Dans le cadre du projet «Médias et bonne gouvernance», le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti) a organisé hier, dans ses locaux, une rencontre intitulée : «Les élections locales du 29 juin : enjeux et perspectives». Selon El hadj Omar Diop, professeur à la Faculté des sciences juridiques et politiques, la prolifération des listes de candidature aux élections locales du 29 juin s’explique parce qu’il y a crise dans les partis politiques (financement, fonctionnement, indiscipline, représentation etc.). «On constate également une crise de confiance entre gouvernants et gouvernés. Il y a une prolifération des candidatures aux élections locales», constate-t-il.
D’après M. Niang, la réforme a été votée en procédure d’urgence. «Dans l’Acte 3 de la décentralisation, on a maintenu les neuf domaines de compétences. Il n’y a pas de changement dans les limites territoriales. Nos collectivités locales ont besoin de compétences pour booster le développement local. Et, si vous avez de bons élus, vous pouvez capter des financements partout», confie-t-il.
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En Juin, 2014 (15:51 PM)Participer à la Discussion