Agitée depuis quelque temps, la succession de Me Abdoulaye Wade à la tête du Parti démocratique sénégalais (PDS) cristallise toutes les attentions. Un prétexte saisi par EnQuête pour présenter le profil des potentiels candidats. Leurs atouts et faiblesses.
OUMAR SARR
En assurant l’intérim de Wade, Oumar Sarr, coordonnateur du PDS, a fini par nourrir l’ambition d’être confirmé au poste de secrétaire général national. Une ambition qu’il peut bien justifier par sa représentativité au sein de son parti. Car, le maire de Dagana est l’un des rares responsables libéraux à remporter sans discontinuer les élections dans son fief depuis 1996. Son long compagnonnage avec le Pape du Sopi pourrait constituer un ''atout'', même si ses relations avec ce dernier ne seraient plus ce qu’elles étaient.
Dans son édition du 23 décembre, EnQuête, se basant sur des sources dignes de foi, révélait que l'actuel coordonnateur du Parti démocratique sénégalais (Pds), Oumar Sarr, a été au centre du mini Comité directeur présidé par le Pape du Sopi, sur les bords de la Lagune Ebrié. On le soupçonne de collusion avec...l'adversaire à travers la passerelle... trotskiste. Et le fait qu'il ait défendu l'idée de retrouvailles dans le contexte actuel et qu'il soit en connexion avec Mahmout Saleh, directeur de cabinet politique du Président Macky Sall, fait qu’Oumar Sarr est devenu une sorte de talon d'Achille pour le Pds. Ce n’est pas tout. Car des militants reprochent à Oumar Sarr son ''manque de leadership et de charisme'' qui, selon un membre du Comité directeur, risque de ''l’exclure d’office'' de la prochaine compétition.
MODOU DIAGNE FADA
Il fait partie des candidats les plus sérieux à la succession de Me Abdoulaye Wade à la tête du Parti démocratique sénégalais. Modou Diagne Fada, membre du Comité directeur, nourrit l’ambition de driver le PDS, même s’il cache pour l’instant son jeu. ''Chaque chose en son temps'', disait-il dans une interview accordée à EnQuête. ''Aujourd’hui, nous sommes dans une phase de préparation des élections locales, de réorganisation du parti. Il ne me semble pas opportun d’annoncer ma candidature au poste de secrétaire général national. Je risque de jeter la confusion dans les rangs du parti'', défendait l'ancien patron de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (UJTL), qui jouit d’une bonne réputation auprès de ses ''frères''.
Sa ''maturité'' et son ''sens de la mesure'' lui valent la confiance des libéraux qui l'ont porté à la tête du groupe parlementaire les Libéraux et démocrates. Un membre du Comité directeur étale les atouts de l'enfant de Darou- Mouhty : ''Il a toutes les qualités requises pour diriger le PDS. Il a hérité du génie politique de Wade''. Doté d’une solide base politique, Fada peut compter sur les jeunes de son parti avec qui il dit avoir ''les meilleures relations''. Toutefois, Fada gagnerait à être plus humble, car certains libéraux lui reprochent ''ses ambitions démesurées''. Né en 1969, Fada a occupé nombre de fonctions sous le régime de Wade, dont celle de ministre de la Jeunesse (2000), de ministre de l’Environnement (2001), de ministre de la Santé (2009).
KARIM WADE
Même derrière les barreaux, le nom de Karim Wade occupe le débat au sein du PDS. Le fils de l’ancien président de la République, potentiel candidat à la course pour le contrôle du PDS, est très épié. D’autant qu’on prête à son père l’intention de lui ''léguer'' le parti. Très critiqué, par le passé, du fait de son ''arrogance'', Karim jouit de plus en plus de la sympathie des militants libéraux qui voit en lui ''le prochain président''. La raison ? ''Beaucoup de militants qui aiment Wade s’identifient à travers Karim'', confient des responsables libéraux. Mais l’ascension de Karim dans le PDS - s’il sort bien sûr de ses ennuis judiciaires - risque d’être freinée, selon nos interlocuteurs, par les ''dinosaures'' du parti pour qui ''Karim est le dernier à venir'' ; donc il n’a pas plus de mérite qu’eux. Nos sources conseillent par ailleurs au fils de l’ancien président de la République ''de revoir son schéma'' s’il veut conquérir le PDS, en ''se débarrassant de la Génération du Concret'' qui ''a été une plaie dans le parti''.
OUSMANE NGOM
Même s’il ne participe plus depuis plusieurs mois aux activités de son parti - on ne sait pour quelle raison - Ousmane Ngom pourrait bien se positionner dans la course pour la succession de Wade. Cité dans le cadre de la traque des biens mal acquis, l’ancien ministre de l’Intérieur est qualifié de ''bête politique'' dotée d’un ''talent oratoire'' qui peut bien surprendre, selon des responsables libéraux. D’autres par contre pensent que Me Ousmane Ngom n’a aucune chance de passer à cause de son passé avec Me Wade. ''Certains n’arrivent pas à digérer le fait qu’il ait trahi Wade'', dit- on. Aussi, le fait que l’Etat lui ait permis de quitter le territoire, au moment où d’autres mis en cause en sont privés, fait penser aux militants que Ousmane Ngom a passé ''un deal avec Macky''. Ce qui peut constituer pour lui un handicap.
SOULEYMANE NDÉNÉ NDIAYE
S’il y a un baron de l’ancien régime qu’on a du mal à situer, c’est sans doute Souleymane Ndéné Ndiaye. Car, depuis la chute du régime libéral, le dernier Premier ministre de Wade semble faire dans le grand écart. Même s’il a pris ses distances, Ndéné se réclame toujours du PDS dont il est le responsable à Guinguineo. Ce qui lui permet légitimement de se jeter dans la course pour l’après Wade. Mais sans de réelles chances, selon un membre du Comité directeur, d’en sortir victorieux, du fait de sa proximité avec le nouveau régime. ''Ses relations avec Macky Sall sont suspectes'', dit-on. ''Il ne vient plus à nos rencontres ; encore moins manifester son soutien à l’endroit des frères détenus en prison''. D’autres voient en lui un ''looser'' qui a ''conduit le candidat Wade à l’échafaud’’ en tant que Directeur de campagne à la présidentielle de 2012.
MADICKE NIANG
''Je suis un rassembleur.'' En réussissant à éteindre le feu lors du Comité directeur extraordinaire du PDS provoqué par les déclarations controversées d’Oumar Sarr sur l’éventuelle participation du parti dans un gouvernement d’union nationale, Me Madické Niang fait figure de sage. Une posture que l’ancien ministre des Affaires étrangères pourrait mettre à profit pour prétendre à la succession de Wade. Mais la sagesse toute seule ne suffisant pas pour réussir, ''Me Madické Niang a besoin de base politique ; et sans cela, il est difficile de diriger le PDS'', estime un cadre libéral. ''Il est aussi très limité sur le plan intellectuel. Sa seule force, c’est son réseau dans le milieu maraboutique.''
EnQuête
En assurant l’intérim de Wade, Oumar Sarr, coordonnateur du PDS, a fini par nourrir l’ambition d’être confirmé au poste de secrétaire général national. Une ambition qu’il peut bien justifier par sa représentativité au sein de son parti. Car, le maire de Dagana est l’un des rares responsables libéraux à remporter sans discontinuer les élections dans son fief depuis 1996. Son long compagnonnage avec le Pape du Sopi pourrait constituer un ''atout'', même si ses relations avec ce dernier ne seraient plus ce qu’elles étaient.
Dans son édition du 23 décembre, EnQuête, se basant sur des sources dignes de foi, révélait que l'actuel coordonnateur du Parti démocratique sénégalais (Pds), Oumar Sarr, a été au centre du mini Comité directeur présidé par le Pape du Sopi, sur les bords de la Lagune Ebrié. On le soupçonne de collusion avec...l'adversaire à travers la passerelle... trotskiste. Et le fait qu'il ait défendu l'idée de retrouvailles dans le contexte actuel et qu'il soit en connexion avec Mahmout Saleh, directeur de cabinet politique du Président Macky Sall, fait qu’Oumar Sarr est devenu une sorte de talon d'Achille pour le Pds. Ce n’est pas tout. Car des militants reprochent à Oumar Sarr son ''manque de leadership et de charisme'' qui, selon un membre du Comité directeur, risque de ''l’exclure d’office'' de la prochaine compétition.
MODOU DIAGNE FADA
Il fait partie des candidats les plus sérieux à la succession de Me Abdoulaye Wade à la tête du Parti démocratique sénégalais. Modou Diagne Fada, membre du Comité directeur, nourrit l’ambition de driver le PDS, même s’il cache pour l’instant son jeu. ''Chaque chose en son temps'', disait-il dans une interview accordée à EnQuête. ''Aujourd’hui, nous sommes dans une phase de préparation des élections locales, de réorganisation du parti. Il ne me semble pas opportun d’annoncer ma candidature au poste de secrétaire général national. Je risque de jeter la confusion dans les rangs du parti'', défendait l'ancien patron de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (UJTL), qui jouit d’une bonne réputation auprès de ses ''frères''.
Sa ''maturité'' et son ''sens de la mesure'' lui valent la confiance des libéraux qui l'ont porté à la tête du groupe parlementaire les Libéraux et démocrates. Un membre du Comité directeur étale les atouts de l'enfant de Darou- Mouhty : ''Il a toutes les qualités requises pour diriger le PDS. Il a hérité du génie politique de Wade''. Doté d’une solide base politique, Fada peut compter sur les jeunes de son parti avec qui il dit avoir ''les meilleures relations''. Toutefois, Fada gagnerait à être plus humble, car certains libéraux lui reprochent ''ses ambitions démesurées''. Né en 1969, Fada a occupé nombre de fonctions sous le régime de Wade, dont celle de ministre de la Jeunesse (2000), de ministre de l’Environnement (2001), de ministre de la Santé (2009).
KARIM WADE
Même derrière les barreaux, le nom de Karim Wade occupe le débat au sein du PDS. Le fils de l’ancien président de la République, potentiel candidat à la course pour le contrôle du PDS, est très épié. D’autant qu’on prête à son père l’intention de lui ''léguer'' le parti. Très critiqué, par le passé, du fait de son ''arrogance'', Karim jouit de plus en plus de la sympathie des militants libéraux qui voit en lui ''le prochain président''. La raison ? ''Beaucoup de militants qui aiment Wade s’identifient à travers Karim'', confient des responsables libéraux. Mais l’ascension de Karim dans le PDS - s’il sort bien sûr de ses ennuis judiciaires - risque d’être freinée, selon nos interlocuteurs, par les ''dinosaures'' du parti pour qui ''Karim est le dernier à venir'' ; donc il n’a pas plus de mérite qu’eux. Nos sources conseillent par ailleurs au fils de l’ancien président de la République ''de revoir son schéma'' s’il veut conquérir le PDS, en ''se débarrassant de la Génération du Concret'' qui ''a été une plaie dans le parti''.
OUSMANE NGOM
Même s’il ne participe plus depuis plusieurs mois aux activités de son parti - on ne sait pour quelle raison - Ousmane Ngom pourrait bien se positionner dans la course pour la succession de Wade. Cité dans le cadre de la traque des biens mal acquis, l’ancien ministre de l’Intérieur est qualifié de ''bête politique'' dotée d’un ''talent oratoire'' qui peut bien surprendre, selon des responsables libéraux. D’autres par contre pensent que Me Ousmane Ngom n’a aucune chance de passer à cause de son passé avec Me Wade. ''Certains n’arrivent pas à digérer le fait qu’il ait trahi Wade'', dit- on. Aussi, le fait que l’Etat lui ait permis de quitter le territoire, au moment où d’autres mis en cause en sont privés, fait penser aux militants que Ousmane Ngom a passé ''un deal avec Macky''. Ce qui peut constituer pour lui un handicap.
SOULEYMANE NDÉNÉ NDIAYE
S’il y a un baron de l’ancien régime qu’on a du mal à situer, c’est sans doute Souleymane Ndéné Ndiaye. Car, depuis la chute du régime libéral, le dernier Premier ministre de Wade semble faire dans le grand écart. Même s’il a pris ses distances, Ndéné se réclame toujours du PDS dont il est le responsable à Guinguineo. Ce qui lui permet légitimement de se jeter dans la course pour l’après Wade. Mais sans de réelles chances, selon un membre du Comité directeur, d’en sortir victorieux, du fait de sa proximité avec le nouveau régime. ''Ses relations avec Macky Sall sont suspectes'', dit-on. ''Il ne vient plus à nos rencontres ; encore moins manifester son soutien à l’endroit des frères détenus en prison''. D’autres voient en lui un ''looser'' qui a ''conduit le candidat Wade à l’échafaud’’ en tant que Directeur de campagne à la présidentielle de 2012.
MADICKE NIANG
''Je suis un rassembleur.'' En réussissant à éteindre le feu lors du Comité directeur extraordinaire du PDS provoqué par les déclarations controversées d’Oumar Sarr sur l’éventuelle participation du parti dans un gouvernement d’union nationale, Me Madické Niang fait figure de sage. Une posture que l’ancien ministre des Affaires étrangères pourrait mettre à profit pour prétendre à la succession de Wade. Mais la sagesse toute seule ne suffisant pas pour réussir, ''Me Madické Niang a besoin de base politique ; et sans cela, il est difficile de diriger le PDS'', estime un cadre libéral. ''Il est aussi très limité sur le plan intellectuel. Sa seule force, c’est son réseau dans le milieu maraboutique.''
EnQuête
21 Commentaires
Ziar
En Janvier, 2014 (11:57 AM)Parfait
En Janvier, 2014 (11:58 AM)Résultats: les investisseurs ont commencé à s’intéresser à ce pays qui "baigne" dans de l'argent. Ils ont eu confiance pour remettre leur argent entre les mains de celui qui "en a trop".
Macky arriva au pouvoir au bout d'un gros mensonge jumelé aux Feu et Sang. La vengeance en avant. La peur atroce du niveau où Wade a laissé la barre en bandoulière. La Zéro-isation était l'unique solution du joufflu. Il s'acoquina d'avec ceux qui en détiennent les outils, les patrons de presse. La solution concoctée : présenter le Sénégal comme un pays en crise, en faillite, en famine. Un pays où 2 000 milliards ont été détournés, comme dans les tiroirs du charbonnier du coin. Un pays où le président de la république battu vole même des moquettes.
Si dans un pays, le président de la république vole des moquettes, est ce qu'un autre citoyen de ce pays peut se défendre "proprement" d'être irréprochable ? Il pourra dire, peut-être, qu'il ne vole que des œufs, lui, et jamais de moquettes. Bref la politique de l'Arc en Ciel qui consiste à détruire Wade pour avoir de la place, faire descendre Wade pour avoir de la hauteur, soi-même, cette politique a eu et continuera d'avoir des conséquences que les nuls ne peuvent appréhender. Si sous Wade, les investisseurs sont venus remettre leur argent à celui dont ils pensaient qu'il "en avait assez", sous Macky ils fuient celui qui a crié sur tous les toits qu'il est fauché.
Un vieux de Khombole me disait: "Même quand on est pauvre, il ne faut pas trop se lamenter. Parce que le lamentant réduit ses potentiels de biens ("waññi wërsëk"). Parce que dans les biens de l'homme riche, on peut retrouver des biens qu'on lui a confiés et beaucoup qu'on lui a prêtés. Un voisin qui est entrain de réunir de l'argent pour un mariage qu'il prépare d'ici un an et qui vous le confie. Vous pouvez utiliser cet argent pour vos besoins en attendant la date fixée pour lui restituer son argent. De l'argent confié vous a permis de régler vos problèmes. Mais s'il vous a confié cet argent, c'est parce que vous ne vous êtes pas lamenter devant lui. Si à tout bout de champ vous n'arrêtiez de répéter que vous êtes fauchés, que toutes vos caisses sont vides, que toute la famille est affamée, le voisin ne vous confiera pas un rond".
Si vous avez compris, vous avez compris la différence de la stratégie de Wade d'avec la haine de Macky. L'un ment que les caisses sont pleines pour attirer les investisseurs, l'autre ment que les caisses sont vides pour faire fuir les investisseurs.
L'Arc en Ciel n'est composé que de nains, nuls et haineux qui déroulent un plan de vengeance au détriment du Sénégal.
Wifipartout.com
En Janvier, 2014 (12:00 PM)Mou
En Janvier, 2014 (12:00 PM)Keks
En Janvier, 2014 (12:14 PM)MOI A MON PRESIDENT MACKY SALL
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.
Deroin
En Janvier, 2014 (12:14 PM)Boy Baol Baol
En Janvier, 2014 (12:21 PM)Deug
En Janvier, 2014 (12:35 PM)Seen Affier
En Janvier, 2014 (12:38 PM)Mar
En Janvier, 2014 (12:44 PM)Dalanda
En Janvier, 2014 (13:22 PM)NdigËl
En Janvier, 2014 (14:11 PM)Rimka, C'est Tout
En Janvier, 2014 (15:03 PM)Point/barre!!!
Bouki Sine
En Janvier, 2014 (16:12 PM)A part une dévolution monarchique, qui pour remplacer Wade à la tête du PDS ?
On se rend compte ici de la situation catastrophique dans laquelle se trouve ce parti "monocéphale". Aujourd'hui, ce parti ou il n'existe pas de N°2, n'a plus de tête, il est décapité ! Parce qu'à vouloir faire de la place à Karim, Wade a éliminé tous ceux qui aurait pu faire de l'ombre à son héritier, comme Idrissa Seck ou Macky Sall, les seuls aptes à diriger une structure comme le PDS.
Senegal
En Janvier, 2014 (17:21 PM)Moytoul
En Janvier, 2014 (17:58 PM)@moytoul
En Janvier, 2014 (19:17 PM)Jazz
En Janvier, 2014 (19:21 PM)Kolidado
En Janvier, 2014 (22:52 PM)et que en ce moment il les sortira pour travailler.vive karim.
Ada
En Janvier, 2014 (23:11 PM)REVEILLEZ-VOUS AVANT QI'IL NE SOIT TROP TARD .
Oops
En Janvier, 2014 (09:54 AM)Participer à la Discussion