H. R. D est une étudiante de 25 ans habitant à Dalifort. Elle a été arrêtée par les éléments du commissariat de Pikine, placée en garde à vue puis déférée au parquet pour Interruption volontaire de grossesse (IVG).
Elle était porteuse du fœtus qui a été découvert dimanche dernier flottant à la surface des eaux d’une fosse septique d’un immeuble R+4 du quartier Touba Seras. Alertée, la police s’est déployée sur les lieux avant d’informer les pompiers, qui ont procédé au repêchage puis à l’acheminement du fœtus dans une structure sanitaire pour autopsie.
La légiste conclut que le bébé en formation était de sexe féminin, pesait 150 grammes et ne présentait aucune malformation. Il assure qu’il est décédé d’une mort «intra-utérine secondaire provoquée par l’interruption d’une grossesse d’environ vingt-et-une semaines».
Pour les besoins de l’enquête, tous les habitants de l’immeuble, hommes comme dames, ont défilé à la police. Les examens gynécologiques (réservés aux femmes) permettront de remarquer que H. R. D est sujette à une perte abondante de sang.
Face aux enquêteurs, l’étudiante craque et avoue avoir bu un mélange d’eau de javel et de Bleu de méthylène pour interrompre sa grossesse. Cette substance nocive a permis d’expulser le fœtus dans les toilettes de l’appartement où elle logeait. Et pour le faire disparaître, elle enfonce la tête du bébé en formation au fond de la chaise anglaise avant de verser trois seaux d’eau.
C’était dans la matinée du samedi 7 mai. Lors de son arrestation, elle présentait une santé déclinante. Elle sera hospitalisée pendant quatre jours sous surveillance policière avant d’être placée en garde à vue et déférée au parquet.
Elle était porteuse du fœtus qui a été découvert dimanche dernier flottant à la surface des eaux d’une fosse septique d’un immeuble R+4 du quartier Touba Seras. Alertée, la police s’est déployée sur les lieux avant d’informer les pompiers, qui ont procédé au repêchage puis à l’acheminement du fœtus dans une structure sanitaire pour autopsie.
La légiste conclut que le bébé en formation était de sexe féminin, pesait 150 grammes et ne présentait aucune malformation. Il assure qu’il est décédé d’une mort «intra-utérine secondaire provoquée par l’interruption d’une grossesse d’environ vingt-et-une semaines».
Pour les besoins de l’enquête, tous les habitants de l’immeuble, hommes comme dames, ont défilé à la police. Les examens gynécologiques (réservés aux femmes) permettront de remarquer que H. R. D est sujette à une perte abondante de sang.
Face aux enquêteurs, l’étudiante craque et avoue avoir bu un mélange d’eau de javel et de Bleu de méthylène pour interrompre sa grossesse. Cette substance nocive a permis d’expulser le fœtus dans les toilettes de l’appartement où elle logeait. Et pour le faire disparaître, elle enfonce la tête du bébé en formation au fond de la chaise anglaise avant de verser trois seaux d’eau.
C’était dans la matinée du samedi 7 mai. Lors de son arrestation, elle présentait une santé déclinante. Elle sera hospitalisée pendant quatre jours sous surveillance policière avant d’être placée en garde à vue et déférée au parquet.
11 Commentaires
Zeum
En Mai, 2022 (09:34 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (10:44 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (14:10 PM)Hakim
En Mai, 2022 (10:30 AM)Mactar
En Mai, 2022 (10:53 AM)Inconnu
En Mai, 2022 (10:59 AM)le president ne et sont gouvernement ne mange plus ne vie plus ne vois plus rie autour de lui tellement ils vivent de politique a force il ont oublié tout les corps metier la justice la medecine t jen passe
quon tu tues quon fauches quakqun sur la route quon tu parts agresions s'est toujours un moi vec suris voila pourquoi ici au senegal chacun peut tué son bébé sa femme ou ecrasé une personnes s'est trop triste jai mal pour mon pays
Reply_author
En Mai, 2022 (13:03 PM)Merci de votre compréhension
Analyste
En Mai, 2022 (12:13 PM)les bébé font dans les kilos
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