Maître El Hadji Diouf était le vendredi à Mbour où, au cours d’une conférence de presse, le leader du Parti des travailleurs et du peuple (Ptp) a, pendant plus de deux heures, tiré à boulets rouges aussi bien sur Idrissa Seck que sur "une certaine presse" qu’il accuse d’être à la solde de l’ancien Premier Ministre.
De Idy, l’avocat et ex-farouche adversaire de Wade dira que c’est « un cancer, l’incarnation de Satan, un danger public mortel ». « On ne peut pas ouvrir un journal sans qu’il n’y ait cet homme, ce voleur, parce que l’argent, c’est le nerf de la guerre. Que les journalistes soient contre moi, ce n’est pas important. Seule la vérité compte. Et puisque la presse que j’aime bien ne fait pas son travail, je le fais à sa place. J’avertis le peuple par rapport aux agissements de cet homme » a déclaré le ministre.
Poursuivant ses attaques contre le maire de Thiès, il dira de lui que « c’est un cancer pour le pays, un danger public mortel » avant de lancer d’un ton guerrier : « Je vais le démonter pièce par pièce ». Il accusera ensuite certains journalistes d’être à la solde de l’ancien Premier ministre et de travailler pour ce dernier.
Dans sa verte critique de la presse, l’avocat va même jusqu’à donner des leçons. « Il faut que les journalistes ne se bornent plus à enregistrer. Il faut qu’ils fassent des analyses et pas seulement des comptes rendus ». Et dans sa tentative de justifier son entrée dans le gouvernement de Wade dont il fut un farouche adversaire, l’avocat invoquera sa formation marxiste. « Je suis un dialecticien qui sait ce que c’est qu’une thèse, une antithèse et une synthèse.
Les Sénégalais ne savent pas ce que c’est qu’une synthèse. On ne peut pas passer tout son temps à critiquer. Quand je critique, c’est pour que celui que je critique avance, rectifie le tir. Si je continue, c’est de l’acharnement, une pathologie. Certains m’appellent un transhumant. Ils oublient que je suis un acteur actif de l’Alternance. Je ne suis l’esclave de personne et reste égal à moi-même » a déclaré El Hadji Diouf devant la presse et une poignée de militants.
Me El Hadji Diouf a ensuite mis en garde les jeunes contre l’émigration clandestine. À l’en croire, « en Espagne, les émigrés ne font que faire promener les chiens afin qu'ils aillent pisser ou laver des voitures ». Invité à se prononcer sur la grève des enseignants, le Ministre a appelé ces derniers à rejoindre les classes : « Nous sommes au temps des agitations et dénigrements. Les enseignants doivent savoir que tous les corps ne sont pas égaux. Les magistrats, c’est un corps spécial qui arbitre tous les autres corps.
On ne doit pas les corrompre. Par conséquent, c’est normal qu’ils reçoivent des indemnités subséquentes pour améliorer l’environnement juridique des affaires » a déclaré le leader du Parti des travailleurs et du peuple.
De Idy, l’avocat et ex-farouche adversaire de Wade dira que c’est « un cancer, l’incarnation de Satan, un danger public mortel ». « On ne peut pas ouvrir un journal sans qu’il n’y ait cet homme, ce voleur, parce que l’argent, c’est le nerf de la guerre. Que les journalistes soient contre moi, ce n’est pas important. Seule la vérité compte. Et puisque la presse que j’aime bien ne fait pas son travail, je le fais à sa place. J’avertis le peuple par rapport aux agissements de cet homme » a déclaré le ministre.
Poursuivant ses attaques contre le maire de Thiès, il dira de lui que « c’est un cancer pour le pays, un danger public mortel » avant de lancer d’un ton guerrier : « Je vais le démonter pièce par pièce ». Il accusera ensuite certains journalistes d’être à la solde de l’ancien Premier ministre et de travailler pour ce dernier.
Dans sa verte critique de la presse, l’avocat va même jusqu’à donner des leçons. « Il faut que les journalistes ne se bornent plus à enregistrer. Il faut qu’ils fassent des analyses et pas seulement des comptes rendus ». Et dans sa tentative de justifier son entrée dans le gouvernement de Wade dont il fut un farouche adversaire, l’avocat invoquera sa formation marxiste. « Je suis un dialecticien qui sait ce que c’est qu’une thèse, une antithèse et une synthèse.
Les Sénégalais ne savent pas ce que c’est qu’une synthèse. On ne peut pas passer tout son temps à critiquer. Quand je critique, c’est pour que celui que je critique avance, rectifie le tir. Si je continue, c’est de l’acharnement, une pathologie. Certains m’appellent un transhumant. Ils oublient que je suis un acteur actif de l’Alternance. Je ne suis l’esclave de personne et reste égal à moi-même » a déclaré El Hadji Diouf devant la presse et une poignée de militants.
Me El Hadji Diouf a ensuite mis en garde les jeunes contre l’émigration clandestine. À l’en croire, « en Espagne, les émigrés ne font que faire promener les chiens afin qu'ils aillent pisser ou laver des voitures ». Invité à se prononcer sur la grève des enseignants, le Ministre a appelé ces derniers à rejoindre les classes : « Nous sommes au temps des agitations et dénigrements. Les enseignants doivent savoir que tous les corps ne sont pas égaux. Les magistrats, c’est un corps spécial qui arbitre tous les autres corps.
On ne doit pas les corrompre. Par conséquent, c’est normal qu’ils reçoivent des indemnités subséquentes pour améliorer l’environnement juridique des affaires » a déclaré le leader du Parti des travailleurs et du peuple.
0 Commentaires
Participer à la Discussion