Ce dimanche, il revient sur ces revirements d'une toute autre manière dans les colonnes du JDD. "À la fin, il n'y a rien de magnanime dans cette histoire. On joue jusqu'au bout, on l'humilie, on l'isole, le tout pour finir par une solution de compromis [...] C'est devenu le cas Valls", dit-il, poursuivant: "Après les trois jours que j'ai connus, d'autres auraient envie de jeter l'éponge, insiste-t-il. On en a parlé avec Anne [Gravoin, son épouse]. De manière immodeste, je pense qu'on a besoin de moi."
Manuel Valls se livre ensuite à une analyse de la personnalité du nouveau président en comparaison de celle de François Hollande: "Hollande est méchant, mais dans un cadre. Macron, lui, est méchant, mais il n'a pas de codes donc pas de limites."
S'il salue la "gestuelle du Louvre" de la soirée électorale de dimanche dernier, l'ancien socialiste pointe des divergences avec le nouveau président - leur "vrai désaccord" sur les questions d'identité et de laïcité. "Il n'aura pas d'autre choix que de se confronter à la réalité du terrorisme et à la montée de l'islamisme politique", lâche-t-il.
8 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2017 (19:05 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (19:05 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (19:05 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (20:15 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (21:05 PM)Anonyme Modou
En Mai, 2017 (23:03 PM)pour le cas de walls c'est à l'âge de 19 ans qu' il a obtenu la nationalité française...depuis il a fermé la porte...ça date mes amis. mais à son corps défendant il dit en plein marché d'Evry même en off ce qu' il pense..
ce n'est pas le cas de tout le monde...sacré walls...même Macron lui a fermé la porte...méchamment dit il...arroseur arrosé...
Anonyme
En Mai, 2017 (23:53 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (06:39 AM)Participer à la Discussion