Le ministère de la Femme a condamné le meurtre de Bineta Camara, et par ricochet celui de Coumba Yade, à travers deux communiqués distincts du même ministère publiés dans les réseaux sociaux. Mais, ces posts ont provoqué de vives réactions sur Facebook où Ndèye Saly Diop Dieng a été lynchée sans ménagement.
D'après L'AS, qui revient sur cette affaire, les internautes ont décelé une première légèreté relative à l'appellation du ministère. Sur l'entête du communiqué, il est mentionné "Ministère de la Femme et du Genre" alors qu'il s'agit plutôt de "Ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des enfants".
L'autre reproche faite au ministre est l'utilisation du vocable "communauté féminine nationale". Pour les internautes, elle aurait dû employer "gent féminine". Pis, il a été plaqué, en bas de page du communiqué, sa photo. D'aucuns de relever une certaine "légèreté" dans la communication du gouvernement.
Commentaires (39)
Quand les internautes repostent les commentaires malgré la censure, on se dépêche de faire disparaître les articles comme celui intitulé "le dialogue des prédateurs" où les internautes n'ont pas raté Kocc dans les commentaires.
''L'autre reproche faite'' lolou mom légéreté leu woleu kor gui leu ?
saga ndeye saly diop dieng ou rapporter des ragots sur elle ça rapporte quoi à seneweb? Toutes les familles sont en deuil dans ce pays.
Il y a de drôles de types qui postent du grand n'importe quoi. deug deug les sénégalais sont en deuil.
La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons sont arrêtés par un détachement de paras-commandos.
Mis en accusation, il est jugé du 9 au 13 mai 1963 par la Haute Cour. Il est défendu par plusieurs avocats, dont l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade. Il est condamné à la déportation perpétuelle dans une enceinte fortifiée. Il est transféré à Kédougou.
Mamadou Dia sera libéré douze ans plus tard, en 1974. Sans jamais retrouver l’importance politique qu’il avait lors de l’indépendance, il a continué depuis à jouer le rôle d’intellectuel et de figure morale.
Cette chute n’est cependant rendue possible que par la dégradation des relations entre Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor, entre les deux têtes de l’Etat sénégalais indépendant.
Le différend entre les deux hommes
Les deux hommes ont déjà connu de profonds désaccords, notamment quand le général De Gaulle a proposé le référendum de 1958 sur la communauté française. Les deux hommes s’étaient alors opposés dans un débat d’idées de plusieurs heures à Gonneville-sur-Mer en Normandie (nord-ouest de la France). Senghor veut alors le maintien dans la communauté, Dia souhaite la rupture. Senghor tranche le débat en avouant qu’il a déjà pris des dispositions pour faire voter « oui ». Et qu’il a déjà fait des promesses au gouvernement français.
Mais au début de ces années 60, les désaccords s’approfondissent, notamment sur les orientations à donner au pays et la politique menée par Dia. « Senghor lui-même ne disait rien sur ces réformes ; il n’exprimait pas son hostilité, mais je sentais qu’il n’était point enthousiaste : il restait froid. Cependant, il se faisait de temps en temps l’écho d’amis qui se plaignaient que ma politique ‘était en train d’apeurer les capitaux et qu’à la limite elle les ferait fuir’ ».
Mamadou Dia persiste et le prouve dans un discours qui va pousser ses détracteurs à l’action. Le 8 décembre 1962, il prononce à Dakar l’allocution de clôture d’un colloque international intitulé « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme ». Il y réaffirme ses thèses. Proclame notamment la nécessité du « rejet révolutionnaire des anciennes structures ». Et appelle à « concevoir une mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». A la suite de ce discours, une partie des députés décide de passer à l’attaque et dépose une motion de censure.
Dia pense que la motion est irrecevable, parce que conçue en dehors des structures légales du parti et formulée dans un contexte d’état d’urgence. Il demande que le Conseil national du parti puisse l’examiner. Senghor, lui, souhaite que l’Assemblée se réunisse pour examiner la motion. Mamadou Dia tente d’empêcher la tenue de cette réunion. Le lundi 17 décembre 1962, il évacue l’Assemblée nationale, mais la motion sera votée au domicile du président de l’Assemblée. S’en suivra son arrestation et sa condamnation.
Décédé à l’âge de 99 ans, en 2009, le premier ministre du Sénégal lors de son indépendance profitait de son expérience pour intervenir dans les médias sénégalais comme commentateur de la vie politique locale.
Kocc amoul roussou kaye
Même une telle tragédie est une occasion pour trouver une autorité à insulter...
Même une telle tragédie est une occasion pour trouver une autorité à insulter...
Franchement, rien à foutre de facebook! L'administrateur de ce site a de sérieux problèmes. Merde, il y a eu mort d'homme! Meurtre! Tentative de viol, blessures multiples etc...
La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons sont arrêtés par un détachement de paras-commandos.
Mis en accusation, il est jugé du 9 au 13 mai 1963 par la Haute Cour. Il est défendu par plusieurs avocats, dont l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade. Il est condamné à la déportation perpétuelle dans une enceinte fortifiée. Il est transféré à Kédougou.
Mamadou Dia sera libéré douze ans plus tard, en 1974. Sans jamais retrouver l’importance politique qu’il avait lors de l’indépendance, il a continué depuis à jouer le rôle d’intellectuel et de figure morale.
Cette chute n’est cependant rendue possible que par la dégradation des relations entre Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor, entre les deux têtes de l’Etat sénégalais indépendant.
Le différend entre les deux hommes
Les deux hommes ont déjà connu de profonds désaccords, notamment quand le général De Gaulle a proposé le référendum de 1958 sur la communauté française. Les deux hommes s’étaient alors opposés dans un débat d’idées de plusieurs heures à Gonneville-sur-Mer en Normandie (nord-ouest de la France). Senghor veut alors le maintien dans la communauté, Dia souhaite la rupture. Senghor tranche le débat en avouant qu’il a déjà pris des dispositions pour faire voter « oui ». Et qu’il a déjà fait des promesses au gouvernement français.
Mais au début de ces années 60, les désaccords s’approfondissent, notamment sur les orientations à donner au pays et la politique menée par Dia. « Senghor lui-même ne disait rien sur ces réformes ; il n’exprimait pas son hostilité, mais je sentais qu’il n’était point enthousiaste : il restait froid. Cependant, il se faisait de temps en temps l’écho d’amis qui se plaignaient que ma politique ‘était en train d’apeurer les capitaux et qu’à la limite elle les ferait fuir’ ».
Mamadou Dia persiste et le prouve dans un discours qui va pousser ses détracteurs à l’action. Le 8 décembre 1962, il prononce à Dakar l’allocution de clôture d’un colloque international intitulé « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme ». Il y réaffirme ses thèses. Proclame notamment la nécessité du « rejet révolutionnaire des anciennes structures ». Et appelle à « concevoir une mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». A la suite de ce discours, une partie des députés décide de passer à l’attaque et dépose une motion de censure.
Dia pense que la motion est irrecevable, parce que conçue en dehors des structures légales du parti et formulée dans un contexte d’état d’urgence. Il demande que le Conseil national du parti puisse l’examiner. Senghor, lui, souhaite que l’Assemblée se réunisse pour examiner la motion. Mamadou Dia tente d’empêcher la tenue de cette réunion. Le lundi 17 décembre 1962, il évacue l’Assemblée nationale, mais la motion sera votée au domicile du président de l’Assemblée. S’en suivra son arrestation et sa condamnation.
Décédé à l’âge de 99 ans, en 2009, le premier ministre du Sénégal lors de son indépendance profitait de son expérience pour intervenir dans les médias sénégalais comme commentateur de la vie politique locale.
Ministre de la jeunesse, Ministre de la femme patati patata je me demande c'est quoi leur rôle vraiment dans un gouverment à part mobiliser des militants
L'AUGMENTATION DU PRIX DU PÉAGE. PERSONNE N'EN PARLE
Tu veux des péages gratuits? On veut le progrès mais avec une mentalité moyenâgeuse! C'est un outil économique une autoroute, pas une promenade ou un jardin public!
La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons sont arrêtés par un détachement de paras-commandos.
Mis en accusation, il est jugé du 9 au 13 mai 1963 par la Haute Cour. Il est défendu par plusieurs avocats, dont l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade. Il est condamné à la déportation perpétuelle dans une enceinte fortifiée. Il est transféré à Kédougou.
Mamadou Dia sera libéré douze ans plus tard, en 1974. Sans jamais retrouver l’importance politique qu’il avait lors de l’indépendance, il a continué depuis à jouer le rôle d’intellectuel et de figure morale.
Cette chute n’est cependant rendue possible que par la dégradation des relations entre Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor, entre les deux têtes de l’Etat sénégalais indépendant.
Le différend entre les deux hommes
Les deux hommes ont déjà connu de profonds désaccords, notamment quand le général De Gaulle a proposé le référendum de 1958 sur la communauté française. Les deux hommes s’étaient alors opposés dans un débat d’idées de plusieurs heures à Gonneville-sur-Mer en Normandie (nord-ouest de la France). Senghor veut alors le maintien dans la communauté, Dia souhaite la rupture. Senghor tranche le débat en avouant qu’il a déjà pris des dispositions pour faire voter « oui ». Et qu’il a déjà fait des promesses au gouvernement français.
Mais au début de ces années 60, les désaccords s’approfondissent, notamment sur les orientations à donner au pays et la politique menée par Dia. « Senghor lui-même ne disait rien sur ces réformes ; il n’exprimait pas son hostilité, mais je sentais qu’il n’était point enthousiaste : il restait froid. Cependant, il se faisait de temps en temps l’écho d’amis qui se plaignaient que ma politique ‘était en train d’apeurer les capitaux et qu’à la limite elle les ferait fuir’ ».
Mamadou Dia persiste et le prouve dans un discours qui va pousser ses détracteurs à l’action. Le 8 décembre 1962, il prononce à Dakar l’allocution de clôture d’un colloque international intitulé « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme ». Il y réaffirme ses thèses. Proclame notamment la nécessité du « rejet révolutionnaire des anciennes structures ». Et appelle à « concevoir une mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». A la suite de ce discours, une partie des députés décide de passer à l’attaque et dépose une motion de censure.
Dia pense que la motion est irrecevable, parce que conçue en dehors des structures légales du parti et formulée dans un contexte d’état d’urgence. Il demande que le Conseil national du parti puisse l’examiner. Senghor, lui, souhaite que l’Assemblée se réunisse pour examiner la motion. Mamadou Dia tente d’empêcher la tenue de cette réunion. Le lundi 17 décembre 1962, il évacue l’Assemblée nationale, mais la motion sera votée au domicile du président de l’Assemblée. S’en suivra son arrestation et sa condamnation.
Décédé à l’âge de 99 ans, en 2009, le premier ministre du Sénégal lors de son indépendance profitait de son expérience pour intervenir dans les médias sénégalais comme commentateur de la vie politique locale.
Absolument !Victime innocente, courageuse et déterminée, elle est la preuve que la tenue vestimentaires, la faiblesse physique ou la liberté d aller et de venir ne justifient pas les agressions que subissent femmes et enfants . Faudra-t-il qu on en vienne à interroger notre culture de mbokoo qui consiste à intégrer le voisin comme un parent ? En tout cas, il faut désormais admettre que le danger est partout. Pourquoi? Parce que l objectif majeur dans notre société est de devenir riche à tout prix .On en vient à cette situation aberrante dans laquelle celui qui aide court le risque de devenir une cible. Dors en paix jeune fille et que le Seigneur te donne la rétribution des martyrs agréés. Une maman triste, mais confiante.
La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons sont arrêtés par un détachement de paras-commandos.
Mis en accusation, il est jugé du 9 au 13 mai 1963 par la Haute Cour. Il est défendu par plusieurs avocats, dont l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade. Il est condamné à la déportation perpétuelle dans une enceinte fortifiée. Il est transféré à Kédougou.
Mamadou Dia sera libéré douze ans plus tard, en 1974. Sans jamais retrouver l’importance politique qu’il avait lors de l’indépendance, il a continué depuis à jouer le rôle d’intellectuel et de figure morale.
Cette chute n’est cependant rendue possible que par la dégradation des relations entre Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor, entre les deux têtes de l’Etat sénégalais indépendant.
Le différend entre les deux hommes
Les deux hommes ont déjà connu de profonds désaccords, notamment quand le général De Gaulle a proposé le référendum de 1958 sur la communauté française. Les deux hommes s’étaient alors opposés dans un débat d’idées de plusieurs heures à Gonneville-sur-Mer en Normandie (nord-ouest de la France). Senghor veut alors le maintien dans la communauté, Dia souhaite la rupture. Senghor tranche le débat en avouant qu’il a déjà pris des dispositions pour faire voter « oui ». Et qu’il a déjà fait des promesses au gouvernement français.
Mais au début de ces années 60, les désaccords s’approfondissent, notamment sur les orientations à donner au pays et la politique menée par Dia. « Senghor lui-même ne disait rien sur ces réformes ; il n’exprimait pas son hostilité, mais je sentais qu’il n’était point enthousiaste : il restait froid. Cependant, il se faisait de temps en temps l’écho d’amis qui se plaignaient que ma politique ‘était en train d’apeurer les capitaux et qu’à la limite elle les ferait fuir’ ».
Mamadou Dia persiste et le prouve dans un discours qui va pousser ses détracteurs à l’action. Le 8 décembre 1962, il prononce à Dakar l’allocution de clôture d’un colloque international intitulé « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme ». Il y réaffirme ses thèses. Proclame notamment la nécessité du « rejet révolutionnaire des anciennes structures ». Et appelle à « concevoir une mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». A la suite de ce discours, une partie des députés décide de passer à l’attaque et dépose une motion de censure.
Dia pense que la motion est irrecevable, parce que conçue en dehors des structures légales du parti et formulée dans un contexte d’état d’urgence. Il demande que le Conseil national du parti puisse l’examiner. Senghor, lui, souhaite que l’Assemblée se réunisse pour examiner la motion. Mamadou Dia tente d’empêcher la tenue de cette réunion. Le lundi 17 décembre 1962, il évacue l’Assemblée nationale, mais la motion sera votée au domicile du président de l’Assemblée. S’en suivra son arrestation et sa condamnation.
Décédé à l’âge de 99 ans, en 2009, le premier ministre du Sénégal lors de son indépendance profitait de son expérience pour intervenir dans les médias sénégalais comme commentateur de la vie politique locale.
La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons sont arrêtés par un détachement de paras-commandos.
Mis en accusation, il est jugé du 9 au 13 mai 1963 par la Haute Cour. Il est défendu par plusieurs avocats, dont l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade. Il est condamné à la déportation perpétuelle dans une enceinte fortifiée. Il est transféré à Kédougou.
Mamadou Dia sera libéré douze ans plus tard, en 1974. Sans jamais retrouver l’importance politique qu’il avait lors de l’indépendance, il a continué depuis à jouer le rôle d’intellectuel et de figure morale.
Cette chute n’est cependant rendue possible que par la dégradation des relations entre Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor, entre les deux têtes de l’Etat sénégalais indépendant.
Le différend entre les deux hommes
Les deux hommes ont déjà connu de profonds désaccords, notamment quand le général De Gaulle a proposé le référendum de 1958 sur la communauté française. Les deux hommes s’étaient alors opposés dans un débat d’idées de plusieurs heures à Gonneville-sur-Mer en Normandie (nord-ouest de la France). Senghor veut alors le maintien dans la communauté, Dia souhaite la rupture. Senghor tranche le débat en avouant qu’il a déjà pris des dispositions pour faire voter « oui ». Et qu’il a déjà fait des promesses au gouvernement français.
Mais au début de ces années 60, les désaccords s’approfondissent, notamment sur les orientations à donner au pays et la politique menée par Dia. « Senghor lui-même ne disait rien sur ces réformes ; il n’exprimait pas son hostilité, mais je sentais qu’il n’était point enthousiaste : il restait froid. Cependant, il se faisait de temps en temps l’écho d’amis qui se plaignaient que ma politique ‘était en train d’apeurer les capitaux et qu’à la limite elle les ferait fuir’ ».
Mamadou Dia persiste et le prouve dans un discours qui va pousser ses détracteurs à l’action. Le 8 décembre 1962, il prononce à Dakar l’allocution de clôture d’un colloque international intitulé « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme ». Il y réaffirme ses thèses. Proclame notamment la nécessité du « rejet révolutionnaire des anciennes structures ». Et appelle à « concevoir une mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». A la suite de ce discours, une partie des députés décide de passer à l’attaque et dépose une motion de censure.
Dia pense que la motion est irrecevable, parce que conçue en dehors des structures légales du parti et formulée dans un contexte d’état d’urgence. Il demande que le Conseil national du parti puisse l’examiner. Senghor, lui, souhaite que l’Assemblée se réunisse pour examiner la motion. Mamadou Dia tente d’empêcher la tenue de cette réunion. Le lundi 17 décembre 1962, il évacue l’Assemblée nationale, mais la motion sera votée au domicile du président de l’Assemblée. S’en suivra son arrestation et sa condamnation.
Décédé à l’âge de 99 ans, en 2009, le premier ministre du Sénégal lors de son indépendance profitait de son expérience pour intervenir dans les médias sénégalais comme commentateur de la vie politique locale.
Bon courage Madame Dieng nous serons habitués. Le plus important ce qu'on a compris
Bon courage Madame Dieng nous serons habitués. Le plus important ce qu'on a compris
Ame na gnou amoul kholl. Mais on s'en tape de facebook. Cette fille est devenue membre de toutes les familles sénégalaises. Tout le monde la pleure.
Koccc est responsable de cet article, je peux le jurer. Tous ses articles, c'est senewebs com
Des personnes tués sans seche,assez pour la violence des femmes
C'est seulement les effets du Fast Track. Ne confondons pas vitesse et précipitation. On risque de trébucher fatalement.
Tu commences par un "Commentaire" (tu ne dis plus "contribution", en effet c'était trop con): "Le Dialogue des Prédateurs", où tu nous bassines à longueur de contrevérités que les autorités non pas réagi, non plus les partis politiques excepté celui de ton chéri, et là tu nous balances 2 communiqués du Ministère de la Femme... Manque de suite dans les idées, contradiction, inintelligence, propres à la mauvaise foi.
Le genre, ces conneries qu on entend que chez nous. Vs ne savez meme pas ce qui se prepare pour nous autres. Ce feminisme satanique detruira tout ce qu on nous a legue, tout, pour des tenebres, des separations, des haines, des cassures dans notre tissu social.
Ces trucs a la con, finance a coup de milliards nous poussent tout doucement a la folie et vers une dictateurs incroyables les annees a venir. Et si vous croyez que c est pour le bien des femmes, vous verrez bien. On verra si c est moustafa qui a raison ou dajjal. On verra bien
walay tu as raison genre thi boppam sakh la khamoul moye lane ? yalla mome nopina goor ak djiguéne la sak !
nous sommes manipulés par l'occident betement !
Facebook? Non mais quel charognard ce rapporteur de médisances! Méprisable virus.
Ah les nègres!!!!
l'essentiel pour le troll qui sert d'administrateur à ce site est de nourrir sa faim gargantuesque de calomnier les hommes et femmes publics avec ses montages articles-unes-photos-commentaires. dieu, swt, merci les lecteurs sont maintenant avertis.
Quelle presse!!!!!!!
Elle est incompétente ,elle vaut rien
Le traitement de cette tragédie par une certaine presse relève du crime. La nation est en deuil frappée au coeur. Arrêtez avec vos ragots, s'il vous plaît.
Cette fois personne ne peut dire que la jeune dame a ete agressee parce qu'elle portait une jupe trop courte. Meme voilees les femmes ne sont pas a l'abri parce que on est dans une societe gouvernee par le patriarcat ou les hommes croient tout est permis sur les femmes et cela ouvre la voie aux abus des psychopates.
Ce site descend de plus en plus dans les basfonds entraîné par un psychopathe de troll soit-disant bénévole.
L'obsession politicienne ne recule donc pas même devant un cadavre, un homicide aussi atroce?
Quels diplômes sont requis pour cracher des conneries pareilles dans la presse! Putain les gars y a eu mort d'homme.
Elle a défendu sa vertu au prix de sa vie. Et il se trouve un malade pour nous parler de communiqué!
Franchement quelle presse! Il y a eu atrocités, meurtre, tentative de viol et Dieu, SWT, Seul Sait le martyre qu'a dû subir cette brave jeune fille, dévote et exemplaire. Et vous vous fourvoyez dans un formalisme indécent et bassement politicien! seneweb mérite mieux que le gars qui nous y gave de thiakhaneries, de rumeurs, de on-dit, de médisances...
elle ne vaut rien, elle passe tout son temps avec les griotes
Femme de M. Pape Dieng ancien DG SENELEC et actuel SUNEOR, ceratines familles sont vraiment puissantes dans ce pays :)
ragots, médisances, calomnies, injures même pour un évènement aussi tragique. On s'en fout de facebook et comment!
C'est la revanche des pauvres !
C'est la revanche des pauvres !
L'essentiel pour le troll qui sert d'administrateur à ce site est de nourrir sa faim gargantuesque de calomnier les hommes et femmes publics avec ses montages articles-unes-photos-commentaires. Dieu, SWT, merci les lecteurs sont maintenant avertis.
Il commence par un "commentaire: le dialogue des prédateur", il poursuit par "Dame Diop accueilli par des huées" et ensuite "Ndèye Saly Diop Dieng lynchées sur Facebook"....
Et ce charognard croit que ça va passer comme lettre à la poste. Abdou Salam Fall de grâce renvoie ton troll à son secrétariat à l'Assemblée Nationale.
Notre protection et dans vos mains,les politiciens vous êtes que des profitares de merde qui sont lá pour leurs propre interets
Les censures apportées aux commentaires de cet article démontrent la main mise de Kocc.
Ragots, rumeurs, médisances, au mépris des atrocités et de la tragédie de cette affreuse affaire. Franchement on s'en fout de facebook.
Quelque soit l'horreur de ce meurtre, ce qui importe au troll psychopathe qui sert d'administrateur à ce site, c'est de satisfaire son besoin obsessionnel de salir les hommes et femmes publics.
Cette jeune fille a défendu sa vertu au prix de sa vie et ce qui vous importe c'est de rapporter des ragots et des médisances. Putain qu'est ce que s'en fout de facebook. Abdou Salam Fall de grâce débarrasse seneweb de ce troll maudit de Kocc!
Rien à foutre de facebook. Les gars le pays est révolté par ce monstre d' assassin
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