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Amérique du nord, Maghreb, France : Des journées économiques pour attirer les investisseurs au Sénégal

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Amérique du nord, Maghreb, France : Des journées économiques pour attirer les investisseurs au Sénégal

Pour vendre la destination et attirer l’investissement économique au Sénégal, AfricaPme va organiser une rencontre mondiale à Dakar en septembre prochain. Afin de mieux préparer ce rendez-vous, en collaboration avec les consulats et l’ambassade du Sénégal à Paris, des journées économiques sont organisées en Amérique du Nord, au Maghreb et en France où la première a été tenue à Bordeaux. 

« Notre objectif est de vendre la destination économique du Sénégal dans toutes les grandes villes du monde », informe Alpha Sy, président d’AfricaPme, la structure organisatrice de la rencontre de Bordeaux. D’ici à juin, et en collaboration avec les représentations diplomatiques, des « journées économiques Sénégal » sont prévues à Lyon, à Marseille, à Casablanca, au Québec et au Caire. Ces rendez-vous entrent dans les préparatifs de la rencontre mondiale des Pme prévue à Dakar du 24 au 27 septembre 2013. Issus de la diaspora Sénégal, les dirigeants d’AfricaPme entendent mettre leurs expériences et compétences au profit du développement du pays.
A Bordeaux, Abdoulaye Mbodji, chef du bureau économique de l’ambassade du Sénégal à Paris, avait fait le déplacement pour appuyer l’initiative. Sur place, les représentations nationales, notamment le Consul de Bordeaux, ont pu échanger avec le Club des Entreprises Bordeaux-Afrique(Cbsoa) de la chambre de commerce et d’industrie de cette ville. Son président Alain Taris, a déclaré que sa structure est ouverte à tous ceux qui veulent travailler dans les deux sens, soit pour exporter soit pour importer. L’annonce a ravi les différents décideurs présents dont certains connaissent mal l’investissement économique au Sénégal.

Agriculture, énergie, infrastructures


Voulant lever, en amont, cette inquiétude, plusieurs voix ont fait la promotion de la destination économique sénégalaise pour les investissements français. « Venir au Sénégal, ce n’est pas de la délocalisation mais bien de la localisation », a estimé Oulimata Sarr de l’Agence sénégalaise de promotion des exportations(Asepex). La représentante de l’Autorité de régularisation des marchés publics (Armp), Aminata Mbodji, a donné des éclaircissements sur le sérieux et la transparence de la commande publique au Sénégal. Cet engagement fut rappelé par Ibrahima Wade, secrétaire générale de la Stratégie de la croissance accélérée (Sca) en insistant sur les filières prioritaires identifiées par le Conseil présidentiel pour l’investissement. La démarche d’AfricaPme est en corrélation avec les nouvelles missions de prospection et d’accompagnements à l’export mis en place par le gouvernement français. « L’internationalisation durable des entreprises françaises est l’une des priorités pour Nicole Bricq, la ministre française du Commerce extérieur », argumente Lucien Diop, Manager d’AfricaPme. 
Le président d’AfricaPme a fait le lien entre la politique française et les attentes des nouvelles autorités sénégalaises en rappelant les trois priorités du président Macky Sall: l’agriculture, l’énergie, et les infrastructures. 
Au cours d’ateliers organisés lors de la rencontre de Bordeaux, les dirigeants d’entreprises girondines ont pu poser des questions spécifiques au développement de leurs structures au Sénégal.
Au soir de cette première, « une vingtaine d’entreprises bordelaises a émis le souhait de participer à AfricaPme en septembre. Quatre d’entre elles vont s’installer et créer une entité au Sénégal », annonce Alpha Sy.  




9 Commentaires

  1. Auteur

    Maïmoune

    En Mars, 2013 (19:56 PM)
    Des pays qui se lighuent pour venir prendre beaucoupd'argent après s'être dit : Avec lers Maghrébins qui sont moins maléables, allons investir chez les Peuples d 'Afrique Noire, de l'Oust, eux qui non seulement n'ont rien inventé dont le monde a besoin, mais il sont incapables d'imiter. Nouys leur vendrons des produits simples qu'ils sont incapables de fabriquer. Voilà la vérité, qu'on veuille l'entendre ou pas, c'est la vérité. Combien de milliards vont sortir de nos pays au titre de la balance des paiement ? C'esty le même phénomène chez tous les peuples d'Afrique Noire, il n'y a que le Ruanda et le Cap-Vert qui ont compris et qui dient non , nous sommes aussi cvapables que vous, nous allons nous former à fabriquer les choses dont nos peuples ont besoin. Tout autre discourt serait de la tromperie : Nos frères d'afrioque, nos amis, coopération ect foutaises ! Il faut nos milliards aillent chez-eux, et quelques millions vont rentrer
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  2. Auteur

    Constat45

    En Mars, 2013 (21:21 PM)
    Le Sénégal a besoin des autres et les autres ont besoin du Sénégal ! ce qui limite les investisseurs et entreprises c'est:

    les tracasseries administratives, les lenteurs décisionnelles, la corruption et le backchich à tous les niveaux, le non accompagnement des entreprise étrangères, la douane corrompue et tatillonne. La non ouverture sur le monde des affaires considéré comme sangsue pour le pays , ce qui est totalement faux, il y a toujours des retombées. La pratique exclusive du wolof est un handicap majeur. Le manque de cadres et d'ingénieurs compétents est latent.
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    Auteur

    Mbaye63

    En Mars, 2013 (21:33 PM)
    Enfin vous commencer à comprendre que les chinois ce n'est pas la solution et qu'il faut travailler avec les européens et l'Amérique du nord !
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    Auteur

    Boups !

    En Mars, 2013 (21:54 PM)
    euhh Mbaye 63 aparamen vs etes hors circuit , je vs renvoi au livre LA CHINDIAFRIQUE qui vient de paraitre é ki fé dé projections sur le monde dici 2030 ! l'avenir cest LA CHINE L' INDE ET L'AFRIQUE .
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    Auteur

    Allassane01

    En Mars, 2013 (22:28 PM)
    Je me suis deja entretenu avec les organisateurs qui sont des sénégalais de la diaspora, ils visent à travers cette action, une stimulation des entreprises du monde à venir investir chez nous et ainsi être plus compétitives mais aussi de développer des partenariats gagnant-gagnant avec une forte implication des compétences des sénégalais mais aussi celles des Sénégalais de l’extérieur. Ce projet permettra aux Entreprises qui s’installeront au SENEGAL de créer de la richesse, des emplois mais aussi de saisir des opportunités de marché de la sous région.

    Bonne initiative de la diaspora

    Du courage
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    Auteur

    Loulou25

    En Mars, 2013 (22:49 PM)
    Je pense qu il faut visiter leur site internet http://www.africapme.org

    Ils expliquent tout
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    Auteur

    Bébète

    En Mars, 2013 (07:40 AM)
    Vous voulez relancer le tourisme au Sénégal mettez au-moins une photos d'un Hotel au Sénégal et pas de l'hotel Kombo Beach en Gambie :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha: 
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    Auteur

    Houlo

    En Mars, 2013 (08:59 AM)
    ceux qui polemique n'ont rien compris du systeme de fonctionnement du business dans le monde.

    Tres bonne initiative. Courage.
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    Auteur

    Essais9

    En Mars, 2013 (13:02 PM)
    Ce serait un bien que des entreprises étrangères viennent au SN car quand on constate la gestion des entreprises locales on est effaré: 1/ durée de vie de l'entreprise, un exercice fiscal car on n'a pas provisionné les charges et impots on a confondu bénéfice et chiffre d'affaire, on a dépensé la trésorerie et on a fait le beau chef d'entreprise. 2/ pour les embauches, pas de recherche de qualification, on prend la famille, les amis, les incompétents notoires et beau parleurs qui savent tout fait. 3/ pas de prévision à moyen terme, on gère l'entreprise comme une famille, au jour le jour. 4/ On est chef d'entreprise donc c'est gagné, on travaille peu, on pavane, on set le meilleur...c'est la catastrophe garantie. 5/ on n'a pas besoin des autres, on sait tout, de la finance, de la technologie, on est bon partout ! 6/ les étrangers , on n'a pas besoin d'eux, on va se débrouiller tous seul on sait faire, pas d'in des loisgérence, on a l'expérience (mais de l'échec permanent). 7/ on garde en mémoire l'informel pour la non imposition et le non respect des lois et pour l'argent facile et rapide, le pb c'est que ça ne dure pas. 8/ on cherche à tricher en permanence, c'est génétique et l'exemple vient dans haut, on s'arrange et en fait on est toujours coincé, on doit toujours quelque chose à quelqun. 9/ combien d'entreprises PME sénégalaises totalement privées à capitaux sn et dirigeants sn fonctionnent bien au Sénégal ? en pourcentage ? on doit être aux alentours de 5 % J'aimerai vos réponse . Abdoulaye gueye
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