La dernière fois que cette Ong avait fait parler d'elle, c'était au lendemain de la publication de son fameux rapport de 98 pages, "Ce n'est pas normal : Exploitation, harcèlement et abus dans des écoles secondaires au Sénégal", qui avait suscité de très vives réactions.
Quand on reparle de ladite organisation c'est parce que, révèle Le Soleil, Lauren Seibert, chercheuse adjointe auprès de la Division Afrique de Human Rights Watch, déplore le fait que "la mendicité et la maltraitance des talibés soient absentes de l'agenda des candidats".
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