Cela fait un an, jour pour jour, que les Sénégalais ont élu Bassirou Diomaye Faye à la tête de la magistrature suprême.
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Cela fait un an, jour pour jour, que les Sénégalais ont élu Bassirou Diomaye Faye à la tête de la magistrature suprême.
Au stade d’annonce depuis le 28 novembre 2024, la date est maintenant fixée pour la fin de la présence militaire française au Sénégal.
Emmanuel Macron a défendu lundi devant ses ambassadeurs la réorganisation du dispositif militaire français en Afrique, une réduction drastique des effectifs qui s’effectue de gré ou de force selon les pays.
Au Sénégal, l'année 2024 a été bien particulière à pleins des égards. Mais 2025 devrait être tout aussi riche, sur le plan politique, sportif et judiciaire.
La base militaire française d'Abidjan va être rétrocédée à la Côte d'Ivoire en janvier, a annoncé ce mardi 31 décembre soir le président ivoirien Alassane Ouattara, conformément à la politique de réaménagement du dispositif militaire français en Afrique.
Bassirou Diomaye Faye annonce la « fin de toutes les présences militaires de pays étrangers dès 2025 »
Des centaines de personnes se sont mobilisées pour ne pas oublier les exécutions intervenues dans ce camp militaire le 18 octobre 1971.
À la demande de la junte au pouvoir, les paramilitaires russes du groupe privé Wagner sont sur le point d'intervenir au Mali.
Bassirou Diomaye Faye annonce la « fin de toutes les présences militaires de pays étrangers dès 2025 »
Les chefs militaires des pays de l'Union économique et...
L’ancien Premier ministre s’est lui aussi épanché sur l’envoi de troupes en Arabie Saoudite pour faire face à la crise qui secoue le Yémen. S’il est d’accord sur le principe puisque estimant que l’Arabie Saoudite est un pays ami, Abdoul Mbaye fait quand même remarquer « qu’il ne s’agit pas d’une simple mission de maintien de la paix, mais d’une guerre ». « Décider de faire la guerre est une décision lourde et grave qui nécessite le respect d’un cadre légal et d’un processus d’évaluation rigoureux par des experts de la guerre. Le cadre légal est d’abord celui de notre pays : il a été respecté. Le processus d’évaluation n’a pas pu ne pas l’être par une armée aussi professionnelle que celle de notre nation.
Panafricaniste, enseignant en économie et commerce international, chercheur indépendant en sciences sociales, le Pr Martial Ze Belinga est auteur et éditorialiste. Formé à l’économie et à la sociologie mais très attiré par l’histoire, la philosophie, les cosmogonies africaines, ses centres d’intérêt principaux sont l’économie de la culture, la décolonisation des concepts relatifs à l’Afrique, l’histoire générale de l’Afrique et ses utilisations.
Rien n’est encore définitif. Mais le processus semble irréversible : trois quart des 1.200 militaires français vont très bientôt se retirer du Sénégal. Un départ accueilli par la population avec un mélange de fierté et d’incrédulité. L’information est tombée, vendredi, 19 février 2010. Ce jour-là, un communiqué signé par M. Mamadou Bamba Ndiaye, chargé de la communication de la présidence de la République du Sénégal annonce le démantèlement prochain des bases militaires françaises à Dakar. « Les bases militaires françaises vont quitter le Sénégal en vertu d’un accord qui sera paraphé avant le 4 avril 2010 par les deux parties », informe Mamadou Bamba Ndiaye.
Annoncé la veille du 1er mai, constitué le jour même avec certainement pour objectif : noyer la décision des centrales syndicales de boycotter pour la première fois la remise traditionnelle des cahiers de doléances au président de la République, le remaniement ministériel tant attendu a laissé sur sa faim plus d’un. Le président de la République avait annoncé le 3 avril qu’il avait compris le message délivré lors du scrutin des élections locales. Le peuple espérait donc un gouvernement résolument décidé à prendre à bras le corps ses requêtes. Il a assisté plutôt à la lecture hier, vendredi 1er mai du communiqué officiel du nouveau Secrétaire général du gouvernement l’inspecteur d’Etat, Pape Guèye portant liste des ministres, à la naissance d’un gouvernement de « transition ? »
La participation de certains Généraux de l’armée à la séance d’ouverture des assises nationales fait l’objet de controverse. Si d’aucuns y voient une prérogative que leur octroie la citoyenneté, d’autres, apparentés au pouvoir y décèlent une immixtion de l’armée dans le jeu politique. Pourtant, ce n’est pas la première fois que la ‘Grande muette’ fourre son nez dans l’espace. L’histoire regorge, en effet, d’exemples que Wade a participé à conforter en faisant des pensionnaires des casernes des électeurs à part entière. De toutes les présences à la cérémonie de lancement des Assises nationales, dimanche dernier, celle des trois généraux de l’Armée en retraite aura le plus marqué les esprits. De part et d’autre de la ligne de séparation entre le pouvoir et l’opposition, cette participation des étoilés de l’armée est diversement appréciée.