Le projet de loi instituant un ticket présidentiel est une avancée démocratique qui favorise un partage du pouvoir avec le Vice-président, a plaidé samedi Me Wade devant les jeunes de son parti.
Le partage des pouvoirs entre le président de la République et le
vice-président de la République qui seront élus sur un ticket à
l’élection à la magistrature suprême est un signe d’avancement
démocratique, a indiqué samedi Me Wade, lors de l'ouverture de la VI
conférence nationale de l'Union des jeunesses travaillistes et libérales
(Ujtl) du Parti démocratique sénégalais (Pds). «Nous allons lui (le
Vice-président) donner une légitimité en faisant un ticket
président-vice-président soumis au suffrage populaire, universel et ils
vont tirer leur légitimité de la volonté populaire. Ça c'est un progrès
démocratique. C'est un partage du pouvoir. Aujourd'hui, j'ai tous les
pouvoirs, mais je vais partager mes pouvoirs avec le vice-président», a
déclaré Me Wade. Et d'ajouter : «Le président de la République ne peut
pas mettre fin à ses fonctions une fois qu'il est élu». C'est pourquoi,
a-t-il souligné «des repères seront édifiés pour éviter des dérives. Et
c'est pourquoi le vice-président aura la compétence que lui déléguera le
président de la République».
Wade raille les opposants : «Il paraît que le projet de loi les a
tellement assommés qu’ils veulent aller se plaindre auprès du président
des Usa»
S’expliquant sur la constitutionnalisation du poste, Me Wade a
rappelé que les textes de la Constitution actuelle lui confèrent le
pouvoir de nommer le deuxième personnage de l'État, à savoir le
vice-président. Mais, à l’en croire, le changement qu’il a opéré vise à
ne pas rendre l'institution instable, c'est-à-dire avec la possibilité
de nommer le titulaire aujourd'hui et l'enlever demain.
S'adressant à la jeunesse libérale qui s'est engagée à le réélire
au soir du 26 février 2012 au premier tour, Me Wade s’est voulu plus
optimiste encore en déclarant que les prochaines joutes électorales sont
acquises : «2012, c'est fini, parlons maintenant de 2019».
Hier, lors de la clôture de la Conférence nationale de l'Ujtl au
Stadium Marius Ndiaye, Me Wade ne s’est pas privé de railler les partis
de l’opposition. «Il paraît que le projet de loi les a tellement
assommés qu’ils veulent aller se plaindre auprès du président des Usa»,
a-t-il lancé tout souriant. Et d’attaquer de plus belle l’opposition :
«Le règne de ces partis de minoritisme, ces partis de barons, est
terminé au Sénégal».
Bara Gaye élu Secrétaire général de l'Ujtl
En outre, le chef de l'État s'est félicite du déroulement de
l'élection du Secrétaire général de l'Ujtl. «La manière dont ces
élections se sont déroulées, la transparence avec laquelle vous avez
opéré, sont des leçons pour tous les partis politiques du Sénégal et de
l’Afrique. Quelle plus grande transparence que ce vote public, avec des
décomptes publics, qui ont donné des résultats incontestés ?», a affirme
Me Abdoulaye Wade qui accuse l’opposition de faire des congrès sans
débat.
Quant au président de la Commission chargés des renouvellements de
l’Ujtl, Mamadou Seck, a révélé qu'au terme du scrutin pour l'élection
du Secrétaire général de ladite structure, que c'est Bara Gaye qui a
remporté la palme avec 217 voix. Il est suivi de Coumba Gaye qui a glané
74 voix et Alioune Sow qui n’en a eu que 43.
74 Commentaires
Mameediarra
En Juin, 2011 (18:44 PM)Clef D'or
En Juin, 2011 (18:45 PM)Golo
En Juin, 2011 (18:46 PM)Chers Intervenants
En Juin, 2011 (18:46 PM)Sources: chers_intervenants.com
Undefined
En Juin, 2011 (18:47 PM)Citan55
En Juin, 2011 (18:50 PM)Partisan
En Juin, 2011 (18:50 PM)Cooloo
En Juin, 2011 (18:50 PM)Kk
En Juin, 2011 (18:51 PM)moi je voterai pour le ticket Macky-Aminata Tall
Wadaillon
En Juin, 2011 (18:58 PM)Ngagne_
En Juin, 2011 (18:58 PM)L'opposition a frappé à la bonne porte. Chaque enfant a peur de quelqu'un ou de quelque chose.
Chez nous, lorsqu'un enfant turbulent s'entête, on lui dit je vais appeler ....
Ce quelqu'un c'est OBAMA et le congrès américain.
Avec les affaires Millicom et Alex SEGURA, les sénateurs américains qui ne peuvent pas supporter WADE sont déjà nombreux. Cette énième modification de la Constitution risque d'être la goutte qui fait déborder le vase.
Les américains ont bien dit que les dons dans le cadre du MCA sont révocables.
Fais gaffe Président, on les a déjà perdu une fois.
Je rappelle que le discours de Hilary CLINTON lors du dernier sommet de l'UA s'adresse aussi à l'élève Abdoulaye WADE. Elle a dit aux chefs d'Etat :"Vous ne pouvez pas continuer à gouverner vos pays comme vous le faites."
Les USA ne feront pas d'exception pour WADE.
Boy Joloff
En Juin, 2011 (19:03 PM)Boy Town
En Juin, 2011 (19:04 PM)Quoi que tu puisse faire , toi et ta clique , vous dégagerai en 2012.
Et je m'assuerai que vous soyez traduit à la haute cour de justice pour crime " Economique".
@ Mame diarra
Tes arguments à deux balles , sont à tomber d'une charette.
Undefined
En Juin, 2011 (19:08 PM)Undefined
En Juin, 2011 (19:10 PM)Lonesome
En Juin, 2011 (19:10 PM)Cool
En Juin, 2011 (19:11 PM)A NOS SMS !!!
A NOS MAILS!!!
A NOS COMPTES FACEBOOK!!!
TOUT LE MONDE A LA MARCHE DEMAIN!!!!
RENDEZ-VOUS à L'UCAD!!!!!!!!
FAIRE PASSEZ LE MESSAGE!!!!
RV DEMAIN MATIN A L'UCAD à PARTIR DE 09 H
RV 09H UCAD DEMAIN MARDI!!!
RV 09H UCAD DEMAIN MARDI.!!!!
TOUCHEZ PLUS A NOTRE CONSTITUTION!!!
All Puy
En Juin, 2011 (19:11 PM)L’instauration d’un ticket est loin d’exclure Karim si l’on tient compte des scénarios suivants :
1/ le quart bloquant garantit l’élection de Wade au premier tour.
2/ Quand on parle de décés ou empêchement, ne pensez pas au président Wade (Wade se croit immortel). Pensez plus tot à son vice président.
3/ Wade peut complôter et choisir un vice président (malade ou mourant) qui ne peut assumer les charges de travail aprés l’élection de leur ticket.
4/ Wade peut faire un DEAL avec un vice président qui va démissionner ENTRE le premier tour et la proclamation définitive des résultats.
5/ Dans ces 2 cas de figure, l’article 7 (modifiant l’article 34) et l’article 8 (modifiant l’article 36) lui laissent librement le soin de nommer Karim comme vice president.
6/ Quelques mois plus tard Wade pourra, à son tour, démissionner et laisser Rimka s’installeR à la tête du pays.
7/ "La recette qui permettrait de mettre définitivement un terme au débat sur la succession monarchique est de mettre expressément dans la Constitution que le Président de la République et son vice-président ne peuvent être parents ou alliés au troisième degré." (Me ousmane Seye)
9/ Ce projet de loi est lourdementet prejudiaciable au benno. Il encourage une coalition Niasse-Tanor, garantit la victoire de Wade et lui permet de realiser ses ambitions monarchiques.
all puy
Undefined
En Juin, 2011 (19:12 PM)Ce problème c'est l'opposition sènègalaise qui n'est ni crèdible , ni courageuse et surtout hypocrite ; ce que bien sûr Mr Wade exploite à fond.
Il faut pas oublier que c'est cette même opposition qui avait boycottè les èlections lègislatives de 2007 et ont ainsi donnè tous les pouvoirs au prèsident Wade qui ne sait faire autre chose que la POLITIQUE.
Concernant le dèbat en question , c'est un faux si l'opposition croit à ses forces pour 2012 , elle ne doit pas se faire divertir en se focalisant sur cette idèe; car si Wade est battu , l'occasion, leur sera donnèe de revenir sur cette loi.
Santassou
En Juin, 2011 (19:12 PM)Création D’un Cadre De Réflexi
En Juin, 2011 (19:16 PM)La bataille pour gagner l'électorat de la diaspora sénégalaise est un grand enjeu. C'est ce que, peut-être, a compris Car Leneen en mettant en place un institut international de la gouvernance innovante qui est défini par son promoteur, le coordonnateur de l'association d'Amsatou Sow Sidibé, Abdoulaye Tine, comme un Think Tank. Même si ce dernier tente de garantir l'indépendance de son cadre de réflexion, il n'est pas interdit de penser que c'est un moyen pour regrouper les cadres sénégalais vivant en France.
(Correspondant permanent à Paris) - Après son passage à Paris, il y a quelques mois, pour installer son mouvement associatif qui doit porter sa candidature, le Pr Amsatou Sow Sidibé peut maintenant compter sur un cadre de réflexion mis en place par ses partisans. Avant-hier, l'avocat Abdoulaye Tine, le coordonnateur de Car Leneen a réuni des ressortissants sénégalais sympathisants pour créer un Think Tank à l'américaine, appelé Institut international de la gouvernance innovante. ‘Nous sommes des citoyennes et citoyens sénégalais, d’origines professionnelles et sociales diverses, évoluant à l’intérieur du Sénégal ou dans la diaspora’, a expliqué l'avocat aux membres présents à un petit-déjeuner organisé à cet effet. Leur credo est ‘la culture des valeurs qui participent à une gouvernance au service des populations’, soutient-il. ‘Notre combat est de mener des transformations politiques, économiques et sociales véritables, pour le renforcement des institutions, dans une démarche où l’impunité, la corruption, la partialité et l’absence de culte de l’excellence vont céder la place à des valeurs de justice sociale, d’équité, de solidarité, de transparence, de saine compétitivité et de performance’, fait savoir le représentant d'Amsatou Sow Sidibé à Paris.
Avant de rappeler que le Mouvement Car Leneen est ‘un cadre de veille, d’alerte, de réflexion, d’échanges et d’actions visant à susciter un sursaut républicain’. Ce qui lui permet de dire que l'Institut international de la gouvernance innovante n'est pas forcément arrimé à Car Leneen, mais peut lui permettre d'être un laboratoire d'idées où il peut puiser s'il accède un jour au pouvoir. Pour lui, le Think Tank est là pour tous. ‘Les travaux issus sur du Think Thank seront mis à la disposition de tout gouvernant pour les utiliser. Maintenant, si c'est Car Leneen qui arrive au pouvoir, la mise en œuvre de ces travaux sera beaucoup plus facile parce que ce sera le grenier de notre mouvement associatif’, explique Abdoulaye Tine. Qui compte préserver son institut contre toute forme de pression. Cet institut va comprendre ‘un collège pour des experts, un collège des universitaires et un collège pour la société civile’, indique-t-il. Avant de préciser : ‘En tant que citoyens sénégalais, attentifs aux préoccupations de toutes les couches sociales de notre pays et mus par des objectifs de respect des droits humains, de paix et de développement, nous avons lancé une organisation de masse inscrite dans la légalité, respectueuse des principes et règles de la République et porteuse des valeurs et des aspirations du peuple sénégalais’. Pour lui, ce cadre de réflexion est ‘un espace ouvert à toutes les Sénégalaises et à tous les Sénégalais épris de dignité et soucieux de rompre avec les maux qui affectent le Sénégal sur tous les plans : politique, financier, économique et social…’. Mais c'est aussi un bras politique, quoi qu'il en dise, de Car Leneen à Paris en vue de la présidentielle à laquelle Amsatou Sow Sidibé est candidate.
Moustapha BARRY
Cooloo
En Juin, 2011 (19:19 PM)Création D’un Cadre De Réflexi
En Juin, 2011 (19:19 PM)La bataille pour gagner l'électorat de la diaspora sénégalaise est un grand enjeu. C'est ce que, peut-être, a compris Car Leneen en mettant en place un institut international de la gouvernance innovante qui est défini par son promoteur, le coordonnateur de l'association d'Amsatou Sow Sidibé, Abdoulaye Tine, comme un Think Tank. Même si ce dernier tente de garantir l'indépendance de son cadre de réflexion, il n'est pas interdit de penser que c'est un moyen pour regrouper les cadres sénégalais vivant en France.
(Correspondant permanent à Paris) - Après son passage à Paris, il y a quelques mois, pour installer son mouvement associatif qui doit porter sa candidature, le Pr Amsatou Sow Sidibé peut maintenant compter sur un cadre de réflexion mis en place par ses partisans. Avant-hier, l'avocat Abdoulaye Tine, le coordonnateur de Car Leneen a réuni des ressortissants sénégalais sympathisants pour créer un Think Tank à l'américaine, appelé Institut international de la gouvernance innovante. ‘Nous sommes des citoyennes et citoyens sénégalais, d’origines professionnelles et sociales diverses, évoluant à l’intérieur du Sénégal ou dans la diaspora’, a expliqué l'avocat aux membres présents à un petit-déjeuner organisé à cet effet. Leur credo est ‘la culture des valeurs qui participent à une gouvernance au service des populations’, soutient-il. ‘Notre combat est de mener des transformations politiques, économiques et sociales véritables, pour le renforcement des institutions, dans une démarche où l’impunité, la corruption, la partialité et l’absence de culte de l’excellence vont céder la place à des valeurs de justice sociale, d’équité, de solidarité, de transparence, de saine compétitivité et de performance’, fait savoir le représentant d'Amsatou Sow Sidibé à Paris.
Avant de rappeler que le Mouvement Car Leneen est ‘un cadre de veille, d’alerte, de réflexion, d’échanges et d’actions visant à susciter un sursaut républicain’. Ce qui lui permet de dire que l'Institut international de la gouvernance innovante n'est pas forcément arrimé à Car Leneen, mais peut lui permettre d'être un laboratoire d'idées où il peut puiser s'il accède un jour au pouvoir. Pour lui, le Think Tank est là pour tous. ‘Les travaux issus sur du Think Thank seront mis à la disposition de tout gouvernant pour les utiliser. Maintenant, si c'est Car Leneen qui arrive au pouvoir, la mise en œuvre de ces travaux sera beaucoup plus facile parce que ce sera le grenier de notre mouvement associatif’, explique Abdoulaye Tine. Qui compte préserver son institut contre toute forme de pression. Cet institut va comprendre ‘un collège pour des experts, un collège des universitaires et un collège pour la société civile’, indique-t-il. Avant de préciser : ‘En tant que citoyens sénégalais, attentifs aux préoccupations de toutes les couches sociales de notre pays et mus par des objectifs de respect des droits humains, de paix et de développement, nous avons lancé une organisation de masse inscrite dans la légalité, respectueuse des principes et règles de la République et porteuse des valeurs et des aspirations du peuple sénégalais’. Pour lui, ce cadre de réflexion est ‘un espace ouvert à toutes les Sénégalaises et à tous les Sénégalais épris de dignité et soucieux de rompre avec les maux qui affectent le Sénégal sur tous les plans : politique, financier, économique et social…’. Mais c'est aussi un bras politique, quoi qu'il en dise, de Car Leneen à Paris en vue de la présidentielle à laquelle Amsatou Sow Sidibé est candidate.
Chif
En Juin, 2011 (19:20 PM)Undefined
En Juin, 2011 (19:22 PM)Sidharta
En Juin, 2011 (19:22 PM)Doff
En Juin, 2011 (19:27 PM)POPULATION INDISCIPLINEE,ROUBLARDE ET PEUREUSE.
ET VOUS VOULEZ FAIRE FACE A WADE ET SA CLIQUE?
QUELLE LACHETE!
Jeep
En Juin, 2011 (19:35 PM)Défar Sa Rew
En Juin, 2011 (19:35 PM)NE soit point triste sur le sort de l'élection de 2012. Certes Wade complote pour gagner avec sa famille et son clan en oubliant la volonté du Seigneur et vrai Commandant suprême qui dit beaucoup dans la sourate At Tariq versets 13 à 17 sur les plans des rusés genre Wade
Alors si tu crois en Dieu et c'est mon cas je peux vous dire que par sa volonté et sa grâce ce sinistre personnage ne sera plus Président du Sénégal en 2012 Inchà Allah.
Donc laissons le rusé et il sera rendra à l'évidence au bout.
Undefined
En Juin, 2011 (19:38 PM)Kk
En Juin, 2011 (19:40 PM)Last
En Juin, 2011 (19:43 PM)Samory Aw
En Juin, 2011 (19:44 PM)Nana
En Juin, 2011 (19:44 PM)Ma Ko Wax
En Juin, 2011 (19:46 PM)Undefined
En Juin, 2011 (19:53 PM)Hadés
En Juin, 2011 (20:04 PM)Undefined
En Juin, 2011 (20:05 PM)Angel Of Death
En Juin, 2011 (20:10 PM)Tiakassas
En Juin, 2011 (20:23 PM)Naar
En Juin, 2011 (20:41 PM)Joe
En Juin, 2011 (21:24 PM)L'histoire se répète et WADE pense que nous sommes des VEAUX, prêts à aller à l'abattoir les yeux fermés.
De Gaulle est parti par la petite porte, après une cuisante défaite au référendum de 1969.
Qui vivra, verra.
Oryx
En Juin, 2011 (21:34 PM)Swell
En Juin, 2011 (21:41 PM)Je ne saisis pas pourquoi les gens disent qu'il pourrait se faire réélire avec seulement 25% des voix. Quelqu'un pourrait-il me l'expliquer?
Merci
Babsmania
En Juin, 2011 (21:49 PM)Ifanbondi
En Juin, 2011 (22:06 PM)Le Montrollandais
En Juin, 2011 (22:20 PM)que WADE n'aime pas perdre et il ne veut pas croire,ni assiter à la défaite de son parti.
je viens de comprendre pouquoi au village les vieux nous disaient Wade est une malédiction ,ce vieux débile
pense une fois de plus nous imposé ces ruses.
j'appelle à tout les senegalais épris de justice de faire cause commune de communier pour une méme cause on nous fatigue en longueur de journée avec c méme langue de bois modifier la constitution n'est pas une urgence
est ce que on sais poser la question à savoir combien ça vas nous couter se budget de vice président?
tout c pro de vice président wade ne le fait que pour proteger c derriere sa famille et compagnie
regarder la suite logique des événements
c wade ki disait avant 2000 no au sénat
c wade vers les années 2007 qui à supprimer le conseil économique et social
c wade ya deux mois de cela voulais voter une loi sur le blanchiment d'argent se dernier vue son danger sur l'image du pays il à fait un détour pour se proteger derriere la constitution
ya un adage ki di "kouye lakatou dii nane bo mandé fégne"
wade il faut crois en DIEU et laisse notre pays en pâix comme l'on fait les socialistes
je demande à tout les lecteurs de voir le positif et de m'éxcuser au cas mes propos blesses
Da
En Juin, 2011 (22:33 PM)Anti-laye
En Juin, 2011 (22:36 PM)Wos
En Juin, 2011 (22:44 PM)Maitre Wade
En Juin, 2011 (23:31 PM)Conscience
En Juin, 2011 (23:40 PM)Tapha Diop
En Juin, 2011 (00:47 AM)Affaire A Mboro
En Juin, 2011 (01:19 AM)Waaw
En Juin, 2011 (03:10 AM)Rad
En Juin, 2011 (05:23 AM)Dans notre système actuel, le président de la République est élu au suffrage universel mais le vice-président est nommé par le président qui peut mettre fin à ses fonctions.
En effet, la loi constitutionnelle 2009.22 du 02 juin 2009 a introduit dans le dispositif institutionnel du Sénégal, le poste de vice-président. D'un autre côté, l'article 26 de la Constitution dispose que le président de la République "peut être assisté d'un vice-président". La contrainte qui pèse sur le président de la République est la consultation du président du Sénat et du président de l'Assemblée nationale.
L'utilité et même la légitimité d'un tel vice-président ont pu être objet de controverses et pourtant, à l'analyse, cette institution peut être essentielle dans un processus d'approfondissement de la démocratie, en particulier en Afrique.
En effet, au-delà d'une personne, c'est toujours un projet de société, un programme qui sont proposés au peuple, à l'occasion d'une élection présidentielle.
Le mandat donné s'inscrit dans une durée de mise en oeuvre. Pour éviter la fréquence d'élections, toujours source de contraintes multiples notamment de charges financières imprévues et même de tensions, un vice-président, élu sur un ticket, au suffrage universel direct, permet un passage sans heurts donc une certaine stabilisation du système démocratique et du calendrier républicain.
La réforme préconisée par le présent projet de loi consiste à élire sur une même liste le président et le vice-président pour la même durée du mandat.
Ce système du ticket, qui existe dans de nombreux pays, a plusieurs avantages : la légitimité populaire permet, le cas échéant, au vice-président, la poursuite, pour la durée du mandat, de la volonté exprimée par le corps électoral.
En cas d'empêchement, de décès, de démission ou d'une indisponibilité quelconque, il remplace le président pour la durée du mandat. Ayant déjà la légitimité populaire, il est invité par le Conseil constitutionnel à prêter serment devant lui et être renvoyé à exercer ses fonctions de président de la République,
Il dispose déjà d'une expérience présidentielle pour les compétences que lui confie le président.
La spécificité de la fonction exécutive, en particulier de la fonction présidentielle, contrairement aux instances de délibérations, explique et justifie que l'on n'applique pas au ticket présidentiel, la loi n° 2010.11 du 28 mai 2010 instituant la parité absolue Homme-Femme prévue dans les fonctions électives. Le président et le vice-président peuvent ainsi être du même sexe.
L'élection présidentielle en ticket exclut en principe un 2ème tour mais le projet de loi maintient le 2ême tour si la liste en tête au premier tour ne réunit pas un minimum de 25% des suffrages exprimés dit minimum bloquant. Dans ce cas, un deuxième tour est organisé et la majorité relative suffit pour gagner.
Projet de loi constitutionnelle
Article Premier
L'article 6 est complété ainsi qu'il suit : «Les institutions de la République sont :
le président de la République le vice-président de la République, le Parlement qui comprend deux assemblées : l'Assemblée nationale et le Sénat
le Gouvernement
le Conseil économique et social, le Conseil constitutionnel, la Cour suprême, la Cour des Comptes, et les Cours et Tribunaux.
Article 2
L'article 26 est modifié ainsi qu'il suit :
«Le président de la République et le vice-président de la République sont élus pour la même durée au suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à deux tours assorti d'un minimum bloquant de 25% des suffrages exprimés. Le ticket présidentiel ainsi constitué n'est pas soumis à la contrainte paritaire.
Le vice-président assiste le président qui, à cet effet, lui délègue des pouvoirs et lui confie des missions.
Le vice-président occupe, dans l'ordre de préséance, le deuxième rang après le chef de l'Etat.
Il satisfait aux conditions posées par l'article 38 ».
Article 3
L'article 27 est modifié ainsi qu'il suit :
«La durée du mandat du président de la République et du vice-président de la République est de sept ans. Le mandat est renouvelable une seule fois.
Ces dispositions ne peuvent être révisées que par une loi référendaire ».
Article 4
Les dispositions de l'article 28 sont modifiées ainsi qu'il suit :
«Les candidats à la présidence ou à la vice-présidence de la République doivent être exclusivement de nationalité sénégalaise, jouir de leurs droits civils, civiques et politiques, être âgés de 35 ans au moins le jour du scrutin. Ils doivent savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle.
Article 5
L'article 31 est modifié ainsi qu'il suit :
«Le scrutin pour l'élection du président de la République et du vice-président de la République a lieu quarante cinq jours francs au plus et trente jours francs au moins avant la date d'expiration du mandat du président de la République en fonction ».
Article 31 (Constitution en vigueur)
Si la Présidence est vacante, par démission, empêchement définitif ou décès, le scrutin aura lieu dans les soixante jours au moins et quatre vingt dix jours au plus, après la constatation de la vacance par le Conseil constitutionnel.
Cette partie saute dans l’article 31 modifié. Cela veut-il dire qu’il n’y a plus de scrutin pour désigner le successeur du président en cas de vacance et que celui qui est désigné par son colistier est plus légitime que celui qui a été élu par le suffrage universel ?
Les articles suivants nous donnent une réponse affirmative !
Article 6
L'article 33 est modifié ainsi qu'il suit :
Le scrutin a lieu un dimanche. Toutefois, pour les membres des corps militaires et paramilitaires, le vote peut se dérouler sur un ou plusieurs jours fixés par décret.
Le vote a lieu en un premier tour au scrutin de liste majoritaire. Un ticket est déclaré élu s'il vient en tête de l'élection et réunit au moins le quart des suffrages exprimés.
Si aucun ticket n'a obtenu le quart des suffrages exprimés, il est procédé à un second tour de scrutin le troisième dimanche qui suit la décision du Conseil constitutionnel.
Sont alors admis à se présenter à ce second tour, les deux tickets arrivés en tête au premier tour.
En cas de contestation, le second tour a lieu le troisième dimanche suivant le jour du prononcé de la décision du Conseil constitutionnel.
Au second tour, la majorité relative suffit pour qu'un ticket soit déclaré élu.
Article 7
L'article 34 est modifié ainsi qu'il suit :
Aucun retrait n'est possible après la publication des listes de candidats. En cas d'empêchement définitif d'un membre d'un ticket entre l'arrêt de publication de la liste des candidats et le premier tour, le candidat restant désigne un second de liste et devient tête de liste s'il ne l'était pas déjà. L'élection est alors poursuivie avec la liste ainsi complétée. Si les deux candidats sont empêchés, l'élection est poursuivie avec les listes restantes.
Dans tous les cas ci-dessus, le Conseil constitutionnel modifie en conséquence la liste des candidats et ordonne la poursuite des opérations. La date du scrutin est maintenue.
En cas de décès ou d'empêchement définitif d'un membre d'un ticket entre le scrutin du premier tour et la proclamation définitive des résultats du premier tour par le Conseil constitutionnel, le membre restant complète le ticket qui peut être éventuellement admis à se présenter au second tour s'il satisfait aux autres conditions.
Si pendant la même période l'empêchement frappe à la fois les deux membres d'un même ticket, l'élection est poursuivie avec les autres tickets.
Si, entre la proclamation des résultats provisoires du deuxième tour et celle des résultats définitifs, le ticket ayant remporté l'élection perd un de ses membres, le colistier est déclaré élu président de la République. Après son installation, il nomme un vice-président pour la durée de son mandat.
Article 8
L'article 36 est modifié ainsi qu'il suit :
Après la proclamation définitive des résultats déclarant élus le président de la République et son colistier, ils sont successivement installés dans leurs fonctions par le Conseil constitutionnel au cours de la même cérémonie mais, seulement, après l'expiration du mandat du président sortant. Le président de la République sortant reste en fonction jusqu'à l'installation de son successeur.
Au cas où, avant son entrée en fonction, le président élu décède, se trouve définitivement empêché ou renonce au bénéfice de son élection, le vice-président de la République élu est proclamé président de la République par le Conseil constitutionnel. Il nomme un vice-président de la République.
Dans tous les cas de nomination d'un vice-président par le président élu, par suite de décès, empêchement définitif ou démission, le président peut mettre fin aux fonctions du vice-président nommé, après en avoir informé le président du Sénat et le président de l'Assemble nationale.
Article 36 (Constitution en vigueur)
Au cas où le Président de la République élu décède, se trouve définitivement empêché ou renonce au bénéfice de son élection avant son entrée en fonction, il est procédé à de nouvelles élections dans les conditions prévues à l'article 31.
Qu’est-ce qui est plus démocratique entre la Constitution en vigueur et le projet de ticket ?
Article 9
L'alinéa 4 de l'article 37 est modifié ainsi qu'il suit :
Alinéa 4 : le président de la République et le vice-président nouvellement élus font une déclaration écrite de patrimoine déposée au Conseil constitutionnel qui la rend publique.
Article 10 :
L'article 39 est modifié ainsi qu'il suit :
En cas de démission, d'empêchement définitif ou de décès en cours de mandat, le président de la République est remplacé par le vice-président qui prête aussitôt serment devant le Conseil constitutionnel en séance publique. Le nouveau président nomme un nouveau vice-président et peut mettre fin à ses fonctions selon les formalités prévues au dernier alinéa de l'article 36.
Undefined
En Juin, 2011 (07:38 AM)Boy Town
En Juin, 2011 (08:15 AM)La forme désespérée de « l’attaque en haute altitude » en dit long sur le dangereux tournant amorcé par notre Etat qui risque de mériter bientôt le qualificatif « d’Etat voyou ».
En effet, comment un garçon, soupçonné par la quasi-totalité du peuple sénégalais d’être le plus grand prédateur de fonds publics de l’histoire du Sénégal, et même surnommé gentiment par beaucoup de jeunes « notre Arsène Lupin national » (moins la finesse, l’élégance et l’intelligence bien sûr !) peut-il oser invoquer des questions d’argent contre un quelconque adversaire politique?
Sur les questions d’argent, de corruption, de mal gouvernance, de racket au plan national (hommes d’affaires nationaux, services de l’Etat) et au plan international (secteur privé international et pays amis), quand l’Enfant WADE accuse, le peuple immédiatement récuse ! Et ce sera ainsi et pour toujours tant que, entre autres, les « 472 milliards des comptes et mécomptes de l’ANOCI » n’auront pas été audités par un cabinet indépendant et crédible et la vérité enfin connue par les malheureux contribuables sénégalais.
En outre, comment le seul Ministre sénégalais qui se ballade dans un jet privé et qui ainsi nargue les millions de Sénégalais vivant dans une misère extrême peut-il oser s’inviter dans un débat sur la bonne gouvernance !
En vérité, paniqués par les échos très positifs sur les préparatifs de la Convention de notre Mouvement qui était prévu le samedi 11 juin 2011, l’enfant WADE dans un timing « hors de tout soupçon » profère ses attaques dans la presse le vendredi 10 juin 2011. La volonté infantile de faire changer de focus les militants du MPCL et d’attaquer l’image de notre leader est ici plus que manifeste !
En outre, sachant que le MPCL a décidé de monter en puissance dans son combat contre les dérives d’un régime aux abois et qui aboie de plus en plus fort contre les vrais patriotes (tragédie de Sangalkam) et contre les vrais intérêts du Sénégal avec le regrettable Vaudeville de Deauville, l’insupportable humiliation de Benghazi, et craignant que notre Leader qui sait ce que WADE doit à Khadafi n’y fasse allusion, la technique du mensonge d’Etat est alors vite mise en place: « prenons l’initiative de l’attaquer, sa réponse sera considérée comme une revanche ! ».
La grave erreur cependant, surement liée à l’immaturité de l’enfant WADE, c’est qu’il l’a fait … l’insulte à la bouche. Or au Sénégal, pays dont il peine à comprendre la culture plusieurs fois millénaire, nos ancêtres prescrivent que « Dëgg booko boolé ak saaga daf koy nééwël doolé !»
(l’insulte affaiblit la vérité proférée !). Ce qui devient encore plus compliqué quand on est en face « d’un mensonge proféré avec l’insulte ! » comme c’est le cas ici !
NON KHADAFI n’a jamais financé l’ancien ME/MAE du Sénégal ! Ni directement, ni indirectement ! Ni pour sa résidence, ni pour ses activités politiques ! La charge de la preuve revenant toujours à l’accusateur et non l’inverse, que l’enfant WADE, habitué des procès pour diffamation, apporte alors au plus vite les preuves de ses allégations ! Le peuple attend !
En revanche, notre Leader qui, lui, a le sens « du kolleuré » (fort apprécié des Sénégalais), tout en déplorant la gestion désastreuse par Khadafi de la crise politique liée à la levée citoyenne et démocratique dans son pays, et tout en se positionnant clairement pour une « Libye nouvelle et démocratique », a remercié ouvertement le Guide libyen sur RFI (le 22 mars dernier) et aussi sur Africa N° 1 et Africa 24 (le 5 mai dernier) pour avoir, malgré tout, beaucoup fait pour certaines causes panafricaines comme le soutien aux Mouvements de libération en Afrique australe (en particulier la lutte contre l’Apartheid), la croisade pour les Etats Unis d’Afrique, l’Agence Panafricaine d’Informations, les infrastructures dans certains pays d’Afrique, etc. !
« Khadafi finance Gadio ! » : Comment l’enfant WADE peut-il proférer froidement un tel « méga-mensonge » et ajouter sans sourciller : « aller demander au directeur de cabinet de Khadafi ! ». Il le dit en sachant que ce dernier est présentement sous un abri anti-bombardements et rumine son désarroi après les poignards plantés par d’anciens « amis » qui se léchaient les babines à chacune de ses visites à Dakar? Mais soyons indulgents : le mensonge d’état requiert un long apprentissage et un niveau de technicité qu’il n’est pas donné à tous les « coefficients intellectuels » d’assimiler rapidement!
En plus, la Coordination Provisoire des Jeunesses du Mouvement Politique Citoyen LUY JOT JOTNA est informée du fait qu’après la rupture entre notre Leader et WADE, Khadafi a vite pris fait et cause pour son ami … WADE. La raison : s’étant étonné du départ de GADIO qui –à ses yeux- « n’était pas que le Ministre des Affaires étrangères du Sénégal mais de toute l’Afrique», Khadafi s’est entendu répondre par un autre méga-mensonge d’Etat plus odieux que tous les autres : « Nous avons découvert que GADIO travaille pour les Américains » !
Une partie des raisons du peu d’égard de OBAMA et de son administration pour le régime WADE vient précisément de cet acte d’anti-américanisme primaire et outrancier dont ils sont parfaitement au courant, acte qui est venu se rajouter à leur connaissance depuis fort longtemps des exploits sans précédent de celui dont le nom de code là-bas –selon Wikileaks- semble bien être « Mister 15% » !
Que penser aussi des propos du genre: « Gadio n’avait rien, c’est moi qui lui ai payé son billet pour qu’il rentre » ? Ces propos accusent qui ? Car son père, lui, tout fier, avait dit la « vraie vérité » aux Sénégalais et à la face du monde : « Gadio a abandonné un salaire de six millions par mois à la Banque mondiale pour répondre à mon appel et venir servir son pays ! ». Comment comprendre alors qu’un petit clerc de banque à Londres puisse financer le retour au pays d’un Coordonateur pour l’Afrique de « World Links for Development » à la Banque mondiale » ? Au delà, ceci ne fait que prouver tant et plus sa méconnaissance radicale de notre culture car il est des choses, même vraies, que l’adversité politique ne fait pas dire à un Sénégalais bien élevé dans nos valeurs ou bien élevé tout court…
En plus appeler un « immeuble R + 2 » une tour ne peut que déprimer davantage les Sénégalais et les inquiéter sur leur avenir quand ils réalisent que cette gaffe vient de leur « Ministre des Infrastructures et de tout»…
En vérité, « bien mentir » est un exercice qui n’est pas facile puisque nos compatriotes ont aussi été outrés d’entendre le « petit » avancer avec une surprenante désinvolture « c’est pour cela que Gadio avait été écarté du Sommet de l’OCI ». Affirmer cela c’est quand même insulter la mémoire et l’intelligence des Sénégalais qui ont vu, de leurs yeux vu, et de leurs oreilles entendu à la fin du Sommet le Président de la république en personne, le prince Fayçal d’Arabie saoudite, la quasi-unanimité des Ministres interviewés, le Secrétaire Général de l’ OCI « féliciter chaleureusement le Ministre d’Etat Gadio pour avoir réussi un superbe sommet de l’OCI » !
Plus grave, qui ne se souvient pas de cette réception sur le bateau Musica après le Sommet de l’OCI où le petit WADE déclare, un trémolo dans la voix : « Je félicite mon grand frère le Ministre d’Etat Gadio pour le travail abattu et pour cette grande réussite. Je l’informe que désormais je cherche du travail et je vais lui envoyer mon CV !» !
La Coordination Provisoire des Jeunesses du Mouvement Politique Citoyen LUY JOT JOTNA est aussi consciente que malgré l’engagement de notre Leader à ne pas « révéler des secrets d’état », certains éléments du régime ne dorment que d’un seul œil. Une telle angoisse leur fera multiplier les provocations et les mensonges d’état (sur les pays arabes, l’Inde et pourquoi exclure la Chine et l’Arabie saoudite ?). L’objectif véritable est en fait de provoquer par le mensonge pour savoir au plus vite ce que notre leader « sait réellement » et ensuite essayer de le pousser si possible sur le terrain des déballages afin de ternir sa stature d’homme d’Etat connu pour sa discrétion, sa bonne éducation, sa hauteur de vue, et le fait d’avoir servi son pays (dans et en dehors du gouvernement) avec compétence, intégrité et honneur.
Bien avant AMARY NGONÉ SOBEL qui, en 1549, avait forgé le slogan « LUY JOT JOTNA ! », jusqu’au Dr. Cheikh Tidiane GADIO qui l’a ressuscité en 2010, le peuple du Sénégal a été, est et restera pour toujours un peuple debout, fier, au menton haut, qu’aucun jeune aspirant à la succession dynastique, c’est à dire à la courte échelle, ne pourra ni « casser » encore moins « briser » !
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En Juin, 2011 (08:18 AM)Undefined
En Juin, 2011 (08:27 AM)Malhonnête
En Juin, 2011 (10:00 AM)Wekh Dounk
En Juin, 2011 (10:01 AM)Undefined
En Juin, 2011 (10:14 AM)A NOUS DE PRENDRE NOS RESPONSABILITES POUR LES BOUTTER DEHORS
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En Juin, 2011 (10:36 AM)Seynabou Ndiaye
En Juin, 2011 (11:24 AM)Guis Guis
En Juin, 2011 (12:51 PM)Po
En Juin, 2011 (12:52 PM)Lagaffe
En Juin, 2011 (14:35 PM)Jombee
En Juin, 2011 (15:04 PM)Oeil Du Patriarche
En Juin, 2011 (15:45 PM)Naforé
En Juin, 2011 (16:09 PM)dans chaque quartier, il faut mettre en place des comités de résistances actives et mobiles accompagnés de concerts de casseroles.
Perturber chaque jour l'activité économique en associant les syndicats.
Ouvrons plusieurs fronts et faisons face.
Si cette loi passe, inutile d'aller voter!!!
Momo
En Juin, 2011 (19:02 PM)Diaga
En Juin, 2011 (20:12 PM)Undefined
En Juin, 2011 (21:19 PM)Pourquoi ?
Pas parce que cette population est acquise à la cause de Wade mais ces trois raisons m’amène à penser à cette passivité.
-Premièrement la pauvreté de cette population pour qui la majorité tire le diable par la queue. Car joindre les deux bouts les fins du mois ou manger ou faire manger à sa famille trois repas par jour est un casse- tête chinois. Alors leur demander d’abandonner leur activité pour aller manifester c’est comme les insulter.
-Deuxièmement comment comprendre que si tu manifestes ta colère les forces de l’ordre n’hésitent pas à tabasser à mort ou à tirer à balle réelle sur les manifestants. Alors que le rôle, dans les vraies démocraties, des forces de l’ordre est le maintien de la paix à l’intérieur du pays mais pas tuer les citoyens.
-Troisièmement enfin le désunion de l’opposition face au président Abdoulaye WADE
En 2000 face à Diouf il y avait quatre principaux candidats : Diouf, Wade, Niasse, et Djibo KA. En ce moment Wade était le chef de l’opposition. Mais aujourd’hui malgré le pléthore de candidats de l’opposition, personne ne se détache. De sorte que les populations qui sont pas avec Wade ne savent pas qui suivre.
La division fait bien l’affaire de Wade et tant que Tanor Niasse et Macky ne règlent pas ce problème Wade se jouera d’eux.
Wade pense que son régime sera là pendant cinquante ans comme l’ont fait les socialistes (40 ans) ou même plus c’est pourquoi ils veulent cette loi.
Devant ce fait l’opposition n’a qu’une seule alternative c’est de se battre, pour cela il faut occuper la rue quitte à aller en prison ou mourir. Même s’il faut déclencher une guerre entre civils il faut le faire car c’est mieux que l’asservissement.
Dans ce pays il fait savoir que la démocratie n’existe pas car l’assemblée est occupée pas par des députés du peuple mais par des députés de Wade donc en conséquence je demande aux chefs des partis d’opposition de descendre dans la rue et de faire face à Abdoulaye Wade par tous les moyens enfin de libérer ce pays par cette bande de noceurs.
Enfin pour terminer le pouvoir ne se donne pas il faut le prendre.
Ce qu’à fait notre jeune frère Cheikh Bamba DIEYE est un acte de désespoir et de désarroi mais qu’il ne désespère pas il sera président un jour.
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