En grève de la faim depuis quelques jours pour réclamer leur recrutement par l’Etat, les sortants de la Fastef commencent à enregistrer des dégâts dans leurs rangs. En atteste le nombre des évacuations, estimées déjà à 31 personnes. « Dont deux pour qui, la situation est inquiétante », précise leur porte parole invité dans l’émission Diakarlo Bi de la TFM ce vendredi soir.
Ils sont 105 à entamer cette diète volontaire sur les quelque 440 concernés par cette situation. Ils en sont arrivés là après moult correspondances au ministre de l’Education et les promesses du conseiller du Chef de l’Etat, Ibrahima Ndoye, d’un recrutement futur dans la Fonction Publique, restées sans suite.
Selon l’émissaire des grévistes, leur détermination sera sans faille tant que leur demande ne sera pas satisfaite.
Pour rappel, cette grogne concerne des élèves enseignants formés à la Fastef, suivant le cycle payant, et qui à la sortie ne sont pas recrutés. Les frais consentis à cet effet sont, révèle l’émissaire des grévistes, de 8000 Cfa pour les frais de dossier, 160.000 Cfa pour les droits d’inscription et des mensualités de 80.000 Cfa.
6 Commentaires
Ma Oba
En Novembre, 2014 (02:11 AM)Tueur
En Novembre, 2014 (08:48 AM)Fallay
En Novembre, 2014 (09:02 AM)Rééw ba déé.Qui etes vous pour forcer la main aux autorités et à DIEU pour s'occuper impératiement de votre cas?
Vous voulez que tous les autres exigent et obtiennent leur recrutement en suivant votre exemple,au cas ou l'état se montre faible et accéde à vos doléances?
Mais ici les gens font gréve de la faim,en s'alimentant in-péto.Il faut,malheureusment un accident mortel pour que les méthodes de revendication changent.
Jean Malick
En Novembre, 2014 (14:27 PM)Maandou
En Novembre, 2014 (15:49 PM)Mange Mil
En Novembre, 2014 (18:42 PM)Tu mens il n'y a aucun maîtrisard dans le lot des grévistes de la fin. Du reste vous avez raison de dire qu'il ont été berné par la FASTEF
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