Le Premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne se dit convaincu de la réélection du Chef de l'État à la tête du pays.
"Je suis convaincu que le 24 février 2019, nous allons fêter la réélection du Président de la République. Parce que, je le disais hier à la jeunesse de Benno Bokk Yaakaar (Bby), l'homme de la situation aujourd'hui au Sénégal, c'est le Président Macky Sall", a-t-il noté face au Grand Jury de la Rfm de ce dimanche 25 mars 2018.
Selon le chef du Gouvernement, l'opposition sénégalaise instrumentalise l'actualité car, elle n'a pas d'offre politique. "Vous ne pouvez pas aujourd'hui et tous les jours, lettre ouverte au Président Macky Sall sur le pétrole, sur les rapts d'enfants, sur ceci, sur cela. Je pense que la classe politique sénégalaise, de manière générale, gagnerait d'ailleurs à moins instrumentaliser l'actualité et à travailler sur le moyen et long terme".
19 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (16:32 PM)Volai414
En Mars, 2018 (16:41 PM)Les semaines, les années se succèdent et le Sénégal ne change en rien son mode de fonctionnement. Il serait même plus juste de dire que ce mode de fonctionnement empire. Les sujets que l'on nous sert ne nous font avancer en rien dans un pays qui ambitionne une émergence. Le pire, c'est qu'en ne se focalisant pas sur l'essentiel, dans une vingtaine d'années la situation sera plus dramatique car nous serons encore plus nombreux à être touchés par les fléaux qui sont les nôtres aujourd'hui. Un article récent s'intitulait dans ce forum « les sénégalais n'aiment pas leur pays ». La vraie question qui vaut d'être posée n'est -elle pas : « le sénégalais s'aime-t-il à travers sa descendance ? » .Je veux partager un cri du coeur par une interrogation qui me taraude.
QUE LEGUERONS-NOUS AUX FUTURES GENERATIONS DE SENEGALAIS ?
Ne pas avoir de solutions pour les jeunes d’aujourd’hui ne veut pas dire (et ne doit surtout pas signifier) que tout est perdu pour de bon. C’est vrai qu’il est difficile de ne pas admettre que des générations de sénégalais ont été sacrifiées par une Nation qui n’a pas su ou voulu faire le travail et les sacrifices nécessaires. Ne pas trouver de solution n’est pas forcément une faute, ne pas se poser de questions légitimes est par contre assimilable à un crime quand les résultats qui en découlent sont dramatiques. Nous avons beaucoup de questions à nous poser et il me semble qu’il y en a une qui est un préalable et dont il faut se préoccuper avant d’attaquer les autres.
De 1960 à 2016, le taux de croissance démographique du Sénégal a toujours oscillé entre 2,4 et 3,1%.
Si l’on prend cette période comme référence, on tourne autour d’une moyenne de 2,8%.
Ma préoccupation n’est pas de savoir si c’est signe de bonne vitalité ou pas, tellement il est évident qu’une nation a besoin de ne pas voir sa population s’éteindre. Ma préoccupation est ailleurs : que faire de cette population ? Quelle anticipation pour que demain soit gérable, vivable dans ce pays qui est le nôtre ?
Force est de constater que l’on ne s’est pas véritablement posé la question jusqu’ici, ou alors on se l’est posé mais on n’a pas cherché la moindre esquisse de réponse.
En 2018, la population sénégalaise se chiffre à près 15,7 millions d’individus (taux de croissance ~ 3,08%). Le taux de chômage avoisine les 23% et les jeunes sont les plus affectés. La découverte du pétrole et du gaz ne saurait résoudre radicalement le problème et en termes de gisements d’emplois, nous ne sommes pas mieux lotis que beaucoup de pays qui se cassent aussi les dents sur la lutte contre le chômage et la pauvreté. A ce niveau de constat, il faut avoir le courage de poser des question qui peuvent heurter voire choquer : Y a-t-il un seuil critique de population au-delà duquel un vrai danger existe pour un pays comme le nôtre ? Ne faut-il pas envisager une vraie politique de maîtrise de la natalité au Sénégal ?
Pour donner un sens à ces questions, il faut expliquer les alertes qui nous recommandent de rester en éveil. Les données statistiques évoquées au début ne relèvent pas de la théorie mais de la réalité vécue et vérifiable. Ces mêmes données nous permettent de savoir, par exemple, combien nous serons en 2028 : près de 21 millions. En 2038, nous aurons franchi la barre des 33 millions.
Pourrons-nous faire face ? Quand nous voyons les difficultés que nous avons avec 15 millions de personnes, les projections font froid dans le dos et recommandent une vraie réflexion sérieuse et une recherche de solutions durables. Je ne crois pas que le développement durable puisse se faire en occultant la question de la croissance démographique.
Il n’y a pas besoin de faire une thèse sur la corrélation entre pauvreté et démographie au Sénégal, il y a juste besoin d’ouvrir les yeux et de faire fonctionner ce qui nous différencie des autres espèces. A mon humble avis, cela nécessite un débat dépassionné à la place des éternels sujets insignifiants et insipides que l'on nous sert en boucle au menu quotidien.
Anonyme
En Mars, 2018 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:22 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:37 PM)Ces gens sont vraiment ignobles...
Anonyme
En Mars, 2018 (17:41 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:41 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:41 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:42 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:46 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:46 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:46 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:48 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (18:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:40 PM)Senegal
En Mars, 2018 (20:19 PM)1- durée du mandat
2- gouvernement de 25 ministres et meme ERDOGAN lui a dit que tu as trop de ministres
3- patrie avant le parti .
4- justice équitable : des dossiers que tu as gardés : tes partisans sont protégés et les autres jugés. Macky disait " je ne protégerai personne d'où qu'il puisse appartenir
5- que mon frére ALIOU SALL ne bénéfiecera aucun decret de nomination
6- diminuer le train de vie de L'ETAT trop cher : Eliminer le SENAT et créer le conseil economique social et environnemental , le HCCT , augmenter les députés, octroyer 500.000f aux femmes des ambassadeurs alors les hôpitaux et postes de sante sont pas bien équipés
7- Democratie en recul, ETAT DE DROIT non plus. car la corruption est toujours là. Marchè grè à grè . corruption sur la route. insécurité des populations et surtout de la dispora
8- la DIASPORA menacée . Aucune mesure diplomatique ; seulement des condoléances après assassinat.
9- Des ministres choisis par MAREME FAYE SALL. Youssou touré et mbagnick ndiaye ne me démentiront pas ( jugement honnète )
10- MACKY meunoul , doyna seuk . 2019 ine cha ALLAH , on choisit un autre qui peut redresser ce pays . VIVE IDRISSA SECK ou SONKO. Merci wa SALAM
Anonyme
En Mars, 2018 (20:20 PM)Faire quelque chose au-lieu des reste
Dans les medias, allez fait comme youssou ndour essayer does contribue sure le development de la nation au-lieu de reste la parle tout le temps
Anonyme
En Mars, 2018 (21:35 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (08:17 AM)Bilan des conseils des ministres décentralisés : prés de 5 000 milliards de promesses. Maky avait promis 700 mille emplois aux jeunes, une gestion sobre et vertueuse, OFNAC, un mandat de 5 ans, la patrie avant le parti
Le montant cumulé des promesses de financement des programmes d’investissements publics validés lors des Conseils des ministres délocalisés s’élève à prés de 5 000 milliards de FCFA.
Depuis le premier conseil délocalisé à Saint Louis en juin 2012, le chef de l’Etat et son gouvernement ont sillonné les 14 régions du Sénégal : Saint-Louis, Ziguinchor, Louga, Kolda, Sédhiou, Thiès, Matam, Kédougou, Tambacounda, Diourbel, Kaolack, Kaffrine, Fatick, Dakar.
Saint-Louis : 306,7 milliards de FCfa
Kaolack : 255 milliards de FCfa
Matam : 127 milliards de FCfa
Louga : 250 milliards de FCfa
Tambacounda : 201,9 milliards de FCfa
Thiès : 447 milliards de FCfa
Ziguinchor : 360 milliards de FCfa
Kolda : 204 milliards de FCfa
Kédougou : 192 milliards de FCfa
Diourbel : 209 milliards de FCfa
Kaffrine: 206 milliards de FCfa
Sédhiou : 187 milliards de FCfa
Fatick : 246 milliards de FCfa
Dakar 1800 milliards
Total : prés de 5 000 milliards de FCFA&é »’((-
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