Tout ça résonne en vous ?
Voici quelques conseils pour échapper à ce syndrome qui touche une majorité écrasante de femmes.
1/ Une fois dans la semaine, qu’il pleuve, qu’il vente ou que votre compagnon ait le nez qui coule, imposez-vous un moment pour vous. Prévenez votre entourage que vous éteignez votre portable et que vous n’y êtes pour personne. Coiffeur, méditation, Pilates, happy hour avec vos copines, ermite dans un bain moussant, ballade en forêt, ongles-épilation, ciné… Bref, tout et n’importe quoi qui vous fasse plaisir à VOUS et à vous seule. Sans justification à la clef ; vous ne faites de mal à personne, vous vous faites du bien à vous.
2/ Apprenez à gérer les urgences. L’urgence, la vraie, c’est quand on appelle le 15 ou le 18 ! Apprenez à vos interlocuteurs – enfants, amis, collègues, amoureux, parents… - qu’il est important de différer les évènements et que, bien souvent, prendre du recul sur une situation de crise permet de la désamorcer.
3/ Hiérarchisez vos priorités ! C’est une façon simple d’alléger la perception de votre quotidien et d’optimiser votre temps.
Faites l’acquisition d’un joli carnet et tracez chaque jour sur une page 2 colonnes. Vous noterez dans la première ce qui est à faire « impérativement » et dans la seconde ce qui est à faire « éventuellement ». A vous de les remplir en étant la plus lucide possible. Faire des listes permet de libérer votre esprit en rangeant et en hiérarchisant vos idées.
4/ Ne cherchez pas à imposer votre façon de faire (les courses, le ménage, le dîner, l’éducation des enfants…). C’est le meilleur moyen de décourager les meilleures volontés.
5/ Apprenez à dire NON ! Et oui ! Dire non est souvent compliqué, mais le résultat peut vous rendre libre. Dire oui quand vous pensez non est bien plus facile sur le moment mais peut vous enchaîner et vous amenez à le regretter. Attention, il ne s’agit pas de dire non systématiquement ni de vouloir tout mettre sous contrôle mais bien de garder une prise sur votre planning et sur vos choix de vie.
6/ Soyez altruiste. Faire le bien vous fait du bien ! L’altruisme permet d’avoir une meilleure estime de soi et ça c’est bon pour l’ego. Il est bon pour la santé : pas d’émotions négatives, pas de stress, rien de mauvais pour le cœur, donc c’est bon pour vous. L’altruisme attire la sympathie. L’altruisme rend heureux. Quand vous faites une action qui fait du bien à autrui, vous êtes contente, voire fière de vous. Et comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, autant réitérer.
1 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2016 (10:12 AM)Participer à la Discussion