Réunies autour d'un collectif, des organisations de la société civile ont appelé le gouvernement à surseoir à l'examen du projet de loi portant sur le parrainage. Ce, compte tenu du climat délétère, accentué par une sorte de radicalisation sur des positions entre la mouvance présidentielle et les partis de l'opposition.
Il-t-est envisageable que le texte sur le parrainage soit retiré ? Réponse du ministre de la Justice : "Ce n'est pas envisagé pour l'instant sauf si le président de la République voudrait changer d'avis".
"Il y a eu concertation sur ce parrainage au niveau de la commission de réforme du code électoral, après les travaux de la commission de réforme du Code électoral. Le président de la République a reçu les acteurs de la concertation. Ils ont dit voici les modalités, il a dit je vais procéder à l'arbitrage notamment sur le pourcentage. Mais le principe du parrainage, ce n'est pas le président de la République qui l'a décidé au final. Le principe a été retenu par les travaux de concertations sur le Code électoral. Maintenant, je pense que les gens peuvent encore être ouverts sur les modalités, sur comment sécuriser le processus, sur comment rassurer tout le monde…", motive Ismaïla Madior Fall, invité du "Grand Jury" de la Rfm.
20 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2018 (12:31 PM)Moussa
En Avril, 2018 (12:32 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:45 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:47 PM)Africain Dépité
En Avril, 2018 (12:51 PM)Ensuite, si une personne, dans un but de sabotage, parraine plusieurs candidats, les fera t-elle éliminer par ce seul fait? Macky sall lui-même peut être victime de cela! quelqu'un peut vouloir saboter sa candidature et parrainer un autre candidat, après avoir parrainé macky!Le conseil constitutionnel aura t-il le courage d'éliminer macky dans la course? Quels moyens l'opposition aura t-elle de contrôler que la candidature de macky souffre d'un vice, le cas échéant?
La voie de recours dont parle le ministre sera portée devant qui?
Le ministre dit qu'il y'a un système informatique qui sera mis à la disposition du conseil constitutionnel pour le décompte des signatures! quel sera la fiabilité de ce système? Là où des juges doivent faire un décompte, ils se fient à une machine, à un syst_me informatique installé par d'autres personnes et mis à leur disposition par le pouvoir exécutif dont le chef est un candidat...
Anonyme
En Avril, 2018 (13:19 PM)Diine
En Avril, 2018 (13:20 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (13:44 PM)Tous les voleurs ont transhume.
Sénégal pays de corruption
Anonyme
En Avril, 2018 (13:46 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (13:50 PM)ET NON DES FARFELUS EN MANQUE DE NOTORIETÉ QUI VIENDRAIT POLUER L'ESPACE AUDIOVISUEL, SANS AUCUNE REPRESENTATIVITÉ
Anonyme
En Avril, 2018 (13:50 PM)ET NON DES FARFELUS EN MANQUE DE NOTORIETÉ QUI VIENDRAIT POLUER L'ESPACE AUDIOVISUEL, SANS AUCUNE REPRESENTATIVITÉ
Pape
En Avril, 2018 (14:50 PM)Pourquoi craindre des candidatures nombreuses alors que les candidats potentiels , par vos actes, seront ineligibles (Karim, Khalifa) sans oublier que plus de la moitié des candidats de 2012 ne le seront pas en 2019 (Tanor, Niasse, Ibrahima Fall, Djibril Ngom, Doudou Ndoye, Diouma Dieng Diakhaté, Cheikh Tidiane Gadio etc.)?
Anonyme
En Avril, 2018 (15:18 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (15:34 PM)Diine
En Avril, 2018 (17:09 PM)Cisse Ousmane
En Avril, 2018 (17:44 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (19:04 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (19:37 PM)Nous allons au devant de situations bordéliques comme celle des législatives2017.
Je propose donc le statut quo ou même relever la caution du taux d'inflation, soit à peu près 10 à 12 millions pour la présidentielle en attendant de murir le projet complet avec une commission qui va travailler sans la pression des élections suivantes.
Il faut savoir travailler à moyen terme en politique.
Macky ! les manifs n'arrangent jamais le parti au pouvoir. Il y aura des bavures qui vont souder les opposants si tu t'accroche au projet
Anonyme
En Avril, 2018 (08:32 AM)^^^^^__-_-Le premier couteau de Maky est la justice derrière laquelle il s’abrite comme Bouki l’hyène dans une peau de chèvre demandant au girafon ndjamala de répondre à sa mère pour le décapiter. Karim et khalifa sont victimes de cette justice manipulée de marionnettes et autres khousmaniappes. Le parrainage, réforme électoral foncièrement déconsolidante, assimilable à un coup d’Etat, est le second couteau de Maquis pour sabrer un candidat qu’il n’ose pas affronter démocratiquement. Jamais dans l’histoire politique du Sénégal le parrainage n’a été systématique. Il n’était valable que pour les candidats indépendants. En France le parrainage se fait par les élus. Tous les prétextes sont bons pour invalider une candidature gênante : erreurs de bonne ou de mauvaise foi sur les infos concernant l’électeur, nom de l’électeur retrouvé sur plusieurs listes, etc.
Et puis à quoi sert la caution si ce n’est pour rembourser le frais occasionnés par les candidatures fantoches ou sans illusion ? Ces dernières sont plus honnêtes, loyales et jouent franc jeu. Les partis altoppé, yobalema, pour mieux brouter dans les prairies du maquis, trichent, s’abritent derrière des coalitions et n’osent se présenter à aucune élection : PS, LDMPT, PIT, AFP, etc. Ils sucent le sang du contribuable avec les fonds politiques mensuellement versés et les postes politiques offerts sur un plateau d’argent. Un part politique a pour vocation première de conquérir le suffrage des électeurs. Que dire des candidats financés par Maky pour créer une illusion de partis d’opposition passant à table et recevant des dessous de table : Farba Senghor, Modou Diagne Fada, Aida Mbodj, Thierno, Bocoum, Talla Sylla, Abdoulaye Baldé, Me Babou, etc.
Haro sur les partis et mouvements qui opèrent en eaux troubles, ne demanderont pas à être parrainés, n’affronteront jamais le suffrage des électeurs, mais vont chercher le parapluie d’un leader fort pour recevoir un retour sur investissement plus tard !
Pour ménager le budget, il n’y a pas mieux que le bulletin unique. Le système du bulletin par candidat augmente les frais d’impression, permet de saboter les bulletins des adversaires en jouant sur les logos, ressemblances, couleurs et photos à assombrir, ralentit les opérations électorales. Lors des législatives de 2017, le vote a démarré à 18 h à Touba où il n’y avait pas, par extraordinaire, les bulletins de Wade ; ainsi 100 mille personnes n’ont pu voter à Touba, deuxième ville du Sénégal et bastion du PDS, distant de 200 km, parce que Maky l’a voulu ainsi. Rien à signaler au Fouta avec des distances frôlant les 900 km.
Les candidats dits fantoches ont le mérite d’éclaircir le jeu politique par leur courage, leur honnêteté. Ils auront pris le risque de perdre la caution versée. Des entrepreneurs politiques qui n’ont versé aucun kopeck, attendent la moisson pour récolter sans effort.^^^_-_-
Anonyme
En Avril, 2018 (15:50 PM)Participer à la Discussion