Un malade mental d’une quarantaine d’années a poignardé un ressortissant français du nom de René. Le malade mental ne cessait de troubler la quiétude de ses voisins et du quartier. Le drame est survenu à Grand-Mbour, sur la route de l'hôpital Thierno Mouhamadou Barro.
Sous le choc, Véronique Guignane Mbaye, épouse de la victime et propriétaire du restaurant "Chez Vero", revient sur le drame.
« J’ai plusieurs fois interpellé son père sur la situation de son fils pour qu'il le fasse soigner. Je lui avais même suggéré de l'amener voir un guérisseur sérère pour qu'il retienne ses mains et ses pieds afin qu'il cesse de frapper les gens. Je lui avais même remis un numéro. Le jeune homme ne cesse de nous attaquer. La première fois, il a lancé des briques sur la terrasse où je tiens un restaurant et il a cassé des chaises. Son père nous a présenté des excuses à chaque fois. Malheureusement, le pire est arrivé. J'étais partie au marché quand ma sœur m'a appelée pour m'informer. Je suis revenue en hâte et quand j'ai voulu monter, les policiers et les sapeurs-pompiers m'ont refusé l'accès », explique-t-elle.
Elle poursuit : « C'est celui qui est mort qui a perdu, alors que ce malade mental, lui, vit encore. Ses parents devaient prendre leurs responsabilités. Ils me disent que leur fils a des papiers qui prouvent sa maladie. Et alors ! C'était à eux de prendre leurs responsabilités. »
Auparavant, inquiète de la situation, la restauratrice avait saisi la police. Le père du meurtrier malade mental fut alors sommé de prendre ses responsabilités. En vain. Et, malheureusement, l’irréparable s’est produit.
« J’étais au marché quand ma sœur m’appelle pour me dire que mon mari venait d’être poignardé par notre voisin. Il a reçu beaucoup de coups. Quand on a un malade mental, on a l’obligation de le soigner et de ne pas mettre en danger la vie de ses voisins », se désole Véronique.
Bonjour, je connaissais , Véronique, René , et Marcus, depuis des années ( on expose le nom des victimes mais pas celui du meurtrier ( le monde à l 'envers ) . Je suis Blanc de mère née au senegal . RENÉ paix à son ame , était un homme au grand cœur, représentant mieux la terranga , que d'autres qui s'en revendique , au quotidien . Vero est une cuisinière hors pairs . Quand , à Marius , sont état se dégradait, il vivait dans la haine du blanc permanente insultait tout blanc qui passait sur son chemin ,ainsi que la France, pensant que " le blanc " était la cause , de sa misère intellectuelle ( il ne manquait de rien , pas même de moyens financier , pour s'alcooliser et se droguer , car cela coûte cher , en réalité) , mais parfois dans des moments de lucidité, selon son interlocuteur , il pouvait se montrer attachant . J ' ai une pensé pour sa fille , également , qui sera une victime collatérale de ce drame .
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Bonjour, je connaissais , Véronique, René , et Marcus, depuis des années ( on expose le nom des victimes mais pas celui du meurtrier ( le monde à l 'envers ) . Je suis Blanc de mère née au senegal . RENÉ paix à son ame , était un homme au grand cœur, représentant mieux la terranga , que d'autres qui s'en revendique , au quotidien . Vero est une cuisinière hors pairs . Quand , à Marius , sont état se dégradait, il vivait dans la haine du blanc permanente insultait tout blanc qui passait sur son chemin ,ainsi que la France, pensant que " le blanc " était la cause , de sa misère intellectuelle ( il ne manquait de rien , pas même de moyens financier , pour s'alcooliser et se droguer , car cela coûte cher , en réalité) , mais parfois dans des moments de lucidité, selon son interlocuteur , il pouvait se montrer attachant . J ' ai une pensé pour sa fille , également , qui sera une victime collatérale de ce drame .
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