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Politique

Modou Diagne Fada : "La majorité a encore fui les questions sérieuses"

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Modou Diagne Fada : "La majorité a encore fui les questions sérieuses"

Le président du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates, Modou Diagne Fada, a qualifié jeudi de ‘’fuite de responsabilité’’ la critique formulée par la majorité concernant la gestion d’une somme de huit milliards de francs CFA en rapport avec un décret d’avance pris sous l’ancien régime.

‘’J’ai noté une majorité qui cherche un faux-fuyant pour ne pas parler des questions sérieuses qui intéressent les Sénégalais, à savoir la baisse des denrées de première nécessité, la baisse des prix de consommation comme le gasoil, l’essence et le gaz butane’’, a-t-il réagi après le vote du projet de loi numéro 07/ 2012 relatif à la première loi de finances rectificative pour l’année 2012 contre lequel il a voté. 

‘’Au lieu d’inciter le ministère de l’Economie et des Finances à prendre des mesures idoines pour réduire le déficit budgétaire ou augmenter la croissance pour augmenter la compétitivité de nos entreprises, afin de lutter contre le chômage, la majorité, encore une fois, s’est focalisée autour d’un décret d’avance alors que tout le monde sait que c’est une pratique légale régie par le droit politique sénégalais’’, a fustigé Modou Diagne Fada. 

Il a déclaré que tous les chefs d’Etat, qui se sont succédé à la tête de ce pays, ont tous eu recours au décret d’avance. ‘’Au moins pour les autres décrets d’avance, nous avons indiqué les programmes. Soit c’est pour le phosphatage, soit c’est pour les produits phytosanitaire …’’. 



12 Commentaires

  1. Auteur

    Une Lumière

    En Octobre, 2012 (16:17 PM)
    « Le dieu des thiantacounes » : dérives d’une défense calamiteuse.



    Tout pour sauver le soldat encellulé : manquements, manipulations, déformations sur les violences des agitateurs victimaires, propos irrévérencieux défaillances proéminentes, contrevérités flagrantes, dérives d’une défense calamiteuse.



    Le bourreau de Keur Samba Laobé est à terre et sous bonne garde !



    Il n’y a pas de crime parfait. S’offrir soi-même le grade de « cheikh » est une chose, mais lorsqu’il s’agit de le prouver éloquemment, c’en est une autre.



    Parmi ceux qui affichent honorablement une apparence de respectabilité, se cachent parfois des monstres affreux. On aura beau se couvrir sous l’habillage de « cheikh » pour commettre un sacrilège le plus effroyable, mais l’auteur finira toujours par être démasqué publiquement pour être à terre et sous bonne garde, derrière les barreaux. Qu’il sorte donc de sa cellule s’il est investi d’une mission divine ! « Thiantacounes »–un misérabilisme mystificateur ou plutôt un embrouillamini totalement, décousu, discourtois, qui en dit long sur cette organisation maléfique de grand banditisme, composée pour la plupart de malfrats drogués, défroqués, irrécupérablement « repéchables, avec sa tête un caïd indocile, notoire, heureusement maîtrisé au bon moment où il se croyait impérieux.



    L’état n’a pas à capituler ni à rendre des visites ou à recevoir par des agenouillements des chefs religieux pour savoir quelle mesure faut-il prendre sur les agitateurs qui troublent l’ordre public comme s’il s’agit de défendre des intérêts privés. Personne n’est au-dessus du président de la république. Il incombe donc à l’état de prendre ses responsabilités régaliennes pour arrêter les violences inacceptables.



    Dans un état de droit, la République n’a rien à négocier avec qui ce soit, lorsqu’il est question des institutions qu’on tient à fragiliser de façon à instaurer une justice parallèle. Il n’y a qu’une seule autorité légale, l’unique maitre à bord, c’est le président de la république, élu au suffrage universel. Il n’y a qu’un seul pouvoir légal, c’est l’état. La violence n’est pas négociable sous aucun prétexte, ce sont des terroristes qu’il faut prendre comme tels. Les autorités ont laissé librement le terrain aux casseurs pendant des jours. Devant l’ampleur des manifestations des « thiantacounes » avec des dégâts collatéraux–puisqu’il y a quand même des brûlés graves dans l’attaque d’un bus Tata–l’état apparemment laxiste jusqu’à là, tente de corriger le tir en mettant en garde les agitateurs. C’est pourquoi je parlais de république à deux têtes. Il ne peut pas y avoir de cas privés exceptionnels. Mais faut-il que l’état ait le courage de dicter sa loi ferme contre des voyous. C’est le mot qui convient.



    Je suis parfaitement calé à la lecture du politologue Justin Ndiaye, lorsqu’il déclare dans une interview de Adama Dieng du journal (l’observateur), en date du 23 octobre 2012 :



    « Or donc dans cette« affaire Béthio Tioune » l’Etat a dansé le twist. Pis, il est sur le point de capituler en rase campagne, avec toutes les conséquences ruineuses pour la santé de nos institutions.



    Mme Mimi Touré, ministre de la Justice, qui était montée, hier, sur ses grands chevaux pour menacer Ousmane Ngom des foudres d’un Etat décidé à aller jusqu’au bout des audits, quémande, aujourd’hui, l’aide du barreau pour sortir l’appareil judiciaire de la gadoue. Convenez avec moi que ce n’est pas une façon claire et courageuse d’assumer des responsabilités ministérielles. Attitude tout aussi kafkaïenne de la part d’un Premier ministre qui va chez Cheikh Saliou Mbacké, à Boustane, négocier je ne sais quoi, à ce stade de l’instruction où Béthio est sous l’autorité d’un juge censé être indépendant dans notre Etat de droit. A mon avis, un Président de la république élu avec un score confortable de 65 %, possède les coudées suffisamment franches pour assurer la sécurité des personnes et des biens. C’est une affaire d’homme d’Etat ayant du cran…d’Etat ».



    L’arrogance d’une défense calamiteuse, répugnante, décousue, inacceptable moralement. Contradictions, incohérences, manipulations, propos irrévérencieux défaillances proéminentes, diversions tous azimuts, déformations manifestes.



    Manifestement, Il y a là une incrémentation, voire même une instrumentalisation des avocats talibés au service du conservatisme religieux. C’est le moins que l’on puisse dire dans cette histoire rocambolesque.



    Tout en brocardant la justice et sans discernement aucun, la défense balaie d’un revers de main les voitures caillassées par les « thiantacounes » pour en imputer la responsabilité à l’état à demi- mot. A travers les radios, le fiston s’offre en tribune et vend l’impunité de son propre père victimaire.

    Lorsque des journalistes sont menacés dans l’exercice de leur fonction, place aux faits dénaturés pour accuser le pouvoir pour se dédouaner ! Le même discours de la haine, de mépris, des dénégations et des niaiseries, intervertissent toujours les rôles.



    Décidément, il est indéniable que le fils satanique tout comme la défense à courts d’arguments plausibles, sont tous soudés et unis dans une sacro sainte diablerie titanesque, frisant la démence, s’accordent hystériquement dans une même litanie mécanique, surréaliste, invraisemblable, à la seule fin d’arrondir les angles et intervertir ainsi les rôles, pour arriver à leurs fins, en prenant maladroitement cause et fait pour les faits reprochés. Le même discours de la haine, de mépris, des dénégations et des niaiseries, intervertissent toujours les rôles.



    Pire, comme si cela ne suffisait pas encore, on fait courir à travers les organes de presse des pures affabulations selon lesquelles les infiltrations des services de renseignement sèment la pagaille. Les agitateurs n’y sont pour rien. C’est maintenant l’exécutif, manipulateur, qui organise les manifs et les pillages ? C’est ce que semble insinuer l’énergumène fiston.



    Le même rituel de la victimisation sévit pour faire croire à un vaste complot du plus haut sommet de l’état ; tout cela fait suite à l’incarcération de Béthio Thioune et ses complices placés en mandat de dépôt depuis avril 2012, pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable. Les agitateurs illuminés caillassent les voitures, incendient les banques, les édifices publics, troublent l’ordre publique qu’il faut mettre absolument au compte du politique.



    Les avocats de Béthio : des réponses bidon, gonflées et bidouillées pour accabler Aminata Touré, ministre de la justice. Place à l’abondance des convergences calomnieuses à outrance ! Me Ousmane Sèye rejette les actes de violence imputés aux thiantacounes. L’avocat prend partie pour les brigands. Il n’est pas à son premier coup d’essai. Il a fait ses preuves avec le défunt régime tyrannique. Il est opportuniste et versatile et change de trajectoire lorsqu’il veut défendre ses propres intérêts scandaleusement matériels.



    « Ce communiqué viole le secret de l’instruction, fonde sur des bases illégales le transfèrement de l’inculpé Monsieur Béthio Thioune, confirme la mesure excessive de la limitation des visites de l’inculpé et viole l’article 7 de la Constitution qui dispose (et non stipule « comme écrit dans le communiqué) que « tous les êtres humains sont égaux devant la loi » et profère publiquement des menaces à l’endroit des Conseils de Monsieur Cheikh Béthio Thioune avec une interpéllative publique du Bâtonnier de l’Ordre des Avocats ».

    Pour des raisons de sécurité, le transfèrement du détenu à la Mac de Thiès à rebeuss, fait suite à l’intrusion de la La 6e épouse de Béthio déguisée en infirmière pour rendre visite à son mari sans en faire la demande obligatoire.



    Or, contrairement aux thèses des avocats de Béthio Thioune, nous avions dénoncé deux poids et deux mesures : le « bon criminel », d’abord, c’est celui qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu privilégié de premier plan que lui confère son rang. Puisqu’il n’est pas dans le même registre que les autres, il est cajolé et béni telle une star comblée pour « son honneur ». Sans contrôle, on lui déroule le tapis rouge à la hauteur de son invincibilité. Il est parfaitement en osmose avec ses convictions sataniques, et à l’aise comme s’il était chez lui, et reçoit librement Une par Une ses femmes à la pelle comme par miracle. Peu importe qu’il ne sache ni lire, ni réciter le moindre verset coranique, ni faire le jeûne, encore moins de faire la prière, puisqu’il en est exonéré sur mesure.



    Il est bien élevé, est assuré d’une garantie divine pour entrer directement au paradis, en tant que bienfaiteur. Sur terre, dans sa cellule dorée, il est constamment félicité et dispose de clims, disponibles à tout moment, qui tournent en plein régime et bénéficie notamment de toutes les générosités par sa magie : « ndéwéneul » [dons divers à gogo] et de « déwénati » [qu’il vive le plus longtemps possible ! ].

    Enfin le monstre !



    Le second, ou plutôt le monstre, est celui, qui n’a droit qu’à l’isolement total de jour comme de nuit. C’est peut être la preuve la plus palpable d’un état de droit d’une république réelle des talibés !



    Alors, dans ces conditions, parler de la mesure excessive de la limitation des visites de l’inculpé et viole l’article 7 de la Constitution, relève d’une contrevérité pour des professionnels. C’est bien la marque de fabrique pour déshonorer la profession dont il est question dans cette affaire ubuesque.

    Messieurs, soyez convaincus que le sort de l’inculpé dépend exclusivement de la gravité des faits reprochés, c ’est-à-dire de son engagement et sa responsabilité sur le double meurtre au village de Keur Samba Laobé ; et non point à ce qu’il est censé être, encore moins, les briques taillées sur mesure pour être engrangées et pour cause !

    Tolérance zéro des agitateurs « thiantacounes »



    Tolérance zéro. Plan A ou B, le jour de la tabaski, les fauteurs de troubles et leurs commanditaires tapis dans l’ombre, supposés, directs ou indirects, instigateurs ou présumés tels, d’où qu’ils appartiennent ; payeront chèrement la note à la hauteur de leurs implications peu ou prou. La république n’appartient à aucune famille, point de zones d’exclusion ni de non droit dans aucune ville, village ou bourg ; dans toute l’étendue du territoire national, les contrevenants seront démasqués, délogés, livrés à la justice pour être traités comme tels et sans pitié, d’où qu’ils puissent venir.



    Collectif des grands talibes de l`ex Khalif: « Serigne Saliou vivant, jamais Cheikh Béthio n’aurait été en prison » Pour eux, « Cheikh Béthio ne mérite guère ce qui lui arrive encore moins le silence noté chez certaines personnalités du pays ». A en croire Serigne Abô Guèye, un des porte-paroles du jour, « jamais Cheikh Béthio n’aurait été en prison si Serigne Saliou Mbacké était encore sur terre ».



    Inutile de faire des états d’âme, en citant des chapelets d’hypothèses, qui n’ont pas lieu d’être. Les lieux de naissances ne sauraient servir de privilèges. Il n’y a pas d’exceptionnalités dans la justice de la république. Aucune voix notable, soit, elle, n’aurait de prise sur les décisions indépendantes de la justice, encore moins les retours d’indignations aux relents corporatistes. On use de tous les moyens, fussent-ils immoraux, peu importe, il faut vendre la marchandise avariée. Et les clients irréfléchis doivent l’accepter comme telle.



    Cela dit, la loi de la solidarité communautariste tyrannique du « thiantacounisme des esprits» ne passera pas comme règle de la démocratie. Fini le conservatisme arrogant. Le temps de la féodalité est révolu. Nous naissances libres et égaux devant la loi. Il n’y a pas lieu de stéréotypes. Serigne Saliou (PSL) n’a rien à voir avec ses histoires de crimes crapuleux. Que ferait-il ? Que ne ferait-il pas ? Certains chambellans par ignorance, impertinence, ou mépris affiché et à l’esprit étroit, se croient imbattables ou tout simplement nombrilistes au point d’accoucher des balourdises suffocantes. Sauver le soldat à tout prix. C’est toujours le même rituel de la victimisation communautariste, cocasse par la même rengaine de la transmission des pensées. Béthio Thioune n’en est pour rien dans cette affaire. De grâce, messieurs, la gravité des faits reprochés commande la retenue, l’humilité et moins de communautarisme visiblement dédaigneux ! Il y a lieu de rappeler que le Sénégal n’est pas une république théocratique, ni mono-confrérique. C’est un état laïc. Elle est une et indivisible. Les lois de la république ne sauraient servir d’exception. Il n’y a pas non plus un état dans un état.



    Aminata Touré, ministre de la Justice : « Cheikh Béthio Thioune ne saurait bénéficier d’un traitement spécial. Il est comme tous les autres détenus. «L’article 7 de la constitution stipule : «Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. Il n’y a au Sénégal, ni sujet, ni privilège de lieu de naissance, de personne ou de famille » et les faits qui impliquent Béthio Thioune ne sauraient faire l’objet de traitement particulier»



    « Tous les religieux sont-ils en sursis ?»



    Oui, en effet, si l’hérédité religieuse a quelque chose à se reprocher, elle est donc présentement en sursis !

    Oui, en effet, d’ores et déjà, finie la république de la vache à lait pour l’honneur des paresseux imbus de médiocrité, qui trompent les citoyens par un islamisme de l’escroquerie pour s’enrichir illicitement, à la seule fin qu’ils sont sensés porter la bonne étoile, alors qu’en réalité, ils abusent d’un pouvoir que leur ont octroyé naïvement les citoyens, formatés à la sauce de l’obscurantisme, pour les maintenir éternellement tels des esclaves aussi domptés que des animaux si bien dressés, pour obéir aveuglément à n’importe quelle recommandation supposée divine.

    .

    Oui, messieurs, nous comprenons que vous êtes dans vos gongs, car le temps du réveil brutal a sonné pour être libres et se débarrasser des sangsues qui sucent le sang pour ne rien faire, si ce n’est une baraka invisible par le miracle d’un briefing de l’idolâtrie strictement interdite par le bon grain de l’islam vrai de l’ivraie.



    Oui, continuez à lustrer vos armes sacrées, rien n’y fera ; le détenu tristement célèbre, n’échappera nullement au verdict inscrit à la hauteur des faits accusés.



    Oui, pauvres égarés des causes perdues, pouvez-vous vous regarder devant une glace, sans être ridicules à vouloir comparer par la ruse avec l’affaire du double meurtre à Keur Samba Laobé, sur ordre de Béthio Thioune, lequel a non seulement recommandé de les exécuter, mais a bien participé physiquement et en toute connaissance de cause à ensevelir librement deux sénégalais atrocement criblés de balles et au moyen d’armes tranchantes, dont l’un a été intentionnellement enterré vivant, sous les yeux d’un prétendu cheikh, sans autorisation préalable d’inhumation ?



    Oui, l’affaire Barthélémy Dias, maire, attaqué dans son lieu de travail par des nervis lourdement armés, filmés au su et au vu de tout le monde, lesquels ont agi directement sur ordre du garde de corps de wade avec à l’appui, des voitures du pds, que des témoins ont vu entrer à leur permanence du parti.



    Venir nous nous engloutir de deux poids deux mesures relève d’un mépris totalement indigne à l’égard des victimes et de leurs familles. Il n’y a rien de comparable entre l’affaire Barthélémy Dias et celle de Béthio Thioune. C’est une ignominie amorale et inaccordable que rien ne peut justifier. L’impunité ne peut se vendre dans ce pays.

    Alors, messieurs, arrêtez donc le cirque et les comparaisons burlesques ! En aucun cas, vos coquetteries ne peuvent servir de levier à pérenniser l’injustice ni d’exutoire à la culpabilité matériellement démontrée.
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  2. Auteur

    Une Lumière

    En Octobre, 2012 (16:23 PM)
    « Le dieu des thiantacounes » : dérives d’une défense calamiteuse.



    Tout pour sauver le soldat encellulé : manquements, manipulations, déformations sur les violences des agitateurs victimaires, propos irrévérencieux défaillances proéminentes, contrevérités flagrantes, dérives d’une défense calamiteuse.



    Le bourreau de Keur Samba Laobé est à terre et sous bonne garde !



    Il n’y a pas de crime parfait. S’offrir soi-même le grade de « cheikh » est une chose, mais lorsqu’il s’agit de le prouver éloquemment, c’en est une autre.



    Parmi ceux qui affichent honorablement une apparence de respectabilité, se cachent parfois des monstres affreux. On aura beau se couvrir sous l’habillage de « cheikh » pour commettre un sacrilège le plus effroyable, mais l’auteur finira toujours par être démasqué publiquement pour être à terre et sous bonne garde, derrière les barreaux. Qu’il sorte donc de sa cellule s’il est investi d’une mission divine ! « Thiantacounes »–un misérabilisme mystificateur ou plutôt un embrouillamini totalement, décousu, discourtois, qui en dit long sur cette organisation maléfique de grand banditisme, composée pour la plupart de malfrats drogués, défroqués, irrécupérablement « repéchables, avec sa tête un caïd indocile, notoire, heureusement maîtrisé au bon moment où il se croyait impérieux.



    L’état n’a pas à capituler ni à rendre des visites ou à recevoir par des agenouillements des chefs religieux pour savoir quelle mesure faut-il prendre sur les agitateurs qui troublent l’ordre public comme s’il s’agit de défendre des intérêts privés. Personne n’est au-dessus du président de la république. Il incombe donc à l’état de prendre ses responsabilités régaliennes pour arrêter les violences inacceptables.



    Dans un état de droit, la République n’a rien à négocier avec qui ce soit, lorsqu’il est question des institutions qu’on tient à fragiliser de façon à instaurer une justice parallèle. Il n’y a qu’une seule autorité légale, l’unique maitre à bord, c’est le président de la république, élu au suffrage universel. Il n’y a qu’un seul pouvoir légal, c’est l’état. La violence n’est pas négociable sous aucun prétexte, ce sont des terroristes qu’il faut prendre comme tels. Les autorités ont laissé librement le terrain aux casseurs pendant des jours. Devant l’ampleur des manifestations des « thiantacounes » avec des dégâts collatéraux–puisqu’il y a quand même des brûlés graves dans l’attaque d’un bus Tata–l’état apparemment laxiste jusqu’à là, tente de corriger le tir en mettant en garde les agitateurs. C’est pourquoi je parlais de république à deux têtes. Il ne peut pas y avoir de cas privés exceptionnels. Mais faut-il que l’état ait le courage de dicter sa loi ferme contre des voyous. C’est le mot qui convient.



    Je suis parfaitement calé à la lecture du politologue Justin Ndiaye, lorsqu’il déclare dans une interview de Adama Dieng du journal (l’observateur), en date du 23 octobre 2012 :



    « Or donc dans cette« affaire Béthio Tioune » l’Etat a dansé le twist. Pis, il est sur le point de capituler en rase campagne, avec toutes les conséquences ruineuses pour la santé de nos institutions.



    Mme Mimi Touré, ministre de la Justice, qui était montée, hier, sur ses grands chevaux pour menacer Ousmane Ngom des foudres d’un Etat décidé à aller jusqu’au bout des audits, quémande, aujourd’hui, l’aide du barreau pour sortir l’appareil judiciaire de la gadoue. Convenez avec moi que ce n’est pas une façon claire et courageuse d’assumer des responsabilités ministérielles. Attitude tout aussi kafkaïenne de la part d’un Premier ministre qui va chez Cheikh Saliou Mbacké, à Boustane, négocier je ne sais quoi, à ce stade de l’instruction où Béthio est sous l’autorité d’un juge censé être indépendant dans notre Etat de droit. A mon avis, un Président de la république élu avec un score confortable de 65 %, possède les coudées suffisamment franches pour assurer la sécurité des personnes et des biens. C’est une affaire d’homme d’Etat ayant du cran…d’Etat ».



    L’arrogance d’une défense calamiteuse, répugnante, décousue, inacceptable moralement. Contradictions, incohérences, manipulations, propos irrévérencieux défaillances proéminentes, diversions tous azimuts, déformations manifestes.



    Manifestement, Il y a là une incrémentation, voire même une instrumentalisation des avocats talibés au service du conservatisme religieux. C’est le moins que l’on puisse dire dans cette histoire rocambolesque.



    Tout en brocardant la justice et sans discernement aucun, la défense balaie d’un revers de main les voitures caillassées par les « thiantacounes » pour en imputer la responsabilité à l’état à demi- mot. A travers les radios, le fiston s’offre en tribune et vend l’impunité de son propre père victimaire.

    Lorsque des journalistes sont menacés dans l’exercice de leur fonction, place aux faits dénaturés pour accuser le pouvoir pour se dédouaner ! Le même discours de la haine, de mépris, des dénégations et des niaiseries, intervertissent toujours les rôles.



    Décidément, il est indéniable que le fils satanique tout comme la défense à courts d’arguments plausibles, sont tous soudés et unis dans une sacro sainte diablerie titanesque, frisant la démence, s’accordent hystériquement dans une même litanie mécanique, surréaliste, invraisemblable, à la seule fin d’arrondir les angles et intervertir ainsi les rôles, pour arriver à leurs fins, en prenant maladroitement cause et fait pour les faits reprochés. Le même discours de la haine, de mépris, des dénégations et des niaiseries, intervertissent toujours les rôles.



    Pire, comme si cela ne suffisait pas encore, on fait courir à travers les organes de presse des pures affabulations selon lesquelles les infiltrations des services de renseignement sèment la pagaille. Les agitateurs n’y sont pour rien. C’est maintenant l’exécutif, manipulateur, qui organise les manifs et les pillages ? C’est ce que semble insinuer l’énergumène fiston.



    Le même rituel de la victimisation sévit pour faire croire à un vaste complot du plus haut sommet de l’état ; tout cela fait suite à l’incarcération de Béthio Thioune et ses complices placés en mandat de dépôt depuis avril 2012, pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable. Les agitateurs illuminés caillassent les voitures, incendient les banques, les édifices publics, troublent l’ordre publique qu’il faut mettre absolument au compte du politique.



    Les avocats de Béthio : des réponses bidon, gonflées et bidouillées pour accabler Aminata Touré, ministre de la justice. Place à l’abondance des convergences calomnieuses à outrance ! Me Ousmane Sèye rejette les actes de violence imputés aux thiantacounes. L’avocat prend partie pour les brigands. Il n’est pas à son premier coup d’essai. Il a fait ses preuves avec le défunt régime tyrannique. Il est opportuniste et versatile et change de trajectoire lorsqu’il veut défendre ses propres intérêts scandaleusement matériels.



    « Ce communiqué viole le secret de l’instruction, fonde sur des bases illégales le transfèrement de l’inculpé Monsieur Béthio Thioune, confirme la mesure excessive de la limitation des visites de l’inculpé et viole l’article 7 de la Constitution qui dispose (et non stipule « comme écrit dans le communiqué) que « tous les êtres humains sont égaux devant la loi » et profère publiquement des menaces à l’endroit des Conseils de Monsieur Cheikh Béthio Thioune avec une interpéllative publique du Bâtonnier de l’Ordre des Avocats ».

    Pour des raisons de sécurité, le transfèrement du détenu à la Mac de Thiès à rebeuss, fait suite à l’intrusion de la La 6e épouse de Béthio déguisée en infirmière pour rendre visite à son mari sans en faire la demande obligatoire.



    Or, contrairement aux thèses des avocats de Béthio Thioune, nous avions dénoncé deux poids et deux mesures : le « bon criminel », d’abord, c’est celui qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu privilégié de premier plan que lui confère son rang. Puisqu’il n’est pas dans le même registre que les autres, il est cajolé et béni telle une star comblée pour « son honneur ». Sans contrôle, on lui déroule le tapis rouge à la hauteur de son invincibilité. Il est parfaitement en osmose avec ses convictions sataniques, et à l’aise comme s’il était chez lui, et reçoit librement Une par Une ses femmes à la pelle comme par miracle. Peu importe qu’il ne sache ni lire, ni réciter le moindre verset coranique, ni faire le jeûne, encore moins de faire la prière, puisqu’il en est exonéré sur mesure.



    Il est bien élevé, est assuré d’une garantie divine pour entrer directement au paradis, en tant que bienfaiteur. Sur terre, dans sa cellule dorée, il est constamment félicité et dispose de clims, disponibles à tout moment, qui tournent en plein régime et bénéficie notamment de toutes les générosités par sa magie : « ndéwéneul » [dons divers à gogo] et de « déwénati » [qu’il vive le plus longtemps possible ! ].

    Enfin le monstre !



    Le second, ou plutôt le monstre, est celui, qui n’a droit qu’à l’isolement total de jour comme de nuit. C’est peut être la preuve la plus palpable d’un état de droit d’une république réelle des talibés !



    Alors, dans ces conditions, parler de la mesure excessive de la limitation des visites de l’inculpé et viole l’article 7 de la Constitution, relève d’une contrevérité pour des professionnels. C’est bien la marque de fabrique pour déshonorer la profession dont il est question dans cette affaire ubuesque.

    Messieurs, soyez convaincus que le sort de l’inculpé dépend exclusivement de la gravité des faits reprochés, c ’est-à-dire de son engagement et sa responsabilité sur le double meurtre au village de Keur Samba Laobé ; et non point à ce qu’il est censé être, encore moins, les briques taillées sur mesure pour être engrangées et pour cause !

    Tolérance zéro des agitateurs « thiantacounes »



    Tolérance zéro. Plan A ou B, le jour de la tabaski, les fauteurs de troubles et leurs commanditaires tapis dans l’ombre, supposés, directs ou indirects, instigateurs ou présumés tels, d’où qu’ils appartiennent ; payeront chèrement la note à la hauteur de leurs implications peu ou prou. La république n’appartient à aucune famille, point de zones d’exclusion ni de non droit dans aucune ville, village ou bourg ; dans toute l’étendue du territoire national, les contrevenants seront démasqués, délogés, livrés à la justice pour être traités comme tels et sans pitié, d’où qu’ils puissent venir.



    Collectif des grands talibes de l`ex Khalif: « Serigne Saliou vivant, jamais Cheikh Béthio n’aurait été en prison » Pour eux, « Cheikh Béthio ne mérite guère ce qui lui arrive encore moins le silence noté chez certaines personnalités du pays ». A en croire Serigne Abô Guèye, un des porte-paroles du jour, « jamais Cheikh Béthio n’aurait été en prison si Serigne Saliou Mbacké était encore sur terre ».



    Inutile de faire des états d’âme, en citant des chapelets d’hypothèses, qui n’ont pas lieu d’être. Les lieux de naissances ne sauraient servir de privilèges. Il n’y a pas d’exceptionnalités dans la justice de la république. Aucune voix notable, soit, elle, n’aurait de prise sur les décisions indépendantes de la justice, encore moins les retours d’indignations aux relents corporatistes. On use de tous les moyens, fussent-ils immoraux, peu importe, il faut vendre la marchandise avariée. Et les clients irréfléchis doivent l’accepter comme telle.



    Cela dit, la loi de la solidarité communautariste tyrannique du « thiantacounisme des esprits» ne passera pas comme règle de la démocratie. Fini le conservatisme arrogant. Le temps de la féodalité est révolu. Nous naissances libres et égaux devant la loi. Il n’y a pas lieu de stéréotypes. Serigne Saliou (PSL) n’a rien à voir avec ses histoires de crimes crapuleux. Que ferait-il ? Que ne ferait-il pas ? Certains chambellans par ignorance, impertinence, ou mépris affiché et à l’esprit étroit, se croient imbattables ou tout simplement nombrilistes au point d’accoucher des balourdises suffocantes. Sauver le soldat à tout prix. C’est toujours le même rituel de la victimisation communautariste, cocasse par la même rengaine de la transmission des pensées. Béthio Thioune n’en est pour rien dans cette affaire. De grâce, messieurs, la gravité des faits reprochés commande la retenue, l’humilité et moins de communautarisme visiblement dédaigneux ! Il y a lieu de rappeler que le Sénégal n’est pas une république théocratique, ni mono-confrérique. C’est un état laïc. Elle est une et indivisible. Les lois de la république ne sauraient servir d’exception. Il n’y a pas non plus un état dans un état.



    Aminata Touré, ministre de la Justice : « Cheikh Béthio Thioune ne saurait bénéficier d’un traitement spécial. Il est comme tous les autres détenus. «L’article 7 de la constitution stipule : «Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. Il n’y a au Sénégal, ni sujet, ni privilège de lieu de naissance, de personne ou de famille » et les faits qui impliquent Béthio Thioune ne sauraient faire l’objet de traitement particulier»



    « Tous les religieux sont-ils en sursis ?»



    Oui, en effet, si l’hérédité religieuse a quelque chose à se reprocher, elle est donc présentement en sursis !

    Oui, en effet, d’ores et déjà, finie la république de la vache à lait pour l’honneur des paresseux imbus de médiocrité, qui trompent les citoyens par un islamisme de l’escroquerie pour s’enrichir illicitement, à la seule fin qu’ils sont sensés porter la bonne étoile, alors qu’en réalité, ils abusent d’un pouvoir que leur ont octroyé naïvement les citoyens, formatés à la sauce de l’obscurantisme, pour les maintenir éternellement tels des esclaves aussi domptés que des animaux si bien dressés, pour obéir aveuglément à n’importe quelle recommandation supposée divine.

    .

    Oui, messieurs, nous comprenons que vous êtes dans vos gongs, car le temps du réveil brutal a sonné pour être libres et se débarrasser des sangsues qui sucent le sang pour ne rien faire, si ce n’est une baraka invisible par le miracle d’un briefing de l’idolâtrie strictement interdite par le bon grain de l’islam vrai de l’ivraie.



    Oui, continuez à lustrer vos armes sacrées, rien n’y fera ; le détenu tristement célèbre, n’échappera nullement au verdict inscrit à la hauteur des faits accusés.



    Oui, pauvres égarés des causes perdues, pouvez-vous vous regarder devant une glace, sans être ridicules à vouloir comparer par la ruse avec l’affaire du double meurtre à Keur Samba Laobé, sur ordre de Béthio Thioune, lequel a non seulement recommandé de les exécuter, mais a bien participé physiquement et en toute connaissance de cause à ensevelir librement deux sénégalais atrocement criblés de balles et au moyen d’armes tranchantes, dont l’un a été intentionnellement enterré vivant, sous les yeux d’un prétendu cheikh, sans autorisation préalable d’inhumation ?



    Oui, l’affaire Barthélémy Dias, maire, attaqué dans son lieu de travail par des nervis lourdement armés, filmés au su et au vu de tout le monde, lesquels ont agi directement sur ordre du garde de corps de wade avec à l’appui, des voitures du pds, que des témoins ont vu entrer à leur permanence du parti.



    Venir nous nous engloutir de deux poids deux mesures relève d’un mépris totalement indigne à l’égard des victimes et de leurs familles. Il n’y a rien de comparable entre l’affaire Barthélémy Dias et celle de Béthio Thioune. C’est une ignominie amorale et inaccordable que rien ne peut justifier. L’impunité ne peut se vendre dans ce pays.

    Alors, messieurs, arrêtez donc le cirque et les comparaisons burlesques ! En aucun cas, vos coquetteries ne peuvent servir de levier à pérenniser l’injustice ni d’exutoire à la culpabilité matériellement démontrée.
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    Lyns

    En Octobre, 2012 (17:06 PM)
    J'ai l'impressions que devant les difficultés du moment, ceux qui gouvernent notre pays depuis des mois, bien qu'on ne puisse les juger en si peu de temps, pensent que les Sénégalais, dans leur grande majorité ne comprennent pas grand-chose au fonctionnement de l'Etat dans ses méandres et qu'ils peuvent tout faire gober ! Nous sommes en politique, le PDS doit s'opposer démocratiquement, de manière Républicaine, mais avec hardiesse , en démontant pièce par pièce toutes ces balivernes sur la gestion de l'ancien Régime ! Où sont les niches dont nous parlait le Professeur MOUBARACK LO ? Et mamadaou Lamine Diallo, que dit-il en ce moment ? A entendre ces deux "SAVANTS" depuis plus de cinq ans, beaucoup de nos compatriotes croyaient qu'ils seraient nos messis, ceuix qui savent tout, sont capable de changer l'eau en bissap !
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    Xeme

    En Octobre, 2012 (19:41 PM)
    @LYNS

    Le gouvernement sait très bien que les sénégalais savent. Mais, ils sont convaincus d'une chose, moi aussi. Avec les médias, il est possible de tout faire avaler aux citoyens. Avant, la chéreté de la vie, c'était des taxes indues pour enrichir Karim et lui offrir les moyens de la dévolution monarchique. Maintenant, on efface tout, mais tout en continuant de justifier les impossibilités d'aujourd'hui par des actes d'hier.
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    Mbalo

    En Octobre, 2012 (11:16 AM)
    Ce monsieur dégage une telle haine quand il parle .A mon avis il devrait regarder le bilan catastrophique de son mentor qui faisait croire que la crise internationale n'a jamais mis les pieds au Sénégal .Il dilapidait le peu que nous avions en le partageant a ses amis Mourides .Forcément le bilan auquel a participé Macky sall ce dernier ne peut pas le dénoncer.

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    Alphaone

    En Octobre, 2012 (11:55 AM)
    Lier le fonctionnement de l'état (gestion) seulement, au prix de consommation du gasoil, de l’essence et du gaz butane, (et autres denrées de première nécessité) c'est un raccourci un peu rapide.

    L’ÉTAT SÉNÉGALAIS N'EST PAS UNE ÉPICERIE.
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    Lyns

    En Octobre, 2012 (14:02 PM)
    Le Parti Démocratique Sénégalais doit mettre en exergue toutes les réalisations de Wade durant ces douze années de pouvoir et ne pas oublier tous les projet qui étaient ficelés et qui devaient être mis en oeuvre entre 2012 et 2016 date d'échéance de la passation de pouvoir programmée par Wade. Le Sénégal aura - t-il le bonheur d'avoir autant de grands projets durant les dux prochaines années ? D'où viendraient les fonds pour la réalisations de ces projets ? Souhaitons bonne chance à Macky Sall et à son équipe !
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    Teffel

    En Octobre, 2012 (16:03 PM)
    IL NOUS FATIGUE CE MODOU DIAGNE FADA......IL VEUT NOUS FAIRE OUBLIER LA GESTION CATASTROPHE DU PAYS PAR LE P D S....... VOLS DE PLUSIEURS MILLIARDS...... QU IL LA FERME UN PEU.... IL NOUS FATIGUE...IL EST TEMPS DE DISSOUDRE LE P D S QU ON EN PARLE PLUS....
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    Esrigne Bethio Bou Ndaw

    En Octobre, 2012 (19:00 PM)
    modou diagne fada yow ya sof way tu n es qu un petit bilakoro morveux si tu ne fais pas attention je vais devoir te casser la gueule tu petes trop les plombs espece de gougnafie
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    Auteur

    Copa

    En Octobre, 2012 (21:12 PM)
    Fada oublie kil a gaspié son budget en trois mois. c'est un mediocre ambitieux qui a bcp de choses à se reprocher c'est pourquoi il gueule autant. il n'est pas blanche comme neige. il est illiardaire en moins de 5 annees de travail. ils doivent laisser ce gouvernement travailler: SURTOUT EFFACER LES DEGATS HERITES DE WADE ET SES COMPAGNONS, ENSUITE REDONNER LA CONFIANCE AUX INVESTISSEURS ET RELANCER SECTEUR PAR SECTEUR.

    COMMENT DIMINUER LES DENREES DE PREMIERE NECESSITES, S'IL FAUT FAIRE FACE AUX MULTIPLES ET INUTILES DEPENSES QUE NOUS A LAISSE CE VIEUX BANDIT: WADE. IL EST NECESSAIRE D'ASSAINIR D'ABORD ET CELA N'EST PAS FACILE. MACKY DOIT COMMENCER A ENVOYER EN PRISON POUR RECCUPERER LES MILLIARDS QUI SONT EN SOUFFRANCE DANS LES COFFRES DANS LES MAISONS CONTRUITES DE MANIERE HYPOCRITE A TOUBA ET CELA PLOMBE NOTRE ECONOMIE ET ASPHEXSIE LA CROISSANCE. VIVE LE SENEGAL.
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    Yay Dof

    En Octobre, 2012 (09:23 AM)
    copa yay dof ! Ce que tu viens de dire tu l'a lu dans un rapport? oubien tu ne fais que répéter comme un perroquet ?
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    Laye

    En Octobre, 2012 (07:26 AM)
    Pour parler de questions sérieuses Fada doit d'abord commencer par être sérieux et crédible lui même
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