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Politique

Ministres limogés et contestataires : Quand Lamine Bâ, Modou Diagne Fada, Aminata Lo ouvrent la voie

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Ministres limogés et contestataires : Quand Lamine Bâ, Modou Diagne Fada, Aminata Lo ouvrent la voie

Au regard de ce qui s’est passé aux dernières élections locales, il n’est pas exagéré de penser que c’est la conjugaison des comportements d’ostracisme et de culture chauviniste qui a failli pousser le PDS dans les précipices d’une déroute électorale mémorable. 

      L’irrédentisme militant dont ont fait montre certains responsables libéraux et qui a, en partie, conduit à cette déroute électorale de Mars 2009 est, sous ce rapport, absolument indigne et blâmable. 

      Parce qu’ils avaient perdu leurs strapontins au niveau du parti et des institutions républicaines, ils ont sournoisement travaillé à la perte du PDS. C’est comme si le régime de Wade était une arène où seul le chantage paie : épouvanter le régime, fragiliser le PDS pour uniquement le salut personnel.  

     Khady Mbow, un lugubre Ministre du cadre de vie, inconnue au bataillon, limogée du gouvernement vient d’instrumentaliser ses badauds, manifester dans la rue pour rester encore au gouvernement. Au lendemain de sa rébellion, Innocence Ntap Ndiaye lui emboita le pas dans un chantage honteux et indigne. 

     Hier, Modou Diagne Fada est allé créer War-wi et a combattu un parti et un homme qui lui ont tout donné et qui l’ont façonné en tant qu’homme  d’État. Le chantage a payé et lorsqu’il est devenu Ministre, il est devenu aphone depuis.  

     Abusant de l’esprit de dépassement du secrétaire général du PDS on n’a jamais hésité à lui porter des coups bas malgré tout ce qu’on lui doit. Qu’est ce que le PDS et Wade n’ont pas donné à Modou Diagne Fada ? 

      Comment peut-on prétendre à un quelconque patriotisme de parti si, à chaque fois que sa promotion personnelle est en jeu, on n’hésite pas un seul instant à faire courir à son parti le risque de la scission et da la défaite électorale ? 

      C’est faire preuve de chauvinisme arrogant ou de naïveté politique effarante que de se résoudre à faire du chantage le seul moyen de promotion politique : c’est assurément le pire service qu’on peut rendre aux militants. 

      Un parti qui fonctionnerait de cette manière serait à la limité  un conglomérat de syndicats politiques uniquement liés par des préoccupations corporatistes et par des affinités égocentriques.  

     Le spectacle que donnent ces militants irrédentistes n’est pas seulement condamnable sur le plan éthique, ça l‘est également sur le plan purement politique, car à force d’instaurer de telles mœurs on condamne la politique à n’être qu’un simple jeu de rapport de forces arbitré par des astuces de bas étages et par des combines mesquines. 

      Lamine Bâ peut, dans ce sens, se vanter de n’être promu aujourd’hui ministre parce qu’il a réussi à faire chanter le régime, encore qu’il ne représente rien dans sa circonscription électorale des parcelles Assainies : tant qu’on peut mobiliser quelques dizaines de badauds pour parader dans les rues en signe de contestation et paralyser la fluidité de la machine électorale du PDS, on est certain de rester dans l’attelage gouvernemental ad vitam aeternam. 

     Qu’est-ce qu’un Aminata Lô a fait d’autre sinon qu’à faire occuper la rue par des badauds et quelques militants à sa solde pour réussir son comeback dans les instances dirigeantes. Qu’attendent alors tous ces milliers de militants authentiques de la première heure qi ont tout donné au parti, pour exercer eux aussi ce genre de pression apparemment seules salvatrices au PDS ? 

      C’est regrettable d’ailleurs de constater que les militants de la première heure sont pratiquement toujours coincés entre le marteau de ces pratiques politiques obscènes et l’enclume impitoyable des manœuvres de certains transhumants. 

      Ces derniers, après avoir bénéficié de l’esprit d’ouverture et de dépassement de Wade, n’ont pas trouvé autre chose à lui opposer que les vieilles pratiques d’ostracisme héritées du PS. 

      Pourtant ce n’est pas seulement par souci de justice sociale et politique qu’on doit réhabiliter tous ces militants de la première heure délaissés au quai de l’alternance, c’est davantage une question d’efficacité et d’efficience politique. Comme le dit l’adage, la morsure d’une bouche aimée vaut mieux que le baiser d’une autre : le parti doit donc être disposé à davantage souffrir de ses fils propres que de ses fils d’emprunt. 

     Quand l’écrivain anglais Samuel Johnson affirmait que « le patriotisme est l'ultime refuge d'un idiot », c’était davantage par propension humaniste que par attitude anarchiste. 

      Le patriotisme en soi n’a rien d’avilissant ni de proprement idiot, mais lorsqu’il n’est affiché en bandoulière que pour réfuter l’autre et l’ostraciser, c’est assurément alors la marque de l’inintelligence et de l’intolérance.  

     Un homme qui n’est capable d’aimer et de dialoguer que dans les limites étriquées de la tribu, de la race, de la culture, de la chapelle confessionnelle ou politique, n’est pas digne du nom d’homme. Seuls les animaux, du fait précisément qu’ils sont ce qu’ils sont et ne peuvent être rien d’autre que cela, ont le droit de se fermer aux autres espèces ou genres ; encore que là également, il y a parfois ouverture, croisement et métissage ! 

      Lhomme n’est homme que lorsqu’il est, conformément à son double statut d’« animal politique » et d’« animal parlant », ouvert sur ses semblables et est capable de tisser avec eux un réseau infini d’échanges divers et fructueux. Bref l’homme véritable, surtout celui de ce 21e siècle, doit être un citoyen de l’univers et porter un amour universel à tous les hommes ; condition sine qua non du respect d’autrui et du dialogue culturel, politique, interreligieux, etc.  

     On peut donc rester patriote et être ouvert au monde, de même qu’on peut parfaitement être « jaloux » de son parti et accepter la synergie politique ainsi que le compagnonnage stratégique.  

        L’un des problèmes qui grippent la machine politique qu’est le PDS depuis qu’il est au pouvoir, c’est justement une sorte de patriotisme de parti de certains caciques qui les rend foncièrement allergiques à toute forme d’ouverture et de rencontre. 

      Pire, le patriotisme de parti est devenu, pour ainsi dire, le prétexte à tous les instincts de xénophobie politique et d’ostracisme : tous les prétendus militants de la première heure qui n’ont pas réussi à avoir une base politique solide occultent cette faiblesse par le patriotisme politique.  

     L’attachement obsessionnel au PDS des « années de braise » est souvent un symptôme occulte de dégénérescence politique. On a vu des militants et responsables s’accrocher maladivement aux notions péjoratives de transhumance et de patriotisme politiques pour refuser toute forme d’évolution, toute tentative de dialogue politique.  

     En vérité derrière le masque du patriotisme et de l’inimitié politiques, il y a toujours la même tare : la peur de la diversité et de l’altérité. Les grands élans de patriotisme de parti et les poussées exclusivistes qui inondent la littérature orale politique du PDS ne sont que les antres de l’impuissance à supporter le destin inexorable d’un parti au pouvoir, à savoir la massification et la mutation infinie.  

     Les hommes qui sont convaincus de porter une laideur ou une souillure infâme, de même que ceux qui savent consciemment que dans un univers de dialogue et d’ouverture leur impuissance les relègue au second plan, sont généralement inclinés à l’agressivité et à l’intolérance.  

     Pourtant dans la politique comme dans les relations civiles intersubjectives, la transcendance est la seule voie de salut. Gildas Richard a dit dans ce sens que « l’homme ne peut être exaucé qu’en étant exhaussé » : en tant qu’animal politique, l’homme ne peut s’épanouir et atteindre la félicité sociale et politique qu’en acceptant de dépasser les clivages qui relèvent des contingences politiques, ethniques et religieuses.  

     Il suffit de méditer le phénomène du langage et de la parole pour comprendre que le destin de l’homme, que ce soit politique ou civil, réside dans l’échange et la complémentarité. 

      Le langage est universel, mais les langues que nous parlons sont particulières et sont souvent exclusives comme le sont a priori toutes les cultures. 

      Mais l’expérience humaine enseigne que les hommes les plus cultivés sont ceux qui parlent plusieurs langues et que les langues les plus parlées sont celles qui sont les plus souples en termes de métissage et d’emprunt linguistiques. Toutes les langues qui refusent le métissage linguistiques sont condamnées : de même tout parti qui refuse l’ouverture perd son dynamisme, sa vitalité dans un système politique aussi complexe que la démocratie d’opinion.  

     Le SOPI est arrivé au pouvoir dans le cadre de la coalition FAL et c’est une lapalissade que de dire qu’il ne pourra s’y maintenir longtemps qu’en payant le tribut de la synergie de forces, certes diverses, mais susceptibles de converger vers l’essentiel. Il ne faut pas que la coalition SOPI pour toujours (AST) soit sacrifiée sur l’autel d’un chauvinisme qui n’a d’autre justification que la peur tragique de la diversité et du changement. 

      Comment peut-on avoir comme credo le changement et demeurer aussi réfractaire  au changement qu’exige métier de la politique  aujourd’hui ? Les pratiques d’ostracisme et d’exclusion au PDS sont d’autant plus surprenantes et inconcevables qu’il s’agit d’un parti dont l’orfèvre est réputé jouir d’un esprit d’ouverture sans pareil sur la scène politique.  

     Non seulement Wade, à travers les textes fondateurs de son parti, montre sa disponibilité naturelle et entière à partager, mais aussi dans sa conduite de tous les jours, il manifeste une sorte de générosité politique rarement comprise.  

     C’est tellement vrai que ses détracteurs de l’opposition, sans doute à cause de leur culture de xénophobie politique légendaire, voient dans toutes les manifestations de bonne volonté du président des manœuvres et des pièges.  

     Le mutualisme politique et l’alliance temporaire sont des nécessités en politique, mais lorsqu’ils ne trouvent pas chez l’homme politique des vertus comme l’altruisme et la tolérance positive, ils peuvent s’avérer être des contraintes handicapantes. 

     Dans Les frères Karamazov, Dostoïevski fait dire au mystérieux visiteur cette réflexion qui devrait sans cesse inspirer les hommes politiques sénégalais et, principalement les responsables et militants PDS : « Pour rénover le monde, il faut que les hommes eux-mêmes changent de voie. Tant que chacun ne sera pas vraiment le frère de son prochain, il n'y aura pas de fraternité. Jamais les hommes ne sauront, au nom de la science ou de l'intérêt, répartir paisiblement entre eux la prospérité et les droits. Personne ne s'estimera satisfait, et tous murmureront, s'envieront, s'extermineront les uns les autres ».  

     L’insatisfaction généralisée, la méfiance et la défiance réciproques : telles sont justement les attitudes qui rythment sans cesse la vie du PDS et qui l’empêchent d’être toujours et suffisamment opérationnel en tant que parti leader d’une coalition politique.  

     On peut exiger des ses amis et collaborateurs politiques la loyauté  et le respect de la dynamique de groupe, mais exiger d’eux l’effacement total de leur identité relève de l’absurdité.  

     Il faut ignorer gravement le lien dialectique nécessaire qu’il y a entre la diversité et l’unité pour être aussi naïvement hostile à l’entrisme politique et à la collaboration entre partis politiques souverains.  

     La preuve manifeste de cette invincible incapacité à supporter l’altérité et la diversité qui existent dans toutes les associations humaines est encore perceptible aujourd’hui : il ne se passe pas un mois sans que l’on entende d’anciens membres de partis qui se sont fondus dans le PDS se plaindre de leur sort.  

     Si déjà au sein du PDS le dialogue et la parfaite symbiose des forces autour d’une objectif commun sont quasiment impossibles, on ne peut s’attendre à ce que le compagnonnage avec les membres de l’Alliance Sopi pour Toujours (AST) soit harmonieux et efficient d’un point de vue politique et surtout électoral.  

     Le feu le plus ardent est celui qui couve sous la cendre dit l’adage, il est alors impérieux que le Président Wade mesure à sa juste valeur la nocivité du feu de la convoitise et de l’intolérance uniquement couvert par son charisme et par l’appétit que suscite son pouvoir.  

     Le problème est que dans notre pays les hommes n’ont plus d’idéal politique et que les politiques n’ont plus la culture humaniste qui faisaient des mythes aux yeux des citoyens. 

      On ne s’engage désormais en politique que pour des préoccupations vilement alimentaires ; et l’extrême rareté de la littérature politique écrite est un fait éminemment révélateur de la nature et de la qualité de nos hommes politiques. Dans les grandes démocraties les hommes politiques se font presque tacitement une déontologie en la matière : c’est même avilissant de faire de la politique sans être en mesure de consigner dans un livre sa vision politique et ses positions par rapport aux différents enjeux politiques, économiques et géopolitiques.  

     Dans notre pays les rares leaders politiques qui se vantent d’avoir produit des publications oublient de préciser que les leurs sont des ouvrages de spécialité, c’est-à-dire des livres que leur cursus universitaire ou leur profession les ont amenés à écrire.  

     Ils sont quasiment tous incapables de théoriser leur vision politique et d’interpréter leur propre trajectoire politique par le biais de l’écriture. Parler c’est bien plus facile et moins risqué qu’écrire, car comme le dit l’adage les mots s’envolent et l’écriture demeure : lorsqu’on n’a pas grand-chose à révéler au public, il est bien plus commode de s’engouffrer dans le tapage pour dissoudre sa faiblesse et sa vacuité dans la clameur populaire.  

     Á cause de dissensions internes le PDS a perdu sa vitalité, car l’énergie qui devrait être mobilisée pour faire face aux attaques parfois abusives et injustifiées de l’opposition est ainsi investie dans des joutes internes stériles.  

     « Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer ta faiblesse sans que l'autre ne s'en serve pour affirmer sa force » a écrit Cesare Pavese dans son Journal. La faiblesse de Wade est justement sa principale force : une sorte de générosité et d’esprit de dépassement tellement rares que ses propres militants en sont déroutés.  

     Comment, après tant de frustrations et de violences à la fois physiques et symboliques subies de la part d’anciens adversaires politiques, peut-on être aussi cléments à leur égard ?  

      Il est donc inadmissible que dans un parti pétri dans l’altérité et l’ouverture, qu’on continue encore à faire preuve d’attitudes aussi mesquines et dédaigneuses à l’endroit de tous ceux qui symbolisent l’ouverture et le dynamisme dans le PDS.  

     Il est temps que l’on comprenne une bonne fois pour toutes que la démocratie est un régime dans lequel on ne peut pas se contenter d’avoir la majorité pour gouverner seul. Gouverner dans une démocratie d’opinion exige l’ouverture à l’infini, la diversité enrichissante et la recomposition politique permanente.  

     Au PDS c’est regrettable de constater qu’il y a encore des individus qui, dès qu’on parle de dialogue politique, de refondation, de courant ou de renouveau, ils se sentent menacés de disparition.  

     Les sociétés humaines ne sont jamais totalement invariables,  statiques, malgré  leur tendance naturelle et normale au conservatisme : elles exigent certes le conformisme, mais elles demeurent ouvertes au changement. Sans la capacité de changer contenue dans la vertu à faire la l’assimilation et la symbiose de plusieurs données extérieures, toute organisation humaine est condamnée à la décadence.  

     Le camp politique adverse, en l’occurrence BENNO, est plus composite et davantage constitué d’antagonismes que le camp de l’’AST, et curieusement il est plus dynamique dans l’occupation de l’espace public physique et audiovisuel !  

     La raison en est que là-bas les gens ont réussi jusqu’ici à transcender leurs divergences pour construire des convergences fertiles sur le plan politique. Il faut savoir que les organisations politiques ont pour fondement et pour levier la liberté : pour maintenir les hommes dans une unité organique, il faut accepter de payer le tribut de la liberté.  

     Payer le prix de la liberté c’est à la fois accepter de faire des concessions au profit de ses alliés et disposer son parti à se défaire de certains principes et valeurs traditionnels pour en recevoir d’autres : il faut s’adapter dans un monde où tout est connecté et interdépendant.  

     L’égoïsme politique est forcément contreproductif : de même que la recherche effrénée et outrancière de l’authenticité en vie sociale condamne à la marginalité, la culture excessive du patriotisme politique mène inexorablement à l’isolement et à la désuétude.   

     Á en croire  Sénèque « Souvent il n'y a aucune différence entre les présents de nos amis et les vœux de nos ennemis ; tous les malheurs que nous souhaitent les uns sont les mêmes où la complaisance inopportune des autres nous pousse et nous achemine méthodiquement ». 

      Nous pensons en ce qui nous concerne que la source de tous les problèmes du PDS c’est cette morbide tendance à ne sublimer que ce qui est complaisant à son égard et à rejeter systématiquement toutes note dissonante.  

     La mouvance présidentielle pouvait et peut encore être plus dynamique à la condition qu’elle fasse l’effort d’intégrer l’altérité, la différence, et la remise en cause de soi.  

     Pour éviter que les « présents » de ses amis aient la même nocivité que les « vœux » de ses ennemis, le PDS doit se résoudre à l’évidence : en politique ce sont les circonstances et les tendances de l’opinion publique qui doivent servir de boussole à l’action politique. 

     La rigidité absolue et l’inconstance totale sont les deux extrêmes à éviter en politique, or la forme et les contours du phénomène de patriotisme politique tendent vers ces deux extrêmes. Faire preuve de xénophobie politique et d’incivisme avéré sous le seul prétexte du patriotisme de parti c’est travailler à la perte du PDS.  

     Le vrai patriotisme de parti doit montrer l’exemple par le respect des lois du républicaine, le respect de certains principes cardinaux de la morale et par l’altruisme politique qui garantit à son parti plus de représentativité et de légitimité.



11 Commentaires

  1. Auteur

    Popo

    En Mai, 2011 (03:15 AM)
    je deteste wade ainsi que tte sa famille
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  2. Auteur

    Popo

    En Mai, 2011 (03:16 AM)
    PDS( pabi , dom ji , sokhna ci ) ma léne bagne
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    Auteur

    Moddiagne

    En Mai, 2011 (05:14 AM)
    Mais qui est l'auteur de l'article?
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    Auteur

    Fafa

    En Mai, 2011 (06:47 AM)
    on ne peut pas dire que wade n'a rien fait dans ce pays , ce serait malhonnête de le dire, il a quand même construit des routes, des hopitaux il a libéralisé pas mal de secteur , le problème est ce qu'il connaît les priorités de l'heure , l'argent utilisé pour construire le monument de la renaissance par exemple aurait pu être dépensé dans l'achat d'équipement pour régler le problème d'éléctricité qui est quelque chose de très senible , s'il veut gagner les prochaine éléctions proprement il devrait faire de la résolution de ce problème , sa priorité numéro1
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    Auteur

    Luy Jot

    En Mai, 2011 (08:36 AM)
    Khady Mbow un lugubre ministre du cadre de vie, inconnue du bataillon defie Wade!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    thiey!!!!!!!!!!!!!!!!Senegal
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    Auteur

    Tienne

    En Mai, 2011 (08:48 AM)
    C'EST UNE FAIBLESSE DE L'ETAT  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Luy Jot

    En Mai, 2011 (09:02 AM)
    khady mbow un lugubre ministre du cadre de vie inconnue au bataillon hihi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Bird

    En Mai, 2011 (10:09 AM)
    Texte bien rédigé et bien argumenté, même si l'on sait que l'auteur n'est pas allé jusqu'au bout de ses idées, car voulant épargner le Président Wade! Oui Monsieur qui a rédigé l'article, vous auriez pu mieux faire si vous aviez continué votre raisonnement en toute objectivité! Car intellectuellement, dans l'analyse parlant, vous êtes à la hauteur; et que c'est dommage que vous n'avez oser vous en prendre à Maitre Wade!!!! On a senti qu'il y avait un côté partisan à la fin de l'article, qui aurait pu conclure que le meilleur service que Wade pourrait rendre au Sénégal, serait qu'il ne se représente plus personnellement, et que son parti pourrait le faire avec un nouveau candidat choisi par le PDS! Sinon, cela a été un immense plaisir de vous lire!!!
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    Auteur

    Undefined

    En Mai, 2011 (18:00 PM)
    Cheikh Bamba Dieye le candidat idéale pour 2012



     :sn: 
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    Auteur

    Diakhaby

    En Mai, 2011 (18:40 PM)
    Il est brillant ça personne n'en disconvient, mais il est malhonnéte
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    Auteur

    Looty

    En Mai, 2011 (10:04 AM)
    si un ministre se voit pousser vers la sortie de son ministère, et ceci sans raison apparente et que celui-ci tente des couts bas à l'encontre de son propre partie, n'a rien de cynique; c'est la politique car ils ne sont là que pour leurs seuls ininterets

    il n'y a pas de morale en politique

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