’Onu demandant à la Cedeao d’installer le Président Barrow dans ses fonctions et de sécuriser le territoire gambien. «C’est ce que nous avons fait», assure le Président Macky Sall. Il assure que l’action sénégalaise durant cette crise, n’était pas une volonté unilatérale. «C’est dans le cadre d’un mandat de la Cedeao, de l’Union africaine et des nations unies que nous avons agi et nous l’avons déjà fait ailleurs », indique le président Macky Sall.
Youssouf SANE
30 Commentaires
Mansawali Walimansa Senegambia
En Mars, 2017 (14:32 PM)OUI CEST VRAI QUE LE PRESIDENT YAY JAMMEH EST
BIEN PARTI EN JAMMA AK SALAM POUR NOUS TOUS
GAMBIENS SENEGALAIS AFRICAINS ET CITOYENS DU
MONDE DE LA DEMOCRATIE ET DE LA PAIX POUR TOUS
Anonyme
En Mars, 2017 (14:40 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (14:48 PM)Kenzy
En Mars, 2017 (14:51 PM)Mbidou
En Mars, 2017 (15:04 PM)Gor Ca Wax Ja
En Mars, 2017 (15:14 PM)Roi
En Mars, 2017 (15:21 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (15:29 PM)Lion dormeur.
Anonyme
En Mars, 2017 (16:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (16:03 PM)Perzora
En Mars, 2017 (16:32 PM)Xeme
En Mars, 2017 (16:44 PM)Maintenant il ose s'approprier avoir "convaincu" Jammeh de partir. Maintenant qu'il n'y a plus la possibilité de berner le monde avec une communication d'une guerre à Jammeh, ou d'une armée qui aurait fait peur à Jammeh. Maintenant Macky suit le sens des faits, parce que sa communication a lamentablement échoué à tenter de faire croire que l'option de la guerre a été quelque chose dans le départ de Jammeh. La honte.
Anonyme
En Mars, 2017 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:14 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:15 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (17:22 PM)Sn
En Mars, 2017 (18:38 PM)Alphadio Ba
En Mars, 2017 (20:12 PM)Le seul problème du PR , c est le choix de ses Ministres .
Just imagine Mankeur the drunk that we know so well as foreign
Minister !
Abomination !
Kawtef !
Anonyme
En Mars, 2017 (23:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (23:03 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (04:41 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (07:47 AM)Photo AFP
La Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique a dévoilé ce mercredi les déclarations de patrimoine et d'intérêts des 11 candidats à l'Elysée.
Comparez avec les déclarations de patrimoine au Sénégal et leur sincérité, comparez entre pays pauvre comme le sénégal et pays du G7 comme la France
Immobilier, biens supérieurs à 10.000 euros, voitures, comptes bancaires, mais aussi participations dans le capital de sociétés et dettes éventuelles: chaque candidat a dû remplir ces rubriques et remettre sa déclaration, certifiée sur l’honneur, au Conseil constitutionnel avant vendredi soir dernier.
Voici ce qu'il faut retenir des 11 déclarations.
NATHALIE ARTHAUD (LUTTE OUVRIÈRE)
Nathalie Arthaud, candidate Lutte Ouvrière.
Photo David Latour
La candidate de Lutte Ouvrière déclare un patrimoine modeste: un appartement de 48 m2 acheté 248.700 euros, moins de 8.500 euros sur quatre comptes bancaires et une Citroën C3 achetée 14.500 euros en 2006.
FRANÇOIS ASSELINEAU (UPR)
François Asselineau (UPR)
Photo AFP
Le candidat de l'Union Populaire Républicaine déclare quatre biens immobiliers: un appartement à Paris d'une superficie de 203m2, dont il détient 65% et qui est estimé aujourd'hui à 1,5M€ (plus de deux fois son prix d'achat en 1998), une résidence secondaire dans la Nièvre ainsi que deux appartements en Polynésie Française.
Il dispose également de deux assurances-vies constituant le nantissement de deux prêts immobiliers, et a sollicité un prêt personnel de 60.000 euros pour compenser sa perte de revenus actuelle, lui qui s'est mis en disponibilité de l'Inspection Générale des Finances pendant la campagne.
JACQUES CHEMINADE
Jacques Cheminade (SP)
Photo Patrick Blanchard
Le candidat de Solidarité et Progrès déclare un seul bien immobilier: une résidence principale de 61 m2 acquise il a presque 40 ans et estimée à 420.700 euros (soit dix fois son prix d'achat).
Il a aussi des parts dans deux petites sociétés (des dépôts-ventes) dont la valeur cumulée correspond à 54.000 euros et dispose d'un peu de moins de 20.000 euros d'épargne sur un PEA et un compte-titres.
Enfin, on lui découvre une passion pour les objets préhistoriques et précolombiens: sa collection personnelle est estimée à 18.000 euros.
NICOLAS DUPONT-AIGNAN (DLF)
Nicolas Dupont-Aignan (DLF)
Photo Jean-François Ottonello
Le candidat de Debout la France déclare cinq biens immobiliers, tous achetés entre 1995 et 2004: un appartement de 105m2 à Paris estimé à 1,3M€ (trois fois son prix d'achat), une maison dans l'Essonne, quatre autres appartements à Paris ainsi que les murs d'un commerce "en mauvais état", précise-t-il.
Montant total du patrimoine immobilier: 2.329.000 euros.
Ses comptes bancaires sont déficitaires et il déclare également plusieurs prêts en cours, pour lesquels il rembourse environ 3.400 euros chaque mois.
FRANÇOIS FILLON (LR-UDI)
François Fillon (LR-UDI)
Photo AFP
Le candidat de la droite et du centre déclare deux maisons dans la Sarthe (dont son "château" estimé à 750.000 euros) ainsi qu'une maison dans les Pyrénées-Orientales dont on lui a fait donation et dont il ne possède qu'une partie.
Il possède également 100% du capital de sa société "2F Conseil", pour une valeur estimée à près de 98.000 euros.
Il dispose également de 15 comptes bancaires (le plus garni contient moins de 7.919 euros) ainsi que divers produits financiers (PEA, assurances-vie) pour un montant total légèrement supérieur à 70.000 euros.
Outre le prêt de 50.000 euros octroyé par son ami niçois Marc Ladreit de Lacharrière et qui avait fait polémique le mois dernier, l'ex-premier ministre a également bénéficié de "prêts familiaux" à hauteur de 30.000 euros pour faire face au paiement de ses dettes fiscales.
BENOÎT HAMON (PS)
Benoît Hamon (PS)
Photo AFP
Le candidat socialiste déclare un appartement dans le Finistère d'une valeur de 121.000 euros ainsi qu'un appartement de 108 m2 dans les Hauts-de-Seine, estimé à 700.000 euros et dont il possède un peu moins de la moitié. Deux biens financés par des emprunts contractés l'année dernière.
Il possède également huit comptes bancaires, sur lesquels il dispose de 15.000 euros d'épargne.
JEAN LASSALLE (SANS ÉTIQUETTE)
Jean Lassalle (sans étiquette)
Photo AFP
Le candidat centriste déclare quatre biens immobliers, tous situés dans son département des Pyrénées-Orientales, pour un montant total de 705.000 euros.
Ses prêts en cours approchent les 150.000 euros.
MARINE LE PEN (FN)
Marine Le Pen (FN)
Photo Sophie Donsey
La candidate du Front national déclare deux biens immobiliers, l'un dans le Morbihan dont elle détient 28,5%, l'autre dans les Hauts-de-Seine et dont elle détient 20,5%. Soit un total de 263.000 euros environ.
Elle a emprunté à Cotelec, le micro-parti de son père, quelque 6M€ pour financer sa campagne présidentielle.
Par ailleurs, elle déclare posséder, via une SCI, 12,5% du domaine familial de Montretout. Des parts qu'elle estime à 312,500 euros (soit deux fois plus qu'en 2012, selon Libération). Une évaluation controversée puisque le Parquet national financier, saisi en décembre 2015, avait ouvert une enquête préliminaire.
Au total, elle évalue son patrimoine immobilier à près de 612.000 euros.
EMMANUEL MACRON (SANS ÉTIQUETTE)
Emmanuel Macron (sans étiquette)
Photo AFP
L'ancien ministre de l'Economie, candidat sans étiquette, ne déclare aucun bien immobilier mais de nombreux produits financiers.
Il possède 0,5% (soit 61.500 euros) dans un fonds captif proposé aux salariés de la banque Rothschild, un peu plus de 65.000 euros placés en bourse (compte-titres, PEA) ainsi qu'une assurance-vie d'une valeur de près de 92.000 euros.
Ses liquidités réparties sur neuf comptes au Crédit Mutuel représentent environ 115.000 euros.
Enfin, il a touché une avance de presque 275.000 euros des éditions XO pour son livre "Révolution", paru fin 2016.
Quant à ses prêts en cours, ils s'établissent à 300.000 euros.
JEAN-LUC MÉLENCHON (FDG)
Jean-Luc Melenchon (FDG)
Photo AFP
Le candidat du Front de Gauche déclare un patrimoine immobilier de plus d'un million d'euros (un appartement de 110m2 à Paris et une maison rurale dans le Loiret).
Il dispose également de quelque 100.000 euros sur six comptes bancaires.
PHILIPPE POUTOU (NPA)
Philippe Poutou (NPA)
Photo AFP
Le candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste ne déclare ni biens immobiliers ni produits financiers.
Son patrimoine se résume à une Peugeot 3008 estimée à 9.000 euros et quatre comptes bancaires, sur lesquels il détient un peu moins de 23.000 euros.
Anonyme
En Mars, 2017 (09:09 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (09:23 AM)Joola
En Mars, 2017 (10:07 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (11:45 AM)Photo AFP
La Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique a dévoilé ce mercredi les déclarations de patrimoine et d'intérêts des 11 candidats à l'Elysée.
Comparez avec les déclarations de patrimoine au Sénégal et leur sincérité, comparez entre pays pauvre comme le sénégal et pays du G7 comme la France
Immobilier, biens supérieurs à 10.000 euros, voitures, comptes bancaires, mais aussi participations dans le capital de sociétés et dettes éventuelles: chaque candidat a dû remplir ces rubriques et remettre sa déclaration, certifiée sur l’honneur, au Conseil constitutionnel avant vendredi soir dernier.
Voici ce qu'il faut retenir des 11 déclarations.
NATHALIE ARTHAUD (LUTTE OUVRIÈRE)
Nathalie Arthaud, candidate Lutte Ouvrière.
Photo David Latour
La candidate de Lutte Ouvrière déclare un patrimoine modeste: un appartement de 48 m2 acheté 248.700 euros, moins de 8.500 euros sur quatre comptes bancaires et une Citroën C3 achetée 14.500 euros en 2006.
FRANÇOIS ASSELINEAU (UPR)
François Asselineau (UPR)
Photo AFP
Le candidat de l'Union Populaire Républicaine déclare quatre biens immobiliers: un appartement à Paris d'une superficie de 203m2, dont il détient 65% et qui est estimé aujourd'hui à 1,5M€ (plus de deux fois son prix d'achat en 1998), une résidence secondaire dans la Nièvre ainsi que deux appartements en Polynésie Française.
Il dispose également de deux assurances-vies constituant le nantissement de deux prêts immobiliers, et a sollicité un prêt personnel de 60.000 euros pour compenser sa perte de revenus actuelle, lui qui s'est mis en disponibilité de l'Inspection Générale des Finances pendant la campagne.
JACQUES CHEMINADE
Jacques Cheminade (SP)
Photo Patrick Blanchard
Le candidat de Solidarité et Progrès déclare un seul bien immobilier: une résidence principale de 61 m2 acquise il a presque 40 ans et estimée à 420.700 euros (soit dix fois son prix d'achat).
Il a aussi des parts dans deux petites sociétés (des dépôts-ventes) dont la valeur cumulée correspond à 54.000 euros et dispose d'un peu de moins de 20.000 euros d'épargne sur un PEA et un compte-titres.
Enfin, on lui découvre une passion pour les objets préhistoriques et précolombiens: sa collection personnelle est estimée à 18.000 euros.
NICOLAS DUPONT-AIGNAN (DLF)
Nicolas Dupont-Aignan (DLF)
Photo Jean-François Ottonello
Le candidat de Debout la France déclare cinq biens immobiliers, tous achetés entre 1995 et 2004: un appartement de 105m2 à Paris estimé à 1,3M€ (trois fois son prix d'achat), une maison dans l'Essonne, quatre autres appartements à Paris ainsi que les murs d'un commerce "en mauvais état", précise-t-il.
Montant total du patrimoine immobilier: 2.329.000 euros.
Ses comptes bancaires sont déficitaires et il déclare également plusieurs prêts en cours, pour lesquels il rembourse environ 3.400 euros chaque mois.
FRANÇOIS FILLON (LR-UDI)
François Fillon (LR-UDI)
Photo AFP
Le candidat de la droite et du centre déclare deux maisons dans la Sarthe (dont son "château" estimé à 750.000 euros) ainsi qu'une maison dans les Pyrénées-Orientales dont on lui a fait donation et dont il ne possède qu'une partie.
Il possède également 100% du capital de sa société "2F Conseil", pour une valeur estimée à près de 98.000 euros.
Il dispose également de 15 comptes bancaires (le plus garni contient moins de 7.919 euros) ainsi que divers produits financiers (PEA, assurances-vie) pour un montant total légèrement supérieur à 70.000 euros.
Outre le prêt de 50.000 euros octroyé par son ami niçois Marc Ladreit de Lacharrière et qui avait fait polémique le mois dernier, l'ex-premier ministre a également bénéficié de "prêts familiaux" à hauteur de 30.000 euros pour faire face au paiement de ses dettes fiscales.
BENOÎT HAMON (PS)
Benoît Hamon (PS)
Photo AFP
Le candidat socialiste déclare un appartement dans le Finistère d'une valeur de 121.000 euros ainsi qu'un appartement de 108 m2 dans les Hauts-de-Seine, estimé à 700.000 euros et dont il possède un peu moins de la moitié. Deux biens financés par des emprunts contractés l'année dernière.
Il possède également huit comptes bancaires, sur lesquels il dispose de 15.000 euros d'épargne.
JEAN LASSALLE (SANS ÉTIQUETTE)
Jean Lassalle (sans étiquette)
Photo AFP
Le candidat centriste déclare quatre biens immobliers, tous situés dans son département des Pyrénées-Orientales, pour un montant total de 705.000 euros.
Ses prêts en cours approchent les 150.000 euros.
MARINE LE PEN (FN)
Marine Le Pen (FN)
Photo Sophie Donsey
La candidate du Front national déclare deux biens immobiliers, l'un dans le Morbihan dont elle détient 28,5%, l'autre dans les Hauts-de-Seine et dont elle détient 20,5%. Soit un total de 263.000 euros environ.
Elle a emprunté à Cotelec, le micro-parti de son père, quelque 6M€ pour financer sa campagne présidentielle.
Par ailleurs, elle déclare posséder, via une SCI, 12,5% du domaine familial de Montretout. Des parts qu'elle estime à 312,500 euros (soit deux fois plus qu'en 2012, selon Libération). Une évaluation controversée puisque le Parquet national financier, saisi en décembre 2015, avait ouvert une enquête préliminaire.
Au total, elle évalue son patrimoine immobilier à près de 612.000 euros.
EMMANUEL MACRON (SANS ÉTIQUETTE)
Emmanuel Macron (sans étiquette)
Photo AFP
L'ancien ministre de l'Economie, candidat sans étiquette, ne déclare aucun bien immobilier mais de nombreux produits financiers.
Il possède 0,5% (soit 61.500 euros) dans un fonds captif proposé aux salariés de la banque Rothschild, un peu plus de 65.000 euros placés en bourse (compte-titres, PEA) ainsi qu'une assurance-vie d'une valeur de près de 92.000 euros.
Ses liquidités réparties sur neuf comptes au Crédit Mutuel représentent environ 115.000 euros.
Enfin, il a touché une avance de presque 275.000 euros des éditions XO pour son livre "Révolution", paru fin 2016.
Quant à ses prêts en cours, ils s'établissent à 300.000 euros.
JEAN-LUC MÉLENCHON (FDG)
Jean-Luc Melenchon (FDG)
Photo AFP
Le candidat du Front de Gauche déclare un patrimoine immobilier de plus d'un million d'euros (un appartement de 110m2 à Paris et une maison rurale dans le Loiret).
Il dispose également de quelque 100.000 euros sur six comptes bancaires.
PHILIPPE POUTOU (NPA)
Philippe Poutou (NPA)
Photo AFP
Le candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste ne déclare ni biens immobiliers ni produits financiers.
Son patrimoine se résume à une Peugeot 3008 estimée à 9.000 euros et quatre comptes bancaires, sur lesquels il détient un peu moins de 23.000 euros.
Anonyme
En Mars, 2017 (12:37 PM)Participer à la Discussion