L'Alliance pour la République (APR) était en conférence de presse pour la défense de la démocratie et la lutte contre l'injustice. Ses responsables notent que les Sénégalais sont tenaillés entre la déception et le désespoir, face au gouvernement. Des sentiments "perceptibles partout chez les jeunes, les femmes, les personnes vulnérables, les entreprises, les syndicats, la diaspora, etc.", les conférenciers.
"Le Sénégal est victime de promesses fallacieuses sous-tendues par la manipulation, l’ignorance, l’incompétence, le mensonge, l’inexpérience et la mauvaise foi. Hélas ! La montagne accoucha d’une souris, plongeant le Sénégal dans l’abîme. Ce qui nous condamne dans la souffrance et la misère. À nos autorités, je vous dis, aujourd’hui vous avez amené le Sénégal du désespoir. Le Sénégal du désespoir est celui caractérisé par des milliers de licenciements abusifs au port, au Fonsis, à la CDC, à Lonase, à l’UCG, au FERA, etc. Le Sénégal du désespoir est celui des centaines de médecins, spécialistes et cadres de haut niveau qui s’exilent vers à l’étranger faute de perspectives", indiquent les responsables "apéristes".
Ils poursuivent en indiquant que "le Sénégal du désespoir est celui des milliers de jeunes et de femmes déçus et abusés qui continuent de prendre les pirogues de la mort et les chemins périlleux du Nicaragua ; celui de milliers de jeunes qui se bousculent devant les BOAS pour aller cueillir des raisins en Espagne ; celui des milliers de jeunes conducteurs de Jakarta menacés de chômage par un état fiscal ; celui de milliers de taximen, pères de famille qui voient disparaitre par petit feu leur outil de travail ; celui des milliers de commerçants qui passent leurs journées à se tourner les pouces inquiets sur leur avenir, faute de clients ; celui des étudiants qui sont obligés de brûler des pneus pour manger".
Les affidés de Farba Ngom estiment que le tandem incapable de répondre aux attentes du peuple sénégalais agonisant cherche à museler leur plus redoutable adversaire politique, l’honorable député Farba Ngom.
Oui, cette cabale contre Farba Ngom est un règlement de compte piloté par Ousmane Sonko qui d’un ton menaçant lui avait promis la guerre. C’est la première fois dans l’histoire politico-judiciaire du monde, qu’un député élu, voit son immunité parlementaire levée, jeté à la vindicte populaire par un communiqué et convoqué sans aucun motif", protestent-ils.
Ils se donnent rendez-vous demain devant le Pool financier pour soutenir Farba Ngom et dire au monde entier qu'ils sont là.
Ce zoo de moutons a tout validé...masseuse wayayoye égale kinésithérapeute !!
buvez jusqu'à la lie ce breuvage de cafards...c'est bien mérité !!
Répondre à
il y a 6 mois
APR entre voleurs etniak Diomaye..vous devriez vous cacher le reste de vos jours après avoir mis ce pays a ganou . Vous avez raison de soutenir ce farba , car savez bien qu'il n'acceptera pas de tomber seul.Autre chose les lacrymogènes sont tjrs disponibles,prenez vos précautions
Répondre à
April y a 6 mois
L’après était un parti ou un groupe ou un gang de malfaiteurs
Répondre à Apr
Sacré apr!!! il y a 6 mois
Mais, vous de l'apr : Il faut tout vous apprendre!?!
- Pas capables de gérer un État (12 ans de catastrophes)
- Pas capables de préserver l'acquis (rester au pouvoir)
- Même pas capables de s'opposer intelligemment au pouvoir qui vous a déchus (tout un art! ...).
Répondre à Sacré apr!!!
il y a 6 mois
2 clowns
Répondre à
il y a 6 mois
Dites ce que vous voulez. Ce qui est sur c est que les Senegalaiais ne confieront plus jamais ce pays a des voleurs, des fornicateurs, des buveurs d'alcool, des franc macons. Bref tout ce qu il y a d abject.
Sonko ceci . Diomoaye Cela.
Nok baniou Yalla dimbeule niou nek fi ganaw tawaye you Senegalais.
Bole chi sen parti bo xamne nedeteko bandoum laye niroul. Xole gni di manifester pour Farba Ngom
Répondre à
Kobra il y a 6 mois
Que ce soit Macky, Diomaye ou Sonko, aucun n'échappe à la règle. Ils sont simplement présents pour eux et leurs proches. Ce pays est en constante dégradation, dirigé par de véritables prédateurs. En l'espace de dix mois, ils sont condamnés. Quoi qu'il en soit, l'inauguration d'une statue de Lat Dior et l'incarcération d'individus, c'est franchement une honte pour ce régime d'incapables où le président de la République semble servir son Premier ministre qui administre le pays. Même ses propres ministres n'ont pas le courage de lui révéler la vérité qui ne lui revient pas à Sonko. En somme, du courage au peuple sénégalais : nous avons opté pour ce gouvernement, donc nous devons accepter les répercussions. Nous n'avons encore rien observé, c'est simplement le commencement d'une meute de chacals
Répondre à Kobra
il y a 6 mois
Déception, manipulation,pays en retard ,vivons l'enfer sur terre
Répondre à
il y a 6 mois
Deception totae
Répondre à
Hjjil y a 6 mois
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
Répondre à Hjj
Hjjil y a 6 mois
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
Répondre à Hjj
Hjjil y a 6 mois
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
reply_authoril y a 6 mois
Il faut non seulement enfermer les voleurs et criminels de l'apr, mais egalement jeter les clés de leurs prisons en pleine mer du Pole Nord!
Répondre à Hjj
Anoil y a 6 mois
Vous n’avez plus droit à la parole ! Bande de pilleurs de la république.vous allez payer
Répondre à Ano
Djibson il y a 6 mois
Photo bi yaagg na khanaa ? Gars yi sew na niou fi. Leegui moom maachallah. Joufflus et ventrus, té bien soignés ( pas comme certains borom biir ak lekh de Sénégalais....)
Répondre à Djibson
Ndankarouil y a 6 mois
BIP et GIGN redoutables forces de défense ma lein fan deh.
Ma sh Allah
Répondre à Ndankarou
Ndankarouil y a 6 mois
BIP et GIGN redoutables forces de défense ma lein fan deh.
Ma sh Allah
Répondre à Ndankarou
il y a 6 mois
Ces voleurs font les fous, on récolte toujours ce qu'on a semé
Répondre à
il y a 6 mois
Ces voleurs font les fous, on récolte toujours ce qu'on a semé
Répondre à
il y a 6 mois
Accueil Afrique Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière...
Sénégal
Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Répondre à
il y a 6 mois
Il est temps que le gouvernement s’occupe de ses sales voleurs et imbeciles de l’apr
Répondre à
Nianthio il y a 6 mois
Lisez bien le texte. Il n'est écrit nulle part que sonko à raison. Pastef est tjrs dans la manipulation.
Falsification et dufferente d Irrégularité
Sonko a menti
reply_authoril y a 6 mois
Doul rek
Répondre à Nianthio
Dioufil y a 6 mois
Le monde a l envers,vous êtes sans scrupules.les sénégalais ne peuvent pas laisser impuni ce carnage financier perpétré par d ignobles individus.
Répondre à Diouf
il y a 6 mois
Il faut vraiment que Macky, la FMI et le CBEAO portent plainte contre ce gouvernement. Il est temps que sonko arrete de jouer avec la vie des sénégalais
reply_authoril y a 6 mois
Les chiens (apr) aboient, la caravane (Senegal) passe!
Répondre à
il y a 6 mois
Une grande deception ce duo. Le Sénégal va entrer dans une crise économique. Avec un seul president et des conseillers, la cour des comptes vient de sacrifier 18 millions de senegalais pour tout simplement donner raison à un ennemi du pays.
reply_authoril y a 6 mois
Le Sénégal a un seul et unique problème c’est Sonko.
Avez-vous imaginé ce pays sans lui…
reply_authoril y a 6 mois
Apprenez L'ARABE ou bien L'ANGLAIS à distance et en un temps record.
Suivi personnel, méthode douce selon votre rythme.
CONTACT e-mail : senprof2024@gmail.com
reply_authoril y a 6 mois
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reply_authoril y a 6 mois
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Et la Cour publia son rapport il y a 6 mois
Voyous d'aperistes criminels financiers ! Après la maison de fonction du Président de l'Assemblée nationale de notre Pays, ils ont osé Vendre le ... Building administratif de Mamadou Dia, le premier PM vertueux du Sénégal des années 60. Du jamais vu dans l'histoire des deniers publics détournés dans le Monde.
reply_authoril y a 6 mois
Il faut apprendre à être objectif même avec soi. Macky a fait 144 mois (12 ans), là où le duo Sonko-Diomaye n’en a fait que 10! Quels sénégalais est entre déception et désespoir? Vu, « the magnitude » ou l’étendue des dégâts que vous avec sciemment orchestrés avant de partir, prenez-vous les sénégalais pour des demeurés au point de vouloir leur faire croire qu’ils se sont trompés de choix électoral?
Khana li moye bouki bou naane tef (do mou beuye”), mann la ma sa yaye denk?
reply_authoril y a 6 mois
Les chiens (apr) aboient, la caravane (Senegal) passe!
Commentaires (25)
Souke et Siriki
Ce zoo de moutons a tout validé...masseuse wayayoye égale kinésithérapeute !!
buvez jusqu'à la lie ce breuvage de cafards...c'est bien mérité !!
APR entre voleurs etniak Diomaye..vous devriez vous cacher le reste de vos jours après avoir mis ce pays a ganou . Vous avez raison de soutenir ce farba , car savez bien qu'il n'acceptera pas de tomber seul.Autre chose les lacrymogènes sont tjrs disponibles,prenez vos précautions
L’après était un parti ou un groupe ou un gang de malfaiteurs
Mais, vous de l'apr : Il faut tout vous apprendre!?!
- Pas capables de gérer un État (12 ans de catastrophes)
- Pas capables de préserver l'acquis (rester au pouvoir)
- Même pas capables de s'opposer intelligemment au pouvoir qui vous a déchus (tout un art! ...).
2 clowns
Dites ce que vous voulez. Ce qui est sur c est que les Senegalaiais ne confieront plus jamais ce pays a des voleurs, des fornicateurs, des buveurs d'alcool, des franc macons. Bref tout ce qu il y a d abject.
Sonko ceci . Diomoaye Cela.
Nok baniou Yalla dimbeule niou nek fi ganaw tawaye you Senegalais.
Bole chi sen parti bo xamne nedeteko bandoum laye niroul. Xole gni di manifester pour Farba Ngom
Que ce soit Macky, Diomaye ou Sonko, aucun n'échappe à la règle. Ils sont simplement présents pour eux et leurs proches. Ce pays est en constante dégradation, dirigé par de véritables prédateurs. En l'espace de dix mois, ils sont condamnés. Quoi qu'il en soit, l'inauguration d'une statue de Lat Dior et l'incarcération d'individus, c'est franchement une honte pour ce régime d'incapables où le président de la République semble servir son Premier ministre qui administre le pays. Même ses propres ministres n'ont pas le courage de lui révéler la vérité qui ne lui revient pas à Sonko. En somme, du courage au peuple sénégalais : nous avons opté pour ce gouvernement, donc nous devons accepter les répercussions. Nous n'avons encore rien observé, c'est simplement le commencement d'une meute de chacals
Déception, manipulation,pays en retard ,vivons l'enfer sur terre
Deception totae
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
Tant que les voleurs sont libres, ils vont continuer à narguer les sénégalais. Faut les enfermer tous.
Il faut non seulement enfermer les voleurs et criminels de l'apr, mais egalement jeter les clés de leurs prisons en pleine mer du Pole Nord!
Vous n’avez plus droit à la parole ! Bande de pilleurs de la république.vous allez payer
Photo bi yaagg na khanaa ? Gars yi sew na niou fi. Leegui moom maachallah. Joufflus et ventrus, té bien soignés ( pas comme certains borom biir ak lekh de Sénégalais....)
BIP et GIGN redoutables forces de défense ma lein fan deh.
Ma sh Allah
BIP et GIGN redoutables forces de défense ma lein fan deh.
Ma sh Allah
Ces voleurs font les fous, on récolte toujours ce qu'on a semé
Ces voleurs font les fous, on récolte toujours ce qu'on a semé
Accueil Afrique Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière...
Sénégal
Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Il est temps que le gouvernement s’occupe de ses sales voleurs et imbeciles de l’apr
Lisez bien le texte. Il n'est écrit nulle part que sonko à raison. Pastef est tjrs dans la manipulation.
Falsification et dufferente d Irrégularité
Sonko a menti
Doul rek
Le monde a l envers,vous êtes sans scrupules.les sénégalais ne peuvent pas laisser impuni ce carnage financier perpétré par d ignobles individus.
Il faut vraiment que Macky, la FMI et le CBEAO portent plainte contre ce gouvernement. Il est temps que sonko arrete de jouer avec la vie des sénégalais
Les chiens (apr) aboient, la caravane (Senegal) passe!
Une grande deception ce duo. Le Sénégal va entrer dans une crise économique. Avec un seul president et des conseillers, la cour des comptes vient de sacrifier 18 millions de senegalais pour tout simplement donner raison à un ennemi du pays.
Le Sénégal a un seul et unique problème c’est Sonko.
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Il faut apprendre à être objectif même avec soi. Macky a fait 144 mois (12 ans), là où le duo Sonko-Diomaye n’en a fait que 10! Quels sénégalais est entre déception et désespoir? Vu, « the magnitude » ou l’étendue des dégâts que vous avec sciemment orchestrés avant de partir, prenez-vous les sénégalais pour des demeurés au point de vouloir leur faire croire qu’ils se sont trompés de choix électoral?
Khana li moye bouki bou naane tef (do mou beuye”), mann la ma sa yaye denk?
Les chiens (apr) aboient, la caravane (Senegal) passe!
ApR /
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