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Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

[ Flash ] Samuel Sarr Premier Ministre ?

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[ Flash ] Samuel Sarr Premier Ministre ?

Samuel Sarr Pm ?

Le Ministre de l'Energie serait-t-il en train de revêtir les habits de second de Wade en puissance? C'est-à-dire, numéro 2 du Pds, ou tout simplement futur Premier ministre. Tout porte à le croire, vu la manière dont notre Gorgui national lui a tressé des lauriers ce mercredi à Touba. Il lui a tellement jeté des fleurs que ndeysaan, il fallait le voir tel un enfant de 07 ans, Samuel Sarr, afficher de larges sourires, et saluer ses affidés à gauche et à droite. Exactement, le  pape du sopi a dit ceci, en s'adressant à l'assistance, «je remercie le ministre de l'Energie, qui sait m'écouter, qui sait me comprendre, et sait également réaliser ce que je lui demande avec compétence et engagement ». Sans équivoque, non? Surtout quand on entend que le siège de Aguibou est vacillant. A suivre!!! 
   
Wade /Béthio

Wade a encore répété sa fameuse phrase, comme pour narguer le guide des thiantacounes. Ce mercredi, dans son discours en wolof, il a cité une confidence qu'il avait faite à feu Serigne Saliou. "Tu n'auras plus aucun autre talibé de ma trempe", a dit Gorgui Ablaye. Avant d'ajouter, "je ferai à Touba des réalisations que nul autre ne fera, ceux qui viendront après verront que j'aurai tout réalisé ici". Thiey liii 
   
Laye promesses

Poursuivant sur le registre des réalisations, Wade a aussi affirmé que toutes les promesses qu'il avait faites à l'occasion de la campagne électorale ont été réalisées entièrement. "Tout ce que j'avais promis, je l'ai réalisé", a-t-il dit. Non sans promettre davantage."Et je ferai plus dans les quatre années à venir, mieux que j'en ai fait en huit ans de pouvoir". Le peuple appréciera…

Laye promesses (bis)

« Wade-Promesses », s’est encore signalé ce mercredi à Touba. Vous savez ce qu'il a fait gober aux habitants : l a création d'un lac artificiel dans la ville sainte. "Nous allons apporter de l'eau à Touba, comme s'il s'agissait d'un fleuve", Wade dixit, en référence, dit-t-il, à un poème de Serigne Touba, cité par lui même en français (Svp) qui dirait qu'à Touba coulerait de l'eau. Et pendant ce temps, pourtant le choléra fait toujours des victimes, à cause de la qualité de l'eau de ses forages qui est douteuse. Egalement, pendant les Magal, l'eau n'est jamais disponible en quantité suffisante. D’ailleurs, où est le Canal du Baol ? 
   
Mobilisation

Terminons avec la visite de Wade, pour dire que les deux dames de fer du PDS, à savoir Aminata Tall et Aida Mbodji, ont été zappés dans les remerciements par la "constante libérale". Pourtant, elles figuraient aux premières loges, et avaient également mobilisé leurs militants ; surtout la première nommée. Abdoulaye Babou lui, a été tout simplement absent des préparatifs et de l'accueil du Président. Pourtant, c'est Mbacké qui serait sa base politique. Affair bou graww!!! 
   
Laye Courant

La construction du poste électrique dont la plaque a été dévoilée ce mercredi par le président Wade vise selon lui à relier la capitale du Tidianisme, Tivaouane à la capitale du Mouridisme, Touba. Ceci n'est fortuit, dira-t-il. C'est simplement pour montrer à tout le monde qu'il est temps de dépasser les problèmes confrériques au Sénégal. Le monde à l'envers? Qui était surnommé il y a quelques années T.T.T (Touba-Touki -Télé)... 
   
Ndiawar Touré

On aura tout vu au pays des scandales. Ndiawar qui assurait hier la présidence à l’Assemblée nationale, a voulu arrêter Me Ndèye Fatou Touré du mouvement Tekki, lorsque cette dernière a commencé de la position de son mouvement par rapport la santé et à l’assainissement. L’avocate bou baré kham kham (comme disait le député Ndèye Guèye Cissé) a considéré cet acte de lui interdire de parler de son mouvement à l’Assemblée nationale « d’inélégant et d’inconvenant ». Après, d’autres députés du camp libéral se sont acharnés sur l’amie de Mamadou Lamine Diallo. Ne pouvant plus supporter cet acharnement, Me Ndèye Fatou Touré rétorque au député Fatou Youssouf Aïdara, « yow monoulo ma bayi (colles-moi la paix), je n’entrerai jamais dans ces caniveaux ». Cey Sénégal !
   
Cdj

Le conseil départemental de la jeunesse de Pikine continue encore de râler. A 72 heures de la venue de Wade Mënn Lëpp dans la banlieue, ces jeunesses disent ne pas être d'accord sur la méthode préconisée pour l'organisation du forum de l'emploi des jeunes de la banlieue. Ils ont cloué au pilori, lors de leur point de presse tenu mardi, ceux qu'ils qualifient d'illégitimes pour parler au nom de la jeunesse. Ils croient dur comme fer qu'en tant qu'organisation faîtière, c'est le Cdj qui doit porter l'initiative de l'organisation d'un tel forum. Mais, avertissent ces jeunes, "nous nous ferons entendre, si on nous associe à ce forum, nous sommes prêts à le chapeauter ; dans le cas contraire, nous prendrons nos responsabilités et nous nous ferons entendre ».
   
Forum 

D u côté des porteurs du forum banlieue Avenirs, toutes les dispositions sont prises pour un bon déroulement de l'évènement. Pour Amadou Sy, son coordonnateur, c'est parce qu'ils sont de la banlieue qu'ils veulent porter haut les préoccupations des jeunes de la banlieue. N'allez pas lui demander la solution "aux malheurs des jeunes" de la banlieue, sa réponse sonne nette. "C'est parce que nous voulons avoir la solution la meilleure que nous organisons ce forum, pour qu'y jaillissent les solutions." Mais, il reste convaincu qu'on ne doit plus assister aux flux matinaux des jeunes de la banlieue vers le centre ville, il faut créer les conditions de leur emploi en banlieue. Pour les futurs chantiers qui vont voir le jour, la priorité est aux jeunes de la banlieue, pour ce faire, il est constitué un corps de 50.000 volontaires. Tous doivent assister les différents domaines comme la santé, la sécurité. Ces jeunes sont convaincus qu'on peut bien servir sa cité, en n’étant pas politicien. Sacré Boy Sy!  
   
Grève

Les étudiants de l’UGB de Sanar sont en mouvement de grève. Ils ont décrété un mot d’ordre de 48 heures. Et pire, ils mangent sans donner de tickets ; manaam, c’est du  «  gnamou mbaam », pour reprendre le jargon des étudiants. Tout est parti des dettes contractées par le CROUS à l’endroit  des repreneurs des restaurants. L’UGB ne peut plus payer ses créanciers, à cause du déficit budgétaire évalué à plus d’un milliard de nos francs. Et du coup, seul un restaurant sur trois a ouvert ses portes. Ainsi, tous les étudiants se bousculent à l’unique restaurant causant des désagréments énormes. Pour attirer l’attention des autorités académiques et sociales de Sanar, les étudiants ont décidé de ne pas aller aux amphithéâtres, et de ne plus payer le ticket de restauration. Ils comptent durcir le ton, si rien n’est fait pour améliorer la situation, et vont tenir ce matin une assemblée générale. 
   
Les travailleurs licenciés…

Dans un communiqué, la section Synpics de Canal Info revient de long en large sur l’épisode dit du licenciement « abusif » de plusieurs journalistes et techniciens. Revenant sur les faits, ils diront « le samedi 1er novembre 2008, Vieux Aidara a eu l’audace de « renvoyer » dans la plus grande illégalité une bonne partie du personnel de Canal Info News ». A ce propos, ils défendront sans détours, que la section Synpics de Canal Info News  dénonce fortement cette bévue car étant nulle et non avenue. Contestant un tel acte, pour eux, il reste et demeure incontestable que les contrats de prestations de services, sur lesquels Vieux Aidara s’est basé pour effectuer ces licenciements abusifs, ont été déclarés « illégaux » depuis Mathusalem par l’Inspection du Travail de Dakar. 
   
…de Canal Info disent leurs quatre

Dare-dare, ils réclament de Vieux Aïdara, le paiement immédiat des 6 mois d’arriérés de salaires, aussi bien pour les travailleurs restés à la chaîne que ceux qui sont licenciés et l ’établissement de contrat en bonne et due forme comme ordonné par la mise en demeure  de l’inspecteur du Travail, en date du 16 avril 2008. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, comme le note le communiqué, ils veulent également, l’établissement de bulletins de salaires car, les travailleurs déchargent  sur un bout de papier ou sur une liste qu’il garde par devers lui. 
   
vérités à Vieux Aïdara

Par ailleurs, diront les journalistes et techniciens, que Canal Info News, depuis son démarrage, nage dans une instabilité permanente et risque de sombrer si la direction n’est pas restructurée, réorganisée et réorientée. Pour ce faire, les travailleurs de Canal Info News, à travers leur section syndicale, saisissent à témoin qu’à la date du 12 novembre, les salaires du mois d’octobre ne sont toujours pas payés. La section Canal Info, en accord avec le Bureau exécutif national (Ben) du Synpics, reste vigilante, déterminante et compte user de tous les moyens légaux, possibles et imaginables, pour sauver leur outil de travail qui en pleine déperdition. Ils entendent poursuivre leur combat, comme déclaré récemment face à ce qu’ils appellent véritable injustice. 
   
Marche

L’Inspection d’Académie de Tambacounda a célébré mardi la 3ème édition de la Journée nationale de l’éducation marquée, notamment, par une marche des élèves et des maîtres à travers les principales artères de la ville. Le thème de la journée portait sur « violences faites aux filles, obstacle à leur maintien à l’école ». La marche a permis aux autorités académiques et partenaires de l’école d’exprimer leurs préoccupations à travers des pancartes sur lesquelles ont peut lire : « L’éducation des filles, un droit », « Aller, rester et réussir à l’école », « Oui à l’éducation massive des filles », « Non aux grossesses à l’école, protégez la fille », « Protégez la jeune fille, un acte citoyen salutaire », « Mobilisons nous contre les violences faites aux jeunes filles », «Une jeune fille éduquée, des générations sauvées ».

Marche (bis)

La situation des filles à l’école est une préoccupation pour l’académie de Tambacounda qui a déployé des efforts dans ce sens, a déclaré l’Inspecteur d’académie adjoint, Alioune Ndiaye, par ailleurs secrétaire exécutif du cadre de concertation pour l’éducation des filles. Il a souligné que pour l’accès, l’indice de parité est de 3 points en faveur des filles. Par contre, il affirme que le taux d’achèvement, qui est de 47 points contre 55 au niveau national, est lié aux violences faites aux filles. Pour M. Ndiaye, les violences faites filles se manifestent sous différentes formes (physiques, verbales, etc.). La journée a été mise à profit pour déceler tous les obstacles au maintien des filles à l’école.  



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