La sénatrice Sokhna Dieng Mbacké a estimé hier qu’un président de la République doit être protégé par les membres de son gouvernement, de son parti mais aussi par la presse et non l’exposer à la vindicte.
L’affaire Segura continue toujours d’alimenter des réactions. Et hier c’est l’ancienne directrice de la Rts, qui est montée au créneau pour appeler à une sainte alliance afin de protéger le président de la République. Mais à en croire la sénatrice c’est d’abord les membres du gouvernement qui doivent être les fusibles du président de la République. « Les membres du gouvernement doivent protéger le président de la République au lieu de l’exposer », a-t-elle dit. Il y a ensuite indique Sokhna Dieng Mbacké les hommes politiques c’est-à-dire les responsables de son parti et de la mouvance présidentielle. En fin souligne la sénatrice il y a la presse. « Je pense que la presse doit faire une sainte alliance pour protéger les institutions de la République et ne pas les jeter à pâture à la vindicte populaire ou à la vindicte de la communauté internationale », a-t-elle précisé.
Il faut rappeler que Sokhna Dieng Mbacké prenait part à la session inaugurale de « l’Espace libéral » organisée par la Coordination nationale des cadres libéraux (CNCL) sous le thème ‘’La Communication gouvernementale : quelle contribution pour un parti au pouvoir ? ».
0 Commentaires
Participer à la Discussion